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« Joyeux anniversaire ! »
Comment fêtait-on un anniversaire privé chez les Romains ?

« Joyeux anniversaire ! »
Comment fêtait-on un anniversaire privé chez les Romains ?

« Prononçons des paroles de bon augure ; voici que vient vers l’autel le dieu du jour anniversaire ; vous tous qui êtes là, hommes et femmes, que votre langue soit propice. Qu’on brûle un religieux encens dans le foyer, qu’on brûle les parfums que l’Arabe délicat envoie de sa terre opulente. Que le Génie soit présent pour voir en personne les honneurs qu’on lui rend, que de souples guirlandes ornent sa chevelure sacrée ; que des gouttelettes d’un nard pur découlent de ses tempes, qu’il se rassasie du gâteau libum et soit imbibé de vin pur, et qu’il acquiesce, ô Cornutus, à tout ce que tu demanderas »1.

À peine avais-je lu cette traduction des premiers vers d’un poème composé à la fin du Ier siècle avant notre ère par Tibulle pour un anniversaire de son ami Cornutus, que mon bureau s’illumina soudain et que je vis apparaître un personnage couronné de fleurs. « Qu’est-ce ? », m’écriai-je, saisie d’effroi. « Ne crains rien », me dit-il, « je suis le Génie que ta lecture, faite à voix haute, a appelé ! ». À demi rassurée par son aspect et son ton bienveillant, je m’enhardis à demander timidement : « Mais, qu’est-ce qu’un Génie ? » « Épineuse question ! », répondit-il, « De nombreux penseurs antiques, puis leurs successeurs au cours des âges, ont examiné ce sujet sans se mettre d’accord, d’autant plus que si je suis un dieu romain à l’origine comme on le voit d’après ma dénomination, la conception qu’on avait de moi a subi au cours des siècles l’influence des spéculations grecques par exemple sur le daimon et celle de religions étrangères. Pour l’instant contente-toi de la réponse de l’érudit Censorinus, au IIIe siècle ap. J.-C. : “Le Génie est le dieu sous la protection duquel chacun de nous vit dès sa naissance. Soit qu’il veille à notre naissance, soit qu’il naisse en même temps que nous ou même qu’il nous accueille et nous protège une fois nés, c’est sans nul doute de ‘faire naître’ (a genendo) que le Génie tire son nom”2. C’est la raison pour laquelle, je suis désigné ici, au premier vers, par l’adjectif Natalis, dont le sens originel est ‘lié à la naissance’, (g)nascor étant de la même racine que genendo. L’épithète natalis accompagne souvent dies. L’expression natalis dies, (dans laquelle le mot dies est parfois omis), désigne communément le jour de la naissance et le jour anniversaire. Il est quelquefois difficile lorsque Natalis est employé seul de déterminer s’il se réfère à l’anniversaire personnifié ou au Genius. Pourtant il me semble bien que, vu le contexte, c’est moi que le poète a voulu désigner ici, tout comme en 3, 11, 19, ce que fait également Ovide en Tristes, 3, 13, 2 et 5, 5, 133.  J’accompagne l’être auquel je suis associé jusqu’à sa mort et je représente un peu sa personnalité. Quand il s’agissait d’un homme célèbre, mon culte a pu devenir public et avoir des interférences politiques : c’est le cas, par exemple, pour le Genius Augusti. D’un individu on a pu passer à plusieurs, et ainsi on a honoré le Genius populi Romani. On parle aussi du Génie d’un lieu. Si on me donne quelquefois l’apparence d’une personne, sur les peintures du mini sanctuaire appelé laraire dans la demeure familiale, en tant que génie du maître de maison, je suis souvent évoqué par un serpent à côté du Lare ou des Lares, divinités de l’emplacement de la construction (peut-être, selon quelques interprétations, les esprits des ancêtres), et des Pénates qui veillent sur l’intérieur de la bâtisse et, par conséquent, sur les provisions. Dans ces tableaux les serpents sont parfois au nombre de deux et on interprète le second comme représentant le Génie de la maîtresse de maison, ce que pourrait corroborer une indication de Censorinus4, mais, au vu des informations conservées, d’autres érudits se demandent si les femmes avaient un Genius ou si elles n’étaient pas simplement sous la tutelle de Junon5. On m’honore quotidiennement, mais on m’invoque en particulier lors des anniversaires de mon protégé en requérant ma présence, (car une prière latine commence toujours par une demande au dieu invoqué de venir). N’oublie pas qu’une fête d’anniversaire est chez les Latins une fête religieuse (Festus6 la classe dans les feriae privatae). Les participants doivent être vêtus de blanc, peut-être parce que le blanc est la couleur de la lumière du jour que l’être découvre à sa naissance, mais aussi parce qu’à Rome c’est le symbole de la joie et du bonheur. Comme dans toutes les cérémonies religieuses, étant donné la force performative efficiente que les Romains accordaient aux mots, il faut bien faire attention aux paroles qu’on prononce pour ne pas attirer le malheur ; il est très important de ne pas se tromper dans les formules sous peine d’irriter la divinité ; c’est pourquoi, cette hantise de ne pas commettre d’erreur, de ne dire que des mots favorables (lingua favere), peut amener à garder le silence (c’est la signification que prend parfois lingua favere). »

Intriguée par des usages si différents des nôtres, je m’enquis : « Dans ces occasions, n’es-tu honoré que par des paroles ? » « Non, répondit-il, on m’apporte aussi des offrandes, ainsi que l’indiquent les vers que tu viens de réciter, pour moi on jette sur le foyer de l’autel familial des grains d’encens, d’une valeur d’autant plus grande que ce dernier est importé d’une fabuleuse contrée lointaine, afin que leur odeur agréable me parvienne et m’environne. Pour les participants cela crée une atmosphère divine, matériellement par la fragrance et spirituellement en raison des images associées à ce produit que fournissait à Rome l’Arabie appelée « Heureuse » avec ses habitants raffinés (tener). On répand également du parfum sur ma statue, ici du nard pur très prisé et très cher, et on la couronne de fleurs, ce qui en plus de charmer les yeux, enchante l’odorat. On me gratifie aussi d’un gâteau rituel nommé libum, terme que Varron rattache à libare, ‘offrir aux dieux’7. C’est une pâtisserie spéciale confectionnée pour qu’une part en soit offerte aux divinités, en particulier lors des anniversaires (avant que les humains n’en mangent le reste8, ce qui symbolise une sorte de communauté entre homines et dei le temps de la cérémonie). Caton l’Ancien en a donné la recette9 : deux livres de fromage soigneusement pilé mélangées à une livre de farine de blé tendre  avec un œuf, auxquels on peut ajouter du miel, comme dans le libum offert par Tibulle pour l’anniversaire de Messalla10 ; les sucreries sont une façon d’annoncer la douceur souhaitée pour la journée d’anniversaire et pour la nouvelle année de vie qu’elle ouvre, car, ainsi que le proclame Ovide, à Rome “les commencements ont valeur de présage”11.  On m’offre aussi du vin pur (merum) qu’on répand sur ma statue ; en effet, si les Latins ne boivent eux-mêmes que du vin coupé d’eau, c’est du vin pur qu’ils offrent à leurs dieux. »

En pensant à ce que j’avais appris du culte des divinités à Rome, j’ajoutai : « Et quel animal sacrifie-t-on pour toi ? » Je vis alors le Génie faire un bond ! Il m’apostropha d’une voix indignée : « Ignorante », s’écria-t-il avec colère, « n’as-tu pas bien lu Varron, le plus savant des Romains ? Il explique pourtant que le jour où un être a vu pour la première fois la lumière de la vie j’interdis qu’il l’ôte à un autre être12. »

Vexée d’être traitée d’ignorante, j’argumentai voulant manifester ma science : « Cependant, le poète Horace, dans un passage où il décrit les préparatifs auxquels il s’adonne pour fêter chez lui l’anniversaire de son ami Mécène indique que “l’autel désire être aspergé par un agneau immolé”13. » Mon interlocuteur me fit remarquer : « Horace ne dit pas que l’agneau doit être immolé au Génie de Mécène. À l’autel familial on sacrifiait aussi aux Lares familiares ! Or, relis le Rudens de Plaute ; aux vers 1207-1208, un père de famille demande à sa femme de tout préparer pour qu’il offre un sacrifice aux Lares de sa famille et il lui indique “il y a à la maison des agneaux et des porcs prêts pour les dieux14”. » « Mais », hasardai-je, « ailleurs, ce même Horace écrit à son ami Aelius : “demain tu prendras soin de ton Génie avec du vin pur et un porc de deux mois en compagnie des serviteurs libérés de leurs tâches”15. » « As-tu noté », rétorqua-t-il, « qu’Horace n’indique pas qu’il s’agit de l’anniversaire d’Aelius ? Comme l’ode décrit une atmosphère hivernale, on peut penser qu’il parle d’une fête telle que les Saturnales16, d’autant plus qu’il précise que les esclaves seront dispensés de travail. En effet, les Saturnalia, en l’honneur de Saturne, se déroulent en décembre et commencent le 17 de ce mois ; leur durée, (la journée du seul 17 à l’origine), s’est allongée avec le temps. Ce sont des festivités très joyeuses, chômées. Non seulement les esclaves ne travaillent pas, mais toute différence sociale étant abolie, ils se comportent comme s’ils étaient égaux à leurs maîtres, partagent toutes les activités de ceux-ci sur un pied d’égalité ; parfois même les rôles sont inversés ! Ce ne sont que banquets, échanges de cadeaux, jeux interdits le reste de l’année, vêtements où l’on est à l’aise. Quelle belle période !  Mais assez là-dessus ; je ne compose pas un traité intitulé “Rome en fêtes” – cependant il faudra que j’y songe, car les fêtes d’une nation donnent une juste idée de celle-ci –. Revenons à notre sujet : sache que deux écrivains au moins, Martial17 et Lucien18, indiquent qu’on mange du porc lors des Saturnales. Il est vrai qu’ils ne disent pas explicitement si l’animal est immolé à une divinité.»

Coupant court à cette discussion, je passai alors à un autre sujet : « Lors d’un anniversaire, n’y a-t-il que le Génie qui soit honoré ? »  « Non », répondit-il, « l’être humain que j’accompagne l’est aussi. Mais ces choses t’étonneront moins, car mutatis mutandis vous agissez encore de même. On rend visite à celui dont on célèbre le jour de naissance, ­– en particulier les clientes, ‘protégés’, vont voir leur patronus, ‘protecteur’ –, ou on lui envoie des compliments par écrit. La personne fêtée reçoit des cadeaux. C’est en quelque sorte une façon de commencer l’an nouveau du récipiendaire par des prémices magiquement contraignantes afin que toute la durée de cette année soit  porteuse de bienfaits ! Dans le Satiricon de Pétrone, Trimalcion fait référence à un vêtement qu’un de ses clientes lui a offert pour son anniversaire. Le poète Martial cite également plusieurs types de dons. Certains de ces présents sont des livres  – et vous en avez conservé quelques-uns, comme Le jour anniversaire de la naissance cadeau de l’auteur, Censorinus, à Caerellius –, ou des poèmes comme celui de Tibulle que tu traduis. Naturellement, la famille, les amis, les relations formulent des vœux de bonheur pour le héros du jour. La personne fêtée peut être un homme, une femme, un enfant, ce peut être un membre de la famille ou un ami, car on célèbre l’événement pour soi-même ou en l’honneur de quelqu’un d’autre (même en l’absence de l’individu en question, comme Ovide célébrant dans le lieu où il est relégué l’anniversaire de son épouse restée à Rome19). Et je passe sur les personnages politiques de premier plan, dont les anniversaires deviennent des fêtes publiques, avec des réjouissances offertes au peuple comme ce sera le cas pour les empereurs ; mais ce n’est pas le sujet que je traite ici ! »

« Comment se termine la journée ? » interrogeai-je encore, pleine de curiosité. « Pourquoi me demandes-tu ce que tu peux trouver dans l’ode 4, 11 d’Horace que tu évoquais à l’instant ? Le poète commence par déclarer “j’ai une jarre remplie d’un vin d’Albe de plus de neuf ans”20 ; il invite une dénommée Phyllis à apprendre des airs pour venir les chanter. Le nom grec de cette femme, ces recommandations, l’indication qu’il lui donne “il y a dans mon jardin une grande quantité de lierre avec lequel, éblouissante, tu pourras rattacher tes cheveux”, font comprendre qu’il s’agit d’une de ces musiciennes qui égaient les comissationes, d’autant plus que le lierre est une plante consacrée à Bacchus, dieu du vin. Une comissatio est une réunion qui peut suivre immédiatement le repas du soir, ou se tenir plus tard dans la nuit. On y boit, on y porte des toasts, on y cause, on y est diverti. Cela rappelle le symposion grec. Les convives sont oints de parfums et parés de couronnes faites de feuilles et de fleurs. Ils ne reçoivent ces couronnes que lorsque commence la comissatio. Chacun en a au moins deux, une autour du cou pour respirer ses effluves et une sur la tête. Certaines plantes sont censées avoir des vertus particulières comme le lierre qui passe pour préserver de l’ivresse ; d’autres ont valeur de symbole. À l’origine les couronnes étaient utilisées dans les cérémonies liées à la religion et indiquaient que celui qu’elles décoraient était momentanément placé à part, dans le domaine du sacré. Puis elles ont été considérées également comme une marque de joie21. On désigne, parfois par tirage au sort, un rex ‘roi’, qui décide dans quelle proportion l’eau sera mélangée au vin, le nombre de coupes que chacun boira, l’ordre du service etc. Pour l’anniversaire de Mécène, parmi les préparatifs, Horace signale que des flammes dansent en faisant tournoyer des tourbillons de fumée grisâtre ; on peut supposer que cela correspond à la cuisson d’un repas. Tous les témoignages latins, d’ailleurs, font état lors d’un anniversaire d’un repas, qualifié de natalicius (adjectif parfois substantivé), plus ou moins copieux selon le cas. Dans le milieu que fréquente Horace, pour son cercle d’amis il y aura donc une cena, ‘dîner’, suivie d’une comissatio. Néanmoins cena et comissatio ne sont pas spécifiques pour les anniversaires ; on peut en organiser en d’autres circonstances. ». Soudain, la sonnerie du téléphone me fit sursauter. Je me rendis compte que je m’étais endormie en traduisant Tibulle et que tout cet échange avec le Génie n’était qu’un rêve influencé par le début des Fastes d’Ovide où le poète imagine une conversation entre lui et le dieu Janus et que j’avais lu la veille !

Comment les romains connaissaient-ils leur date d’anniversaire ?

 Notes

  1. Dicamus bona verba : venit Natalis ad aras ; / Quisquis ades, lingua, vir mulierque, fave. / Urantur pia tura focis, urantur odores / Quos tener e terra divite mittit Arabs./Ipse suos Genius adsit visurus honores, / Cui decorent sanctas mollia serta comas ; / Illius puro destillent tempora nardo, / Atque satur libo sit madeatque mero, / Adnuat et, Cornute, tibi quodcumque rogabis (Tibulle, 2, 2, 1-9). Texte (avec modification partielle de la traduction) tiré de Tibulle et les auteurs du Corpus Tibullianum, texte établi et traduit par Ponchont, 1950.
  2. Genius est deus cuius in tutela, ut quisque natus est, vivit. Hic sive quod ut genamur curat, sive quod una genitur nobiscum, sive etiam quod nos genitos suscipit ac tutatur, certe a genendo Genius appellatur (Cens. 3, 1). Traduction et texte tirés de Censorinus, Le jour anniversaire de la naissance, texte établi, traduit et commenté par Freyburger avec la collaboration de Chevallier, 2019.
  3. Voir De Seta, art. Natalis, dans Thesaurus linguae Latinae, vol. IX 1, fasc. 1, col. 126, 50-57. Voir aussi Tibullus, Elegies, Text, Introduction and Commentary by R. Maltby, Cambridge, 2002, p. 387.
  4. Voir Cens. 3, 3 qui déclare que dans les maisons où il y a un couple marié, certains pensent qu’il faut honorer les deux Génies.
  5. Tibulle, 3, 12, 1, évoque une jeune femme qui pour son anniversaire offre de l’encens à Junon natalis et aucun Génie n’est mentionné dans ce poème. Junon est une des déesses qui œuvrent pour une naissance. R. Schilling (art. Genius dans Dictionnaire des mythologies et religions des sociétés traditionnelles et du monde antique, sous la direction de Bonnefoy, Y., Paris 1981) pense que « le parallélisme Genius – Iuno n’est qu’une construction tardive qui se rencontre pour la première fois chez Tibulle ». À noter que dans le poème dans lequel Ovide raconte comment il fête  l’anniversaire de sa femme, il prie (Tristes, 5, 5, 13-14) : Optime Natalis[…] opto / […] huc venias, « Excellent dieu du jour anniversaire, je souhaite que tu viennes ici » (sans toutefois utiliser le terme Genius), et que dans Sénèque (Lettres à Lucilius, 110, 1) on peut lire que maiores […] singulis […] et Genium et Iunonem dederunt, « nos ancêtres attribuèrent aux êtres, chacun un, et un Génie et une Junon ».
  6. Festus, 242.
  7. Varron, La langue latine, 5, 106 et 7, 44.
  8. Varron, La langue latine, 5, 106.
  9. Voir la recette, notamment le mode de cuisson, dans Caton, De l’agriculture, 75. On peut remplacer la livre de farine de blé tendre par une demi-livre de farine de blé dur.
  10. Tibulle, 1, 7, 54.
  11. Traduction tirée de Ovide, Les Fastes, trad. et comm. par Le Bonniec, Paris 1990 (1, 178 : Omina principiis inesse solent).
  12. Voir Cens., 2, 2 qui indique comme sa source une œuvre varronienne intitulée Atticus ( = Varron, Logistorici, fr1 Semi).
  13. Hor., Odes, 4, 11, 6-8 : ara […] avet immolato /spargier agno.
  14. Plaute, Rudens, 1207-1208 : adorna ut rem divinam faciam […] / Laribus familiaribus […]. / Sunt domi agni et porci sacres.
  15. Hor., Odes, 3, 17, 14-16 : cras Genium mero / curabis et porco bimenstri / cum famulis operum solutis.
  16. C’est une suggestion, parmi d’autres, qu’on peut lire dans F. Plessis et P. Lejay, Œuvres d’Horace, Paris 1909, p. 159, note 1. Même interprétation dans J.-A. Hild, art. Saturnalia, dans C. Daremberg, E. Saglio, E. Pottier, Dictionnaire des antiquités grecques et romaines, Paris 1877-1919.
  17. Martial, Épigrammes, 14, 70.
  18. Lucien, Saturnales, 17.
  19. Ov., Tristes, 5, 5.
  20. Hor., Odes, 4, 11, 1-2 : Est mihi nonum superantis annum / plenus Albani cadus…
  21. Voir E. Saglio, art. corona dans C. Daremberg, E. Saglio, E. Pottier, Dictionnaire des antiquités grecques et romaines, Paris 1877-1919.
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Comment citer

Deschamps, Lucienne (2022) : “« Joyeux anniversaire ! » Comment fêtait-on un anniversaire privé chez les Romains ?”, in : Lacroix, Audrey, éd., L’Antiquité est une fête, Actualités des études anciennes, le carnet scientifique de la Revue des Études Anciennes, Ausonius éditions, 13-19 [en ligne] https://una-editions.fr/joyeux-anniversaire [consulté le 23/03/2022]
Posté le 26/04/2022
EAN html : 9782356135001
ISBN html : 978-2-35613-500-1
Publié le 26/04/2022
ISBN livre papier : 978-2-35613-501-8
ISBN pdf : 978-2-35613-502-5
6 p.
Code CLIL : 3385; 3666
DOI : 10.46608/balade2.9782356135001.2
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