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La céramique estampée tardive ou DSP

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La collection comporte 80 fragments de céramique estampée représentant 49 individus en nombre minimum pondéré. Les tessons, de petite taille, sont usés, le revêtement de surface est abîmé, parfois absent. Il n’y a que deux vases archéologiquement complets.

Catalogue

Les vases sont représentés à l’échelle 1/3, les décors mis en exergue sont à l’échelle 1.

1-T.DSP- 25 : Type : fragment de forme Rigoir 1 : plat ou assiette avec marli

Dimensions : H. conservée : 3,5 cm, diamètre : 32 cm.

Texte : le marli présente un profil rectangulaire, creusé sur le dessus de deux rainures encadrant un décor estampé de rouelles composées de cercles concentriques avec un contour pointillé. L’empreinte n’est pas lisible. La panse est peu profonde. Le fond semble sans pied ainsi qu’il est habituel pour la forme 1 à Bordeaux. La surface a été engobée mais il ne reste de l’engobe noir que des traces.

Datation : Ve siècle p.C.

2-T.DSP- 26 : Type : fragment de forme Rigoir 1 : plat ou assiette avec marli

Dimensions : H. conservée : 2,9 cm, diamètre : 35 cm.

Texte : c’est un fragment de marli et de début de panse. Le bord du marli forme un bourrelet  entaillé par des encoches décoratives. Des rouelles décoraient la surface plane du marli. L’empreinte est effacée. L’engobe marron-noir ne subsiste que très partiellement.

Datation : Ve siècle p.C.

3-T. DSP- 27 : Type : fragment de forme Rigoir 1 : plat ou assiette avec marli

Dimensions : H. conservée : 4 cm, diamètre : 35 cm.

Texte : Le bord saillant du marli est animé par des encoches. Sur la partie plane, des rouelles à rayons ont été imprimées. L’usure ne permet pas de la restituer. Il ne reste pas de traces de l’engobe.

Datation : Ve siècle p.C.

Les assiettes de forme Rigoir 1 sont représentées par au moins six individus. Il y a six bords. Deux sont en très mauvais état de conservation. On ne peut pas savoir si le dessus du marli avait reçu une décoration. Un très petit fragment porte une rouelle composée de cercles concentriques avec un contour pointillé.

Six fragments de fond sans pied appartiennent probablement à des vases de forme 1. Un de ces fonds montre une couronne de guillochis, quatre autres en sont dépourvus. Le dernier est trop fragmenté. De la décoration, il subsiste le sommet d’une palmette et la partie centrale d’une autre palmette à nervures latérales montantes et contour pointillé. Les empreintes sont trop lacunaires pour être identifiées.

Les critères typologiques et stylistiques permettent de situer la datation dans la première moitié du Ve siècle. Ces tessons se rattachent à la production bordelaise.

4-T-DSP-1 : Type : deux fragments de forme Rigoir 4 : plat ou assiette à lèvre simple

Dimensions : H. conservée : 3,7 cm, diamètre : 20 cm.

Texte : vase archéologiquement complet. Le bord présente un léger bourrelet saillant vers l’intérieur, ce qui le rattache à la variante la plus fréquente de la production bordelaise. Le fond est orné d’une couronne de guillochis, de deux rainures, de palmettes rayonnantes et d’un médaillon central. Les palmettes ont été apposées en dernier puisqu’elles recoupent le médaillon et les rainures. Le médaillon incomplet comporte un cerf tourné vers la gauche, une ligne de sol surmontée d’une palme, au dessous : deux arceaux emboîtés et une croix double, au dessus : deux arceaux emboîtés et un motif circulaire indéterminé. Ce décor numéroté Rigoir 2285 n’a été repéré qu’à Montcaret mais il est associé à d’autres décors, notamment le médaillon au cerf Rigoir 901 qui lui ressemble beaucoup1.

La palmette, Rigoir 2262, possède un axe à deux nervures, des nervures latérales montantes, une base saillante et un contour pointillé.

La finition est soignée. La surface, bien conservée, a été polie puis a reçu un engobe gris.

Datation : Ve siècle.

Assiette de type Rigoir 4 (T-DSP-1)

5-T-DSP-2 : Type : trois fragments de forme Rigoir 4 : plat ou assiette à lèvre simple

Dimensions : H. conservée : 3,6 cm, diamètre : 18 cm.

Texte : le bord de la lèvre est arrondi, le profil de la panse est ouvert. Une couronne de guillochis est présente au bas de la panse.

Datation : Ve-VIe siècle.

6-T-DSP-3 : Type : trois fragments de forme Rigoir 4 : plat ou assiette à lèvre simple

Dimensions : H. conservée : 3,4 cm, diamètre : 21 cm.

Texte : le profil correspond à la même variante que le vase précédent. Il subsiste une mince bande de la couronne de guillochis habituelle. La surface engobée grise est très usée, surtout à l’extérieur.

Datation : Ve-VIe siècles.

7-T-DSP-4 : Type : un fragment de forme Rigoir 4 : plat ou assiette à lèvre simple

Dimensions : H. conservée : 3,9 cm, diamètre : 19 cm.

Texte : la lèvre présente un léger bourrelet intérieur. Une couronne de fins guillochis a été gravée au bas de la panse. Ce tesson à la finition soignée a été exposé aux flammes d’un feu, ce qui a modifié la couleur initiale de l’engobe.

Datation : Ve siècle. 

8-T-DSP-5 : Type : un fragment de forme Rigoir 4 : plat ou assiette à lèvre simple

Dimensions : H. conservée : 3,6 cm, diamètre : 19,6 cm.

Texte : le bord de la lèvre est simplement arrondi. L’épaisseur des parois est assez fine. La surface externe n’est pas animée des deux habituelles rainures situées sous la lèvre, mais d’une impression de palmettes. C’est une palmette à nervures montantes avec un axe interrompu à plusieurs reprises et un contour pointillé. La pâte est de couleur beige et les traces d’engobe restant sont orangées. Ce vase diffère sensiblement des caractéristiques des assiettes de forme 4 à Bordeaux et se rapproche des productions d’origine languedocienne. Un tesson d’assiette de forme 1 ou 8, découvert à Narbonne, porte ce même genre de décor de palmette sur la panse.2

Datation : Ve siècle.

9-T-DSP-24 : Type : un fragment de fond d’assiette de forme Rigoir 4 avec une large rainure.

Dimensions : 6,5 x 6 cm, ép. 7 à 8 cm.

Texte : La décoration est assurée, en l’absence de la couronne de guillochis, par une palmette. Elle a deux nervures centrales, des nervures latérales montantes et un contour dentelé. Elle porte le n° 2531 dans le catalogue de J. et Y. Rigoir3.

Datation : L’association des critères typologiques et décoratifs situe ce fragment dans la première moitié du Ve siècle.

Il y a aussi quinze tessons de bord de forme 4 (inv. n° 6,7, 9, 10, 12, 13 et 15 à 23) et au moins deux fonds (inv. n° 8, 14). Tous les bords correspondent  morphologiquement et techniquement aux standards de la production bordelaise.

Deux tessons de fond d’assiette ne sont pas attribuables à une forme précise. Ils portent une empreinte de palmette, illisible pour l’un, très fragmentaire pour l’autre. Il s’agit peut-être de la palmette Rigoir 895 déjà connue à Bordeaux, Nantes et Poitiers.

10-T-DSP-38 : Type : fragment de forme Rigoir 30 : coupelle ou couvercle

Dimensions : 4,5 x 5 cm, diamètre : à peu près 13 cm.

Texte : Le bord arrondi est marqué à l’intérieur par une rainure. Trois jeux de deux rainures animent les surfaces intérieures et extérieures. L’engobe gris est très usé.

Datation : Ve-VIe siècles.

11-T-DSP-39 : Type : fragment de forme Rigoir 30 : coupelle ou couvercle

Dimensions : 3 x 4 cm, diamètre : indéterminable.

Texte : Bord en léger bourrelet. L’engobe gris encore présent à l’intérieur est plus détérioré à l’extérieur où il semble avoir formé des coulures.

Datation : Ve-VIe siècles.

12-T-DSP- 40 : Type : fragment de forme Rigoir 6 : bol

Dimensions : H. conservée : 7,7 cm, diamètre : 12 cm.

Texte : Ce tesson nous permet d’avoir une vision archéologiquement complète de ce vase.  Le bord  aminci est souligné à l’extérieur par une rainure. La panse a reçu un décor imprimé de palmette cantonné vers le bas par deux rainures. Le bol repose sur un haut pied annulaire. La palmette Rigoir 2186 possède un sommet peu distinguable, probablement  un cercle pointé, deux nervures axiales, des nervures latérales descendantes suivies de quatre cercles concentriques pointés. Cette palmette a déjà été relevée sur des formes de bol à Andernos et Saint-Bertrand de Comminges4. L’application du poinçon est peu soignée : les palmettes se chevauchent  et sont souvent mal imprimées. La surface encore brillante comporte des coulures d’engobe gris foncé. Le tesson inventorié T-DSP-63 appartient très probablement à ce vase.

Datation : Le type de décoration utilisé est caractéristique des débuts de la production bordelaise, soit de la première moitié du Ve siècle5.

13-T-DSP-41 : Type : fragment de forme Rigoir 6 : bol

Dimensions : H. conservée : 4,9 cm, diamètre : 13,5 cm.

Texte : La lèvre est légèrement déjetée, marquée par une rainure extérieure. La panse est occupée par un décor déjà rencontré mais peu fréquent. Seul est imprimé le contour pointillé d’un poinçon de palmette formant ainsi un nouveau décor.  La surface est très usée. Il ne reste plus que quelques traces d’engobe gris foncé.

Datation : Début du Ve siècle pour les mêmes raisons que le tesson précédent.

14-DSP-44 : Type : fragment de forme Rigoir 9 : bol à collerette rabattue

Dimensions : H. conservée : 4,7 cm, diamètre : 13 cm.

Texte : Ce vase a un bord droit, un flanc supérieur vertical orné d’une bande de guillochis, une collerette rabattue fragmentaire, une panse hémisphérique. Cette forme ne fait pas partie de la typologie bordelaise. On la trouve au sein des productions languedociennes et provençales, en petit nombre cependant. Ces caractéristiques la rapprochent  plutôt des vases languedociens. Il s’agit probablement d’une céramique importée. La surface est soignée, l’engobe est marron-gris.

Datation : cette forme semble être propre au Ve siècle.6

15-T-DSP-45 : Type : fragment de forme Rigoir 18 : bol

Dimensions : H. conservée : 6,3 cm, diamètre : indéterminable

Texte : La forme 18 issue du ou des ateliers bordelais est très reconnaissable à son col penché vers l’extérieur suivi d’une panse presque hémisphérique. Aucun décor n’a été apposé sur le col ou la panse. La surface très érodée ne garde pas de vestiges de son aspect initial.

Datation : Ve-VIe siècles.

16-T-DSP-46 : Type : fragment de forme Rigoir 18 : bol

Dimensions : H. conservée : 2,8 cm, diamètre : 15 cm.

Texte : fragment de col. La surface polie est gris clair. La présence d’un engobe n’est pas assurée.

Datation : Ve-VIe siècles

Outre ces fragments attribuables à une forme précise, on compte six tessons appartenant au type bol : deux fragments de panse (T-DSP-42 et 51) ainsi que quatre pieds  (T-DSP-47 à 50).

17-T-DSP-53 : Type : fragment de forme Rigoir 29 : mortier

Dimensions : H. conservée : 5,7 cm, diamètre : aux alentours de 27 cm.

Texte : La lèvre est à peu près rectangulaire, mais très relevée. L’engobe gris subsiste à peine.

Datation : Ve-VIe siècles

18-T-DSP-58 : Type : fragment de forme Rigoir 29 : mortier

Dimensions : H. conservée : 3,6cm, diamètre : entre 28 et 29 cm.

Texte : Lèvre un peu rectangulaire, recourbée vers le bas. Le bourrelet interne se situe à peu près à la même hauteur que la lèvre. La surface grise est en bon état.

Datation : Ve-VIe siècles

19-T-DSP-59 : Type : fragment de forme Rigoir 29 : mortier

Dimensions : H. conservée : 4,3 cm, diamètre : aux alentours de 29 cm.

Texte : Le type de la lèvre est le même que celui du tesson précédent. L’extérieur du vase semble ne pas avoir été engobé contrairement à la lèvre et à l’intérieur où des traces grises sont encore visibles.

Datation : Ve-VIe siècles

20-T-DSP-56 : Type : fragment de forme Rigoir 29 : mortier

Dimensions : H. conservée : 3,7 cm, diamètre : 28 cm.

Texte : La lèvre a tendance à devenir plus triangulaire. Une partie du bec verseur est conservée. Il est formé par le bourrelet de la petite lèvre, détaché et recollé sur la grande. La surface est assez érodée.

Datation : Ve-VIe siècles

21-T-DSP-57 : Type : fragment de forme Rigoir 29 : mortier

Dimensions : H. conservée : 4,5 cm, diamètre : aux alentours de 29 cm.

Texte : lèvre très ramassée, triangulaire, engobe gris intérieur et extérieur.

Datation : Ve-VIe siècles

Au total, les fragments de mortier sont au nombre de 21 : 14 tessons de bords, 2 de fonds et 5 panses présentant des éléments de râpe. Les lèvres se distribuent entre les deux variantes déjà vues : rectangulaires plus ou moins recourbées et triangulaires.

22-T-DSP-52 : Type : fragment de vase à liquide

Dimensions : 4,5 x 7 cm.

Texte : Il s’agit d’une panse de vase à liquide de forme indéterminée. La décoration qu’elle porte rappelle celle qui décore  les formes 28 produites en Languedoc7. On distingue encore le haut d’une rouelle à contour pointillé et une inscription faite après cuisson dont il reste les lettres ARIA. Ce type d’inscription est assez rare sur la céramique estampée. Un exemple est connu sur le marli d’un bol découvert à Glanum8 et sur des bols à Saint-Vincent-de-Palats (Aude)9. La surface extérieure ne semble pas avoir été engobée entièrement : on voit une légère coulure d’engobe gris.

Datation : Ve siècle.

Synthèse

La plupart des fragments retrouvés sont à rattacher à la production bordelaise. Ils correspondent aux critères techniques et typologiques définis10. Cependant trois tessons sont étrangers à cette production : le fragment d’assiette Rigoir 4 de couleur orangée avec un décor extérieur (T-DSP-5), la forme de bol Rigoir 9 (T-DSP-44), et la panse de vase à liquide décorée elle aussi (T-DSP-52). Ceux-ci sont proches des productions languedociennes en ce qui concerne la typologie et la décoration. Ce type de matériel est présent en contexte urbain mais aussi sur des sites ruraux en Gironde : Monségur, Saint-Laurent-des-Combes, comme en Dordogne : Petit-Bersac, Saint-Méard de Drône. Il est semble-t-il datable du début du Ve siècle.

Le nombre de céramiques estampées mis au jour sur le site de la villa de Montcaret est important lorsqu’on le compare aux découvertes effectuées sur d’autres villas en Gironde et en Dordogne.

D’autre part, le pourcentage de chaque forme est quelque peu surprenant par rapport aux résultats obtenus sur d’autres fouilles notamment à Bordeaux. La forme 4 est la forme la plus fréquente, elle peut représenter presque 20 % du total du NMI. À Montcaret elle atteint le double.

La quantité de mortier est aussi étonnante. C’est une forme qui tient une place non négligeable au sein du répertoire de la production bordelaise avec près de 9 % en moyenne. Ici, avec 28 % ils sont surreprésentés. Peut-être cette différence résulte-t-elle d’un ramassage sélectif des tessons constituant cette collection. 

Les formes d’assiette sont beaucoup plus abondantes que celles de bol alors que la différence est minime à Bordeaux.

Le lot semble donc être de composition peu homogène, ce que confirment les éléments de datation. En effet, les indices typologiques et stylistiques montrent que les assiettes de forme 1, une partie des formes 4 et les bols de forme 6 se situent plutôt vers les débuts de la production et la première moitié du Ve siècle. Les vases venus probablement du Languedoc appartiennent à cette même période. En revanche, les fragments de forme 30 et les mortiers font leur apparition un peu plus tardivement. Ils sont plus fréquents dans la seconde moitié du Ve siècle et au VIe siècle.

Bibliographie

  • Bonifay, M., Carre, M.-B. et Rigoir, Y., dir. (1998) : Fouilles à Marseille : les mobiliers (Ier-VIIe siècles ap. J.-C.), Études Massaliètes 5.
  • Courtieu, J. et al. (1980) : “Dérivées des sigillées paléochrétiennes de l’Aude, un atelier carcassonnais ?” , Bulletin de la Société d’études et de Sciences de l’Aude, 80, 1.
  • Guyon, J., Rigoir, J. et Rigoir, Y. (1990) : “Une inscription sur dérivée-des-sigillées paléochrétienne de Glanum”, DAM, 13, 272-276.
  • Rigoir, J. et Rigoir, Y. (1991) : “Les dérivées des sigillées paléochrétiennes”, in : Solier dir. 1991, 123-213.
  • Rigoir, J., Rigoir, Y. et Meffre, J.-F. (1973) : “Les dérivées des sigillées paléochrétiennes du groupe atlantique”, Gallia, 31, 207-263.
  • Rigoir, J., Rigoir, Y. et Rivet, L. (1987) : “Cruches et pots en sigillée paléochrétienne”, Actes du Congrès de la SFECAG (Caen, 1987), Marseille, 183-206.
  • Solier, Y., dir. (1991) : La basilique du Clos de la Lombarde à Narbonne, Revue Archéologique de Narbonnaise Suppl. 23.
  • Soulas, S. (1996) : “Présentation et provenance de la céramique estampée à Bordeaux”, Aquitania, 14, 237-253.
  • Soulas, S. (2000) : “Éléments d’évolution de la céramique estampée d’après les fouilles de la place Camille-Jullian à Bordeaux”, Actes du congrès de la SFECAG (Libourne, 2000), Marseille, 151.

Notes

  1. Rigoir & Meffre 1973, 207-263.
  2. Rigoir 1991, 123-213. Des palmettes ont été imprimées sur la panse du n°9720, 128, figure 4.
  3. Rigoir & Meffre 1973, 207-263.
  4. Rigoir & Meffre 1973, 207-263.
  5. Soulas 2000, 151.
  6. Bonifay et al., dir. 1998.
  7. Rigoir & Rivet 1987, 183-206.
  8. Il s’agit d’une formule d’acclamation en partie conservée : …OLE VIVAS E … (Guyon & Rigoir 1990, 272-276).
  9. Ce sont des fragments qui portent des inscriptions très incomplètes : …NOB… sur l’un et …OBI… sur l’autre. (Courtieu et al. 1980, 42 et 55, fig. 21).
  10. Soulas 1996, 237-253.
ISBN html : 978-2-35613-384-7
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Posté le 31/01/2021
EAN html : 9782356133847
ISBN html : 978-2-35613-384-7
ISBN livre papier : 978-2-35613-386-1
ISBN pdf : 978-2-35613-385-4
ISSN : 2741-1508
12 p.
Code CLIL : 4117
licence CC by SA

Comment citer

Soulas, Sylvie, “La céramique estampée tardive ou DSP“, in : Berthault, Frédéric, éd., La villa romaine de Montcaret. Une villa et son environnement dans le sud-ouest de la Gaule, Pessac, Ausonius éditions, collection DAN@ 1, 2021, 167-178, [en ligne] https://una-editions.fr/ceramique-estampee-tardive-dsp/ [consulté le 1er février 2021].
doi.org/http://dx.doi.org/10.46608/dana1.9782356133847.17
Accès au livre La villa gallo-romaine de Montcaret (Dordogne). Une villa et son environnement dans le sud-ouest de la Gaule
Publié le 31/01/2021
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