Notre gratitude va à tous ceux qui ont entouré l’élaboration de cet ouvrage.
D’abord Jean-Bernard Marquette qui n’en a hélas pu voir l’aboutissement. Le premier, dans le cours d’une thèse sur l’Agenais, il a signalé tout l’intérêt de reprendre une édition scientifique du bullaire. Jacques Clémens nous a communiqué une transcription qu’il n’a pas pu relire complètement, ni annoter. Ezéchiel Jean-Courret a réalisé les cartes et a contribué à la synthèse générale.
Ensuite Stéphanie Vincent pour la plateforme UN@. Elle nous a suggéré de réaliser cet ouvrage sur un support électronique pour répondre plus souplement aux exigences d’un important volume d’informations.
Mais nous devons aussi souligner l’apport de tous ceux qui, au fil d’échanges sur des années, ont nourri notre réflexion, en particulier les collègues de l’Académie des sciences, lettres et arts d’Agen : sa présidente, Bénédicte Bousquet, qui a suivi les avancées avec sympathie ; Hervé Bouillac, Daniel Christiaens, Jean-Luc Moreno, Francis Stephanus qui ont, chacun, apporté leur pierre à cet imposant édifice. L’Académie d’Agen, depuis une communication présentée en juin 2006, s’est préoccupée de contribuer mener à bonne fin des travaux entrepris dès la fin du XIXe siècle, que tous ses responsables, depuis si longtemps, en soient remerciés.
Nous ne pouvons pas oublier la diligence, la patience et la compétence des archives de Lot-et-Garonne, en particulier de son directeur, Stéphane Capot, ainsi que l’apport ponctuel mais déterminant des archives et des archivistes du Gers et de la Côte-d’Or dans notre recherche d’une documentation complémentaire.
Enfin, ce travail n’aurait pas pu aboutir sans le soutien du Conseil départemental de Lot-et-Garonne. Que sa présidente reçoive cet ouvrage comme la manifestation de la richesse des archives et de la vigueur des nombreuses recherches historiques menées en Agenais.