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Les céramiques sigillées de la villa de Montcaret

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La collection Tauziac comprend des éléments de trente-huit formes en céramique sigillée gallo-romaine. À l’exception de quatre pièces archéologiquement complètes, les autres sont assez fragmentées mais néanmoins parfaitement identifiables. L’étude de ce lot, bien que très modeste, nous livre de précieux renseignements sur la chronologie de la villa de Montcaret et sur la longévité de son occupation. Il permet en particulier d’en situer les débuts au cours du second quart du Ier siècle p.C., ce que confirme la présence de trois formes lisses d’époque julio-claudienne de La Graufesenque (Millau, Aveyron). Le second siècle, pour sa part, est matérialisé par une belle série de coupelles Drag. 51 originaires de la grande manufacture sud-gauloise de Montans (Tarn), ainsi que par quelques vases sortis de l’atelier arverne de Lezoux (Puy-de-Dôme), au nombre desquels il convient de compter deux exemplaires de coupes hémisphériques Drag. 37, de belle facture et au décor bien conservé. La présence de ces dernières n’a rien de surprenant ni d’anachronique ; elle confirme, si besoin était, la diffusion, à partir des années 160, des productions lézoviennes en direction des marchés du bassin Aquitain, de la moyenne Garonne et de l’estuaire girondin.

On trouvera ci-dessous le catalogue raisonné des pièces les plus significatives, présentées par ateliers de production.

Ateliers du sud de la Gaule

La Graufesenque

* Sigillée lisse

1 – (Inv. T-sig-39) : Fgt. d’un plat Drag. 15/17. Fin Tibère – début Claude.

2 – (Inv. T-sig-40) : Fgt. de pied annulaire d’une assiette de forme indéterminée. Claude.

3 – (Inv. T-sig-38) : Fgt. de panse d’une coupelle Drag. 24/25. Claude.

Montans

* Sigillée lisse

4 – (Inv. T-sig-37)

Fgt. d’assiette Drag. 15/17 (diam. bord : 17,6 cm). Fin Tibère – début Claude.

5 – (Inv. T-sig-4)

Coupelle Drag. 46, profil complet (diam. bord : 13,4 cm ; h. : 4 cm ; diam. pied : 4,8 cm). Troisième quart du IIe s. p.C.

6 – (Inv. T-sig-3)

Coupelle T-sig-3
Coupelle Curle 15 (T-sig.-3) avec estampille EPPIAE.

Coupelle Drag. 51 (Curle 15), profil complet (diam. bord : 11,6 cm ; h : 4,6 cm ; diam. pied : 4,5 cm), avec estampille rectangulaire EPPIAE sur le fond interne (Conil 1934, 88 ; Berthault 1997, 164). Troisième quart du IIe s. p.C.

Variété de timbre connue à Montans (Martin 1977, fig. 9, n°3 ; Martin 1979, fig. 4, n°11 ; Martin 1996, fig. 46 A, 2e ligne à droite) et attribuable à la production de l’atelier de L. Eppius, l’un des derniers grands maîtres-potiers de la manufacture tarnaise.

L. Eppius est un figulus montanais contemporain des règnes d’Antonin le Pieux et de Marc-Aurèle (sur cette datation tardive de sa période d’activité, cf. Funk 1976, qui mentionne la découverte de deux vases de L. Eppius associés à un as de Marc-Aurèle frappé à Rome en 171 p.C.). C’est très probablement le dernier grand potier de l’atelier tarnais à avoir disposé d’une main-d’œuvre importante, comme semble le suggérer la variété des ses estampilles découvertes lors de la fouille de son atelier (Martin 1977, 66 et 68 ; Martin 1979, n°11 à 20). Malgré le caractère tardif de sa phase de production, ses vases ont fait l’objet d’une diffusion large et soutenue dans tout le Sud-Ouest de la Gaule. La présence de pièces estampillées à son nom, trouvées notamment à Toulouse (Baccrabère 1988, 365), à Saint-Genès (Labrousse 1964, fig. 2, n°16), à Auch (Labrousse 1972, 352 et fig. 3, n°110 ; Ferry 1995, 34, AR 32 ; Ferry 1997, 37, n°44-45), à Montmaurin (Fouet 1969, fig. 103, n°783), à Boussens (Labrousse 1959, 421), au Mas-d’Agenais (Cadenat 1982, 80 et fig. 65, n°11), à Périgueux (Tilhard 1977b, pl. 1, n°59), à Jarnac (Tilhard 1972, 243, n°15), à Bordeaux (Oswald, Index, 115), à Saintes (Tilhard 1976, pl. 2, n°37-39), à Malaville (Tilhard 1997, fig. 2, n°4) ou encore à Agen (Tilhard 1985, 196, n°11 ; Jacques et Martin 1997, fig. 7, n°47), en apporte une preuve indiscutable.

7 à 14 – Huit exemplaires de coupelles Drag. 51, privées de pieds et analogues à la précédente. Milieu – Troisième quart du IIe siècle p.C.

* Sigillée moulée

15 – (Inv. T-sig-21)

Bord et registre supérieur d’une coupe carénée Drag. 29B (diam. b. = ), décoré d’un rinceau avec décurente volutée et motif en X à extrémités vrillées (Rossignol, Album, pl. 117 et 124, n°2 ; Simpson 1976, fig. 6, n°27 ; Tilhard 1977, pl. 6, n°44 ; Martin 1986, 79, fig. 16, n°2-3 ; Martin 1996, fig. 43, n°2-3). Style de Logirnus. Néron-Vespasien.

16 – (Inv. T-sig-22)

Fgt. de panse d’un Drag. 37 à décor libre, de médiocre qualité et faiblement grésé, reproduisant une scène de chasse (chiens courant à droite, cerf). Production tardive de Montans. Dernier quart du IIe s. – début IIIe s. p.C.

Ateliers de la Gaule du Centre

Cette variété de production comprend sept pièces, au nombre desquelles figurent deux Drag. 37 de Lezoux aux décors parfaitement identifiables, produits durant le troisième quart du IIe siècle p.C. (n°21-22).

* Sigillée lisse

17 – (Inv. T-sig-16)

Profil d’un Drag. 35/36 à pied annulaire, avec bordure écornée (h. : 4,4 cm ; diam. pied : 4,7 cm).

18 – (Inv. T-sig-15)

Bord et panse d’un Drag. 46 (diam. bord : 10,4 cm). Seconde moitié du IIe s. p.C.

19 – (Inv. T-sig-17)

Fond d’un Drag. 46 avec estampille anépigraphe (rosette à huit pétales). Seconde moitié du IIe s. p.C.

20 – (Inv. T-sig-13)

Bord d’un Drag. 51 (diam. bord : 11,4 cm). Seconde moitié du IIe s. p.C.

* Sigillée moulée

21 – (Inv. T-sig-1)

Bol T-sig-1
Drag. 37 (T-sig-1) avec estampille Cantomallus rétro (cl. P. Cambra).
Estampille
Estampille Cantomallus rétro (cl. P. Cambra).
Frise
Drag 37 (T-Sig-1) frise.

Drag. 37 pratiquement complet avec estampille intra-décorative in forma de Cantomallus (Martin 2002, fig. 2). Décor de bonne facture malgré quelques empâtements au niveau de certains reliefs. Pied annulaire rapporté, au profil en biseau (diam. bord : 23 cm ; h. : 13,5 cm ; diam. pied : 7 cm). Couverte rouge foncé (Munsell 10R 4/6), avec aspect satiné, de belle qualité ; pâte rouge tirant légèrement vers le rose (Munsell 5R 5/6), fine et dure. Atelier de Lezoux, phase 7 (milieu – second moitié du IIe s.).

Décor : la limite supérieure est occupée par une rangée d’oves régulièrement espacés (orle double, bâtonnet séparé à droite hachuré ; variété attestée chez Paternus II) ; ligne perlée au-dessous (Rog. A2). La panse reproduit une suite de huit grandes métopes, alternativement simples ou divisées, que délimitent des lignes perlées verticales ponctuées aux extrémités. Celles-ci sont séparées par sept atlantes de grand format (Osw. 1207A), la liaison de la plage décorée étant matérialisées par deux métopes jointives, sans atlante intercalé ; une petite estampille rétrograde CANTOMALLIM, avec ligature MA (Bet & Delage 1991, fig. 11, n°70 ; Rogers 1999, 81, fig. 17, n°1-3 ; avec M et A nettement ligaturés, Hofmann 1971, pl. 14, n°227) jouxte verticalement l’une d’elles. Quatre métopes sont occupées par un grand médaillon formé de deux cercles concentriques, à l’intérieur duquel figure un lion au repos à droite (Osw. 1369), avec extrémités de feuille en garniture ; cercles et petits capridés (Osw. 1834) en remplissage dans les angles. Les quatre autres sont formées de deux panneaux superposés séparés par une ligne perlée terminée par des astragales (Rog. R61) ; un double arceau, barré par des astragales et orné d’un sphinx (Osw. 853, Osw. 857 en alternance), occupe la plage supérieure, celle du bas reproduisant un double médaillon circulaire décoré d’une feuille nervurée (Rog. H68).

Cantomallus est un “petit-maître” lézovien dont le floruit est à placer au cours des années 160 – 180 de notre ère (sur cette datation, cf. Martin 2002). Les pièces décorées, estampillées à son nom, sont fort peu nombreuses et se limitent à quelques exemplaires découverts principalement à Lezoux et pour la plupart inédits (renseignement R. Delage). Un de ses vases figure dans les collections du Musée Carnavalet à Paris (Rogers 1966, fig. 1, n°5 ; Rogers 1999, I, 81, fig. 17, n°1) ; celles du musée de Vienne (France) en conserve un autre (Rogers 1999, I, 81, fig. 17, n°2). On peut également signaler un Drag. 37, trouvé à Londres, portant sa signature (Bird 1986, 151, n°2.21).

22 – (Inv. T-sig-2)

bol T-sig-2
Drag 37 (T-sig-2) (cl. P. Cambra).

Drag. 37 présentant intérieurement des traces de restauration ancienne ; profil complet ; pied annulaire rapporté, à large surface de pose concave (diam. bord : 21 cm ; h. : 13 cm ; diam. pied : 8 cm). Couverte rouge foncé (Munsell 10R 4/6), avec aspect satiné de belle qualité ; pâte rouge tirant légèrement vers le rose (Munsell 5R 5/6), fine et dure. Atelier de Lezoux, phase 7 (milieu – seconde moitié du IIe s.).

Décor : le haut de la plage décorée est occupé par une rangée d’oves à orle double et bâtonnet séparé à droite hachuré (Rog. B223), utilisés notamment par Cinnamus et Casurius ; ligne perlée au-dessous (Rog. A3), employée principalement par Casurius (PGC, pl. 132, n°9). La panse développe une succession de métopes, alternativement simples ou divisées, que délimitent des lignes perlées verticales (Rog. A3), ponctuées aux extrémités ; celles-ci sont séparées par deux pilastres formés d’une colonne décorée de bandelettes entrecroisées (Rog. P3 ; type introduit par Libertus, repris par Butrio, et surtout popularisé par Albucius ; utilisé parfois par Paternus II, cf. PGC, pl. 105, n°14-15, 17, Rogers 1999, pl. 78, n°18, 23), surmontée d’un masque d’homme barbu de face (Osw. 1268, commun chez Libertus et Butrio, cf. Bémont 1977, fig. 43, n°15 ; présent aussi dans le répertoire de Casurius, cf. PGC, pl. 134, n°31). Les métopes simples sont occupées par un double médaillon à cercle extérieur hachuré (Rog. E25, qui n’est attesté que chez Casurius, cf. Rogers 1976, 71), entourant l’avant-train d’un cerf bondissant à gauche (Osw. 1822k, attesté chez Paternus II, cf. PGC, 108, n°39) oblitéré par une feuille à nervure centrale et pédoncule (Rog. H125, du répertoire de Paternus II, cf. PGC, pl. 109, n°1, Rogers 1999, pl. 78, n°15, 18) ; au-dessous et placée horizontalement, petite sirène à droite (Osw. 862, motif fréquent chez Libertus et Butrio ; utilisé épisodiquement aussi par Paternus II, cf. PGC, pl. 104, n°4). Pour ce qui est des métopes bipartites, le panneau supérieur est garni d’un feston simple au centre duquel figure un double médaillon circulaire contenant un triton (Osw. 25, pérennisé par Libertus et Butrio), cantonné de quatre petits cercles, celui de bas reproduisant un chien courant vers la droite (Osw. 1917, Paternus II, cf. PGC, pl. 106, n°22).

Malgré les multiples rapprochements stylistiques que l’on peut établir avec l’œuvre de Paternus II, il s’agit très probablement d’un décor qui a été réalisé sinon par Casarius, du moins par un potier travaillant dans son entourage ; l’ove et la variété de lignes perlées utilisés, l’emploi du double médaillon circulaire à bordure hachurée Rog. E25 et l’absence d’astragale incitent en effet à le penser. On retrouve également sur ce vase une pratique décorative chère à Casurius, empruntée à Cinnamus (PGC, pl. 162, n°61), consistant à ne faire figurer parfois que l’avant-train de certains animaux à l’intérieur des médaillons, pour donner en quelque sorte plus de reliefs et de vie à la scène (cf. par exemple les deux Drag. 37 de Corbridge publiés dans PGC, pl. 133, n°14 et pl. 134, n°22). Par ailleurs, la présence de plusieurs motifs puisés dans les répertoires de Libertus et de Butrio (masque Osw. 1268, sirène Osw. 862, triton Osw. 25, colonne Rog. P3) autorise, semble-t-il, à ne pas dater cette composition bien au-delà de 160 p.C. On peut se demander dans quelle mesure ce vase ne pourrait pas être qu’une simple œuvre de jeunesse de Casurius ; cela expliquerait l’utilisation de ces motifs quelque peu surannés et éculés, mais néanmoins consacrés par l’usage, à une époque où celui-ci, alors en quête d’une certaine “maturité artistique”, avait encore besoin de modèles pour s’exprimer.

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ISBN html : 978-2-35613-384-7
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Posté le 31/01/2021
EAN html : 9782356133847
ISBN html : 978-2-35613-384-7
ISBN livre papier : 978-2-35613-386-1
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ISSN : 2741-1508
8 p.
Code CLIL : 4117
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Comment citer

Martin, Thierry, “Les céramiques sigillées de la villa de Montcaret”, in : Berthault, Frédéric, éd., La villa romaine de Montcaret. Une villa et son environnement dans le sud-ouest de la Gaule, Pessac, Ausonius éditions, collection DAN@ 1, 2021, 123-130, [en ligne] https://una-editions.fr/ceramiques-sigillees [consulté le 1er février 2021].
doi.org/http://dx.doi.org/10.46608/dana1.9782356133847.13
Accès au livre La villa gallo-romaine de Montcaret (Dordogne). Une villa et son environnement dans le sud-ouest de la Gaule
Publié le 31/01/2021
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