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Lieu d'édition : Pessac
par Michel Reddé
Ayant eu le privilège de participer autrefois aux prospections françaises du prédésert libyen, dans le cadre de l’Unesco Libyan Valleys Survey, puis de fouiller les premières qanāts de Douch, dans l’oasis de Khargeh, je me suis souvent, après bien d’autres, interrogé sur l’origine de ces techniques de maîtrise de l’eau et sur leur importance effective pour l’économie du monde antique.
par Michel Reddé
Presque toutes les cartes de l’Afrique romaine font état d’une limite extérieure symbolisée par un trait ou, dans le meilleur des cas, par une zone d’occupation, traduisant de manière plus ou moins volontaire et consciente l’existence d’un “dedans” et d’un “dehors”.
par Michel Reddé
Jean-Michel Carrié a consacré l’un de ses tout premiers travaux aux castra Dionysiados (Qasr Qarun, dans le Fayoum). Dans cet article, publié en 1974, l’auteur reprenait de manière critique le dossier archéologique publié quelques années auparavant par J. Schwartz à partir d’une documentation de fouille datant en réalité de 1950.
par Michel Reddé
Il ne me paraît pas inutile, dans le cadre d’un colloque consacré à l’armée romaine au Proche-Orient durant l’Antiquité tardive, de faire le point sur une question dont j’ai traité ailleurs, mais dans des publications dispersées et parfois anciennes

Ce corpus est composé de l’ensemble des sources que nous avons collectées afin de pouvoir mener à bien notre étude sur “l’exploitation et la commercialisation de la pourpre dans l’Empire romain”.

Le catalogue des hommes rassemble toutes les sources épigraphiques, juridiques et administratives qui nous renseignent sur les différents métiers ayant un rapport avec la production de la pourpre.

La seconde partie du catalogue consacré aux lieux producteurs de pourpre recense les sources littéraires évoquant les centres qui se sont spécialisés dans la production de pourpre.

Le catalogue des lieux est divisé en deux parties qui sont constituées, d’une part, des sites et, d’autre part, des centres producteurs de pourpre. Il convient de définir ces deux termes avec précision.

La pourpre d’origine marine est un bien vaste sujet dont nous ne venons d’éclaircir que quelques aspects.
Nous tenons tout d’abord à signaler que nous ne serions pas arrivée à établir de tels résultats si nous ne nous étions pas familiarisée avec les coquillages à pourpre et la fabrication de la teinture.

L’essentiel de la production de pourpre se faisait au sein de l’officina purpurariae ou d’ateliers producteurs côtiers que nous avons évoqués dans notre troisième partie.