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Auteur : Christine Macheboeuf

119 avenue Charles de Gaulle
F – 62200 Boulogne-sur-Mer
cmacheboeuf@yahoo.fr

Depuis septembre 1998, Christine Macheboeuf est membre du C.R.H.A.E.L. (Centre de Recherche d’Histoire Atlantique et Littorale), Unité de Recherche H.L.L.I., EA 4030, Université du Littoral Côte d’Opale.

Conférences

“Transport and conditioning of the purple dye: the contribution of the experimental archaeology”, conférence au 22e Annual Meeting Dyes in History and Archaeology (Berne, 23-24 octobre 2003).

“La pourpre dans l’Antiquité romaine : la production des ateliers côtiers”, conférence donnée le 2 février 2006 au Centre Ausonius de Bordeaux à l’invitation de Francis Tassaux, Professeur d’Archéologie romaine à l’Université de Bordeaux III.

“Murex et purpura haemastoma : pêche et fabrication de la teinture pourpre dans l’Antiquité romaine”, conférence donnée le 9 mars 2006 au Centre de la mer Océanopolis de Brest, à l’invitation de Marie-Thérèse Cam, Professeur à l’Université de Brest, dans le cadre de la quinzaine de l’Antiquité.

“La pourpre dans l'Empire romain”, conférence donnée le 11 juin 2009 à Paris, à l'École Normale Supérieure

Expositions

Participation à l’exposition Histria Fecunda et Industriosa  inaugurée le 6 août 2008 au Musée de Porec (Croatie) : panneau sur l’industrie de la pourpre en Istrie et notice sur la pourpre istrienne dans le catalogue d’exposition.

Participation à l’exposition “La voie de Rome” présentée à l’Archéopôle d’Aquitaine (Bordeaux, 23 octobre 2008-30 mars 2009) : panneau sur les coquillages marins et notice sur la pêche des murex dans le catalogue d’exposition.

Bibliographie 

“Fabrication et commerce de la pourpre en Italie et Sicile dans l’Antiquité romaine”, dans E. De Senna et H. Dessales (éd.), Metodi ed approchi archeologici : l’industria ed il commercio nell’Italia antica, Actes du Colloque internationalorganisé à Rome par l’Académie Américaine et l’École Française de Rome (18-20 avril 2002), BAR International Series, 1262, 2004, pp. 25-37, 1 fig.

“Pourpre et matières textiles : des ateliers aux tabernae”, dans C. Alfaro, J. P. Wild, B. Costa (eds), Purpureae vestes, Actes du I Symposium Internacional sobre Textiles y Tintes del Mediterràneo en época romana, Université de Valencia, (Ibiza, 8-10 novembre 2002), Valencia, 2004, pp. 137-143, 1 fig.

“Contribution des femmes à l’industrie textile à Rome”, dans J. Bel (éd.), Rôle et place de la femme dans la société européenne de l’Antiquité à nos jours, Actes du Colloque international organisé par le C.E.R.C.L.E. (unité HLLI), Les Cahiers du Littoral, I / n°4, juin 2005, pp. 49-69.

“Le sel et les coquillages à pourpre : de la teinture à la salaison”, dans L. Lagostena, D. Bernal, A. Arévalo (eds), Cetariae 2005. Salsas y salazones de pescado en Occidente durante la Antiguedad, Actes du Colloque International de l’Université de Cadix (7-9 novembre 2005), BAR International Series, 1686, 2007, pp. 387-390.

“Les ateliers de la pourpre : bilan archéologique et reconstitution”, dans J. Napoli (éd.), Ressources et activités maritimes des peuples de l’Antiquité, Actes du Colloque International organisé par le CRHAEL (unité HLLI), Université du Littoral, (Boulogne-sur-mer, 12-14 mai 2005), Les Cahiers du Littoral, 2, n°5, 2008, pp. 501-508, 11 figs.

“Remarques sur les techniques de l’ars purpuraria”, dans C. Alfaro et L. Karali (eds), Vestidos, textiles y tintes: estudios sobre la producción de bienes de consumo en la antigüedad, (Purpureae vestes II), Valencia 2008, pp. 247-250.

“La pourpre” dans L’Istrie et la mer : la côte du Parentin dans l’Antiquité, ouvrage dirigé par B. Carre, V. Kovacic et F. Tassaux, Bordeaux-Paris, 2011 p. 109-113 et 204.

“La pourpre en Istrie”, Ch. Macheboeuf, N. Bolsec-Ferri, A. Hanry et T. Katunaric, MEFRA 125-1, 2013, pp. 1-19. https://journals.openedition.org/mefra/1389

Accès au livre Exploitation et commercialisation de la pourpre dans l'Empire romain
Ce corpus est composé de l’ensemble des sources que nous avons collectées afin de pouvoir mener à bien notre étude sur “l’exploitation et la commercialisation de la pourpre dans l’Empire romain”.
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Glossaires des termes français et latins.
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Le catalogue des hommes rassemble toutes les sources épigraphiques, juridiques et administratives qui nous renseignent sur les différents métiers ayant un rapport avec la production de la pourpre.
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La seconde partie du catalogue consacré aux lieux producteurs de pourpre recense les sources littéraires évoquant les centres qui se sont spécialisés dans la production de pourpre.
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Le catalogue des lieux est divisé en deux parties qui sont constituées, d’une part, des sites et, d’autre part, des centres producteurs de pourpre. Il convient de définir ces deux termes avec précision.
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La pourpre d’origine marine est un bien vaste sujet dont nous ne venons d’éclaircir que quelques aspects. Nous tenons tout d’abord à signaler que nous ne serions pas arrivée à établir de tels résultats si nous ne nous étions pas familiarisée avec les coquillages à pourpre et la fabrication de la teinture.
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L’essentiel de la production de pourpre se faisait au sein de l’officina purpurariae ou d’ateliers producteurs côtiers que nous avons évoqués dans notre troisième partie.
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Après avoir étudié la technique de fabrication de la teinture pourpre dans la première partie de notre thèse, nous allons maintenant nous consacrer à la commercialisation de la pourpre sous ses différentes formes.
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En règle générale, l’étude de la commercialisation d’un produit comprend l’étude des prix et l’étude des circuits commerciaux. Nous avons déjà vu, dans notre deuxième partie, que, dans le cas de la pourpre, une évolution des prix est impossible à établir.
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Pour la période romaine, les vestiges des ateliers producteurs de pourpre côtiers sont peu nombreux. Nous ne disposons en effet que des structures mises au jour à Délos, à Meninx, à Ibiza ainsi que de deux descriptions du XVIIIe et du XIXe siècle sur des structures maintenant disparues à Tarente et à Tyr.
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La consommation de pourpre par les Romains remonte au moins au milieu du Ve siècle, puisque dans une des Lois des douze Tables sur les funérailles le linceul de pourpre paraît d’un usage courant. Cette pourpre venait-elle des côtes bordant le Latium, de Grande Grèce ou était-elle importée de contrées plus lointaines ?
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