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Lieu d'édition : Pessac
par Guennady Aksenov
Après avoir créé les concepts de base de la nouvelle science qu’était alors la biogéochimie, Vernadsky passa à une nouvelle étape dans la compréhension des problèmes liés à la biosphère. Il se mit à explorer le rôle qu’elle jouait dans l’espace. Cette nouvelle direction de recherches devait être appelée la « cosmologie biosphérique ».
par Guennady Aksenov
Vernadsky a commencé à étudier le phénomène du temps, comme Platon le fit avec le phénomène également temporel qu’était l’éternité. Comme nous l’avons vu plus haut, sa nouvelle position de principe figurait déjà dans le titre même du rapport de 1921 « Le commencement et l’éternité de la vie », dans lequel deux concepts temporels se trouvent réunis. Pour Vernadsky, les vains efforts scientifiques qui eurent lieu pendant plus de deux siècles pour prouver l’abiogenèse avaient un résultat clair et sans équivoque : la vie existait depuis toujours. Donc, elle était éternelle.
par Guennady Aksenov
Au tout début de son parcours scientifique, en accord avec ses dispositions d’esprit, le jeune Vernadsky s’est posé la question principale des sciences naturelles de l’époque : pourquoi les lois de la biologie ne cadraient-elles pas du tout avec le paradigme existant et adopté par tout le monde ? Il avait déjà posé cette question dans son rapport d’étudiant lors d’une réunion de la Société scientifique et littéraire de l’Université de Saint-Pétersbourg en décembre 1884, tout en choisissant déjà le niveau nécessaire de généralisation conceptuelle.
par Guennady Aksenov
L’héritage scientifique de Vladimir Ivanovitch Vernadsky est apparemment étrange. Comme son nom est inscrit dans tous les manuels d’Histoire naturelle, il est très largement connu et figure presque dans toutes les sciences fondamentales et appliquées. Tous les cinq ans à partir de 1963, dans notre pays et successivement dans les autres centres scientifiques, on célèbre son anniversaire.
par Guennady Aksenov
Vernadsky, membre de l’Académie des Sciences de Russie, est à l’origine d’une nouvelle conception de la matière vivante. Dans ce livre nous avons comme objectif à la fois de l’expliquer et d’en déceler toute l’actualité. Nous montrerons en particulier comment, travaillant en Russie et en France dans les années 1920, Vernadsky a transformé cette conception en véritable paradigme scientifique ayant une portée générale et révolutionnaire. S’appuyant sur une nouvelle forme de géocentrisme, il a donné les bases d’une cosmologie biosphérique qui exige un changement de la vision du monde habituelle, une nouvelle appréhension de la vie et de la place de l’homme dans l’univers.
En 1550, la notion théologique de « scandale » est mise en avant par le traité Des scandales de Calvin. Le réformateur invite ses coreligionnaires à ne pas avoir peur du scandale, à ne pas se préoccuper de la fama. Le présent ouvrage montre, à travers l’étude de cette notion, combien les conflits confessionnels de cette époque sont en effet une bataille de réputation et deviennent même une bataille de la mémoire, non sans conséquence sur l’écriture de l’histoire.
En 1550, la notion théologique de « scandale » est mise en avant par le traité Des scandales de Calvin. Le réformateur invite ses coreligionnaires à ne pas avoir peur du scandale, à ne pas se préoccuper de la fama. Le présent ouvrage montre, à travers l’étude de cette notion, combien les conflits confessionnels de cette époque sont en effet une bataille de réputation et deviennent même une bataille de la mémoire, non sans conséquence sur l’écriture de l’histoire.
En 1550, la notion théologique de « scandale » est mise en avant par le traité Des scandales de Calvin. Le réformateur invite ses coreligionnaires à ne pas avoir peur du scandale, à ne pas se préoccuper de la fama. Le présent ouvrage montre, à travers l’étude de cette notion, combien les conflits confessionnels de cette époque sont en effet une bataille de réputation et deviennent même une bataille de la mémoire, non sans conséquence sur l’écriture de l’histoire.
En 1550, la notion théologique de « scandale » est mise en avant par le traité Des scandales de Calvin. Le réformateur invite ses coreligionnaires à ne pas avoir peur du scandale, à ne pas se préoccuper de la fama. Le présent ouvrage montre, à travers l’étude de cette notion, combien les conflits confessionnels de cette époque sont en effet une bataille de réputation et deviennent même une bataille de la mémoire, non sans conséquence sur l’écriture de l’histoire.
par Isabelle Moreau
En 1550, la notion théologique de « scandale » est mise en avant par le traité Des scandales de Calvin. Le réformateur invite ses coreligionnaires à ne pas avoir peur du scandale, à ne pas se préoccuper de la fama. Le présent ouvrage montre, à travers l’étude de cette notion, combien les conflits confessionnels de cette époque sont en effet une bataille de réputation et deviennent même une bataille de la mémoire, non sans conséquence sur l’écriture de l’histoire.
par David El Kenz
En 1550, la notion théologique de « scandale » est mise en avant par le traité Des scandales de Calvin. Le réformateur invite ses coreligionnaires à ne pas avoir peur du scandale, à ne pas se préoccuper de la fama. Le présent ouvrage montre, à travers l’étude de cette notion, combien les conflits confessionnels de cette époque sont en effet une bataille de réputation et deviennent même une bataille de la mémoire, non sans conséquence sur l’écriture de l’histoire.
par Enrica Zanin
En 1550, la notion théologique de « scandale » est mise en avant par le traité Des scandales de Calvin. Le réformateur invite ses coreligionnaires à ne pas avoir peur du scandale, à ne pas se préoccuper de la fama. Le présent ouvrage montre, à travers l’étude de cette notion, combien les conflits confessionnels de cette époque sont en effet une bataille de réputation et deviennent même une bataille de la mémoire, non sans conséquence sur l’écriture de l’histoire.