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Recensement bibliographique*

Cette bibliographie relative aux éditions des lettres, des essais critiques qu’elles ont suscitées ainsi que des poésies de Bernardo Tasso, dérive de la nécessité, dans le cadre d’une étude monographique, de faire le point sur l’état des travaux en la matière. Même si une partie des ouvrages existants est déjà recensée dans le volume La Raccolta tassiana de la bibliothèque Angelo Mai de Bergame1 ainsi que dans les les revues Studi tassiani et Studi tassiani sorrentini, l’essor des publications sur le « famoso padre » au cours de ces dernières années rend nécessaire, cinquante-quatre ans après le précédent, un nouvel inventaire des articles le concernant, tout comme une mise à jour de la liste des ouvrages qu’on lui doit2. Pour ce faire, même si limité par son ancienneté, le fichier Locatelli3 s’est révélé un instrument de travail utile qui a conduit à effectuer contrôles et recoupements et à corriger quelques erreurs.

Ce nouvel inventaire atteste la présence d’éditions des lettres et des Rime tout au long des siècles depuis le Cinquecento jusqu’à nos jours. Célèbre en son temps, le nom de Bernardo Tasso réapparaît, après une éclipse d’environ cent ans, dans les premières histoires de la littérature à vocation nationale au XVIIIe siècle de Quadrio à Tiraboschi, pour ensuite passer, au cours du XIXe à celles « militantes » de De Sanctis ou à celles positivistes et fin de siècle de Flamini dans sa fondamentale Storia letteraria d’Italia, éditée par Vallardi. D’autres contributions positivistes et monographiques nous ont été léguées par les chercheurs du XIXe siècle4 et plusieurs essais critiques concernant le poète-courtisan ont été publiés entre le début du XXe et aujourd’hui, ce qui confirme un regain d’intérêt pour un auteur polyvalent certes, mais catalogué dans les manuels de littérature parmi les « mineurs ».

Cette étude étant essentiellement centrée sur le Tasse en tant qu’épistolier, je me limite ici à recenser les différentes éditions des Rime et des anthologies qui les accueillirent. En ce qui concerne les lettres, il manque encore aujourd’hui une édition critique ou une étude sur leur tradition manuscrite, mais entre XVIIIe et XXe siècles, on trouve, bien plus que pour les Rime, un nombre conséquent d’inédits publiés. Après l’édition de Seghezzi (1733) qui enrichissait celle de Gioliti, qu’il avait reproduite, de sept lettres tirées de « rarissimi libri »5, l’accroissement des publications de la correspondance du Tasse connut une réelle impulsion surtout grâce à Campori (1869)6 et à Portioli (1871)7, mais aussi grâce aux nombreuses anthologies qui fleurirent lors de la deuxième moitié de l’Ottocento8, jusqu’aux Otto lettere inedite di Bernardo Tasso extraites des Archives d’État de Rome, et publiées sur une revue en 19429. C’est à ces éditions que correspondent les manuscrits qui, à cette époque, confluaient vers les toutes nouvelles Archives d’État et en particulier, dans le cas de Bernardo Tasso, à Mantoue, Modène, Parme et Venise. Cette bibliographie rend donc compte de la tradition manuscrite des lettres telle qu’il a été possible de la reconstituer10 en effectuant des recherches auprès des bibliothèques et des archives de manière à mettre à jour des références parfois incomplètes, parfois fausses, et à intégrer de nouvelles données. À cette première section suivent par ordre de fréquence de publication les différentes éditions des Lettere, puis une évocation de la fortune éditoriale de leurs traductions et enfin les monographies et/ou anthologies qui incluent des lettres de l’érudit bergamasque.

Comme cela a déjà été dit, la fortune critique du Tasse s’affirma dès les premières années de son apprentissage poétique, s’il est vrai, ainsi que l’affirment quelques-uns de ses biographes, que la notoriété qu’il retira de ses poésies incita le prince de Salerne à l’engager en qualité de secrétaire11. Dans les années qui suivirent la parution de son premier recueil épistolaire, l’illustre courtisan, devenu entre-temps un véritable auteur de best-sellers, fut couvert de louanges par ses contemporains et la critique de son temps le porta aux nues. En 1564, Luca Contile rédigeait la dédicace à Giambattista Spinola de ses deux volumes de lettres en mentionnant le « Tasso leggiadro » parmi les promoteurs désormais incontestés d’une tradition épistolaire qui avait acquis ses lettres de noblesse12. Dans une de ses lettres au Tasse, Contile lui-même confirmait la célébrité dont il jouissait en ces termes :

Sono quarant’anni, che per relazione universale ho tenuto e stimato e amato e riverito il Signor Bernardo Tasso, tenutolo per dotto, stimatolo per nobile, amatolo per bontà, riveritolo per onore, che bisogno adunque avevo io di praticarlo gli anni, se la testimonianza di tutto ‘l Mondo me n’ha data piena notizia?13

Si on en juge par quelques déclarations qui percent çà et là à travers ses textes14, derrière l’ostentation de l’habituel topos de la diminutio personae, le Tasse n’ignorait aucunement sa célébrité, tout comme il savait pertinemment qu’il appartenait au petit groupe des plus grands auteurs de son siècle. Cette conscience de son statut se reflète d’ailleurs dans les lettres de dénonciation de Ferrante Sanseverino au cours desquelles il en appelle justement au témoignage du « mondo »15. Ce concept de « mondo » par lequel il est connu et reconnu, en dépit des recusationes d’usage, revient dans les termes avec lesquels il s’adresse à Girolamo Ruscelli en mars 1557 :

Sperando se pur così sarà, come mi scrivete, che il favore e grande autorità de’ vostri scritti mi debba por in quella stima e opinione del mondo che non meritano forse l’opere mie, certo fra tante mie disgrazie mi par d’aver fatto grandissimo guadagno, avendo il testimonio d’un uomo dotto e giudizioso (come voi sete) che approvi le mie composizioni16.

Dans le deuxième volume, les lettres qui font part de la genèse de l’Amadis témoignent elles aussi de la connaissance que le poète-courtisan avait de sa notoriété lorsqu’il y affirme par exemple que le public attend impatiemment son poème17, ce qui est confirmé par Lodovico Dolce dans sa rédaction de la préface18.

Toujours dans le deuxième volume, la lettre de Girolamo Molino datée du mois de janvier 1558, contient elle aussi des compliments du même ordre au vénérable secrétaire :

Or sapendo io che Vostra Signoria è per mandar fuori il suo Amadigi tanto aspettato e desiderato da ciascuno, non ho voluto restare di rappresentarvi e ricordarvi questa occasione di questa nova Academia, per la impressione del suo libro19.

Quant à Giraldi, son ami de longue date et son rival en littérature, il lui rend hommage dans leurs échanges épistolaires en louant son talent littéraire et sa célébrité :

Non mi conosco io esser quegli, che sia per dirle cosa ch’ella molto prima che io, veduta non l’abbia. Sì per aversi ella fatti questi piacevoli studi proprii suoi; come quella che insin da’ suoi più teneri anni lor si diede e vi ha fatto quel profitto che la fa andare per le bocche de gli uomini con sì onorato grido, che io non veggo chi a pari le vada20.

Last but not least, l’Arioste lui fait part en personne de son estime dans le dernier chant de la version définitive du Roland furieux, en le comptant parmi ceux qui l’attendent sur le port à la fin de son voyage poétique : « Io veggio il Fracastoro, il Bevazzano, Trifon Gabriel e il Tasso più lontano »21.

Au-delà des mots22, il y a les faits et, concrètement, de 1549 jusqu’en 2002, on compte environ23 vingt-huit rééditions du premier volume de lettres, dont la fortune éditoriale fut relancée par son réemploi comme formulaire de modèles de lettres après l’édition Sansovino de 1570. Parmi elles, une dizaine eurent lieu du vivant de Bernardo. Le deuxième volume en revanche connut un sort moins enviable avec une seule réédition en 157424, même si plusieurs de ses lettres parurent aussi dans des anthologies. Un décompte global entre 1544 et 2010 fait apparaître une quarantaine de publications en plus des recueils, parmi lesquelles neuf entre 1543 et 1569, date de sa mort. En dépit de ces chiffres, il s’avère difficile de déterminer de façon précise le degré de présence de ses écrits en une période où le genre inauguré par l’initiative de l’Arétin connaissait un succès exceptionnel à cause des différentes impressions et réimpressions des textes listés plus bas. Tout calcul doit se fonder sur les trois cent vingt-sept textes du premier recueil25 (en quatre livres, édition Giglio, 1559) auxquels s’ajoutent les cent quatre-vingt-dix-huit du second26 (édition Giolito, 1560), c’est-à-dire un total de cinq cent vingt-cinq lettres. Si on prend en compte l’ensemble de la production épistolaire du Tasse et, par conséquent, ce qui a été publié à titre posthume, il faut ajouter à ce résultat les quarante-sept lettres inédites retrouvées par Campori, les cinquante-deux Famigliari exclues du deuxième recueil et récupérées dans le troisième volume de Comino, les quatre du petit livre dédié à Marcantonio Tasca, les trois lettres adressées à Ferrante Sanseverino27 et les deux cent douze de l’édition Portioli, sans oublier les trois inédits découverts par Ravelli en 189528, ni les huit textes parus dans la revue Bergomum29. Cela fait plus de huit cent cinquante lettres qu’il faudrait multiplier ou non, selon les cas, par le nombre d’éditions qu’on connaît30.

De cette énumération, peut-être un peu aride, il ressort que la réputation de Bernardo Tasso, courtisan et secrétaire, poète, épistolier et narrateur, ne fait aucun doute. Ce nonobstant, cette figure du panorama littéraire du XVIe disparut pratiquement du circuit éditorial et commercial au siècle suivant, vraisemblablement parce qu’occultée par le triomphe de son fils, le Tassino. Si l’on en croit les catalogues qui sont parvenus jusqu’à nos jours, deux éditions de lettres seulement furent achevées en 1603 et 1612 et un seul florilège du XVIIe reproposa quelques textes. Il s’agit en somme d’une véritable traversée du désert qui se prolongea jusqu’au XVIIIe siècle. Il fallut attendre 1733 pour que le « famoso padre » soit redécouvert par l’érudit vénitien Seghezzi qui fit publier chez Comino une nouvelle édition Delle Lettere di Bernardo Tasso, corrette e illustrate. Modelée sur l’édition Gioliti des années 1560-1562, le recueil comprenant deux volumes31, modernisait l’orthographe et la ponctuation et Seghezzi y ajouta le texte, très rare, du Raisonnement sur la poésie. Après sa mort survenue en 1743, l’édition fut complétée par un troisième volume incluant aussi les Famigliari32, parmi lesquelles figuraient nombre de lettres qui n’avaient jamais été éditées, le tout grâce à Serassi qui, en 1742 avait déjà publié son Parere intorno alla patria di Bernardo Tasso, e Torquato suo figliuolo33 puis préparé une édition des Rime34 précédée d’une biographie, et enfin fait paraître également l’Amadis35.

Par la suite, ce secrétaire exemplaire36 connut de nouveau les faveurs du public au cours de l’Ottocento, période particulièrement propice à l’intérêt pour l’individu tel qu’il se révélait aux autres à travers la lecture de sa correspondance. Entre l’intimisme du mouvement romantique, l’intérêt pour l’histoire et le réalisme naissant37, ses lettres furent de nouveau plébiscitées, tandis que ses Rime lui valurent les félicitations de Carducci pour l’introduction de l’ode dans la versification italienne38. Une analyse chronologique des références bibliographiques montre que, entre 1810 et 1895, pas moins de vingt-six anthologies incluant certains de ses écrits épistolaires firent leur apparition dans le panorama littéraire de l’époque, par rapport aux seize qui avaient été imprimées en 1544 et 1614. Toujours au cours du XIXe siècle, aussi bien Campori que Portioli lancèrent sur le marché de l’édition un « repêchage »39 d’une indiscutable valeur archéologique, humaine et littéraire des inédits de Bernardo Tasso, assorti, dans le cas de l’édition Campori, d’une nouvelle biographie. La sensibilité littéraire du XIXe siècle et l’intérêt diffus pour le thème de la famille, ainsi que pour les œuvres proposant des modèles de comportement, furent également à l’origine de la popularité de la lettre à Porzia, plusieurs fois réimprimée, bien souvent comme cadeau de noces en raison des théories éducatives qui y sont développées. Plus proche de nous, au siècle précédent et au cours des dernières années, l’attention à cet auteur semble s’être intensifiée, car les travaux sur sa poésie ou sur l’Amadis se sont multipliés.

À la fin de ce travail, tout en me limitant à la production lyrique et épistolaire du Tasse, je ne puis que constater son succès presque constant. D’abord celui qu’il connut en son temps, puis aux XVIIIe et XIXe siècles, la réédition de nos jours de ses recueils et la quantité de références qui figurent dans la bibliographie complète montrent que sa fortune éditoriale et critique s’étend au-delà des frontières de l’Italie de l’époque. Un bon indicateur de la réception de sa production en terre étrangère est offert par les traductions dont firent l’objet quelques-unes de ses lettres souvent intégrées dans des miscellanées ou dans des essais sur la civilisation italienne. Ces constatations amènent à remettre en cause la position du Tasse senior dans les manuels d’histoire de la littérature, car bien que peu connu des Italiens et catalogué (post mortem) parmi les « mineurs », cette condition d’auteur d’importance secondaire semble quelque peu injuste et il conviendrait dorénavant de reconsidérer son statut, non plus en le comparant à son fils, mais en lui restituant la place qui fut la sienne à son époque et qui lui revient, celle d’un homme de lettres digne d’estime dans tous les domaines où il exerça ses talents.

Les manuscrits

Cette bibliographie des manuscrits des œuvres de Bernardo Tasso résulte de la transcription du fichier Locatelli conservé auprès de la Bibliothèque Angelo Mai de Bergame et demeuré jusqu’à présent inédit, à l’exception de quelques références publiées dans le volume de la Raccolta Tassiana (Bergame 1960). Si, en ce qui concerne les manuscrits et apostilles autographes, ce fichier a été remplacé par la contribution d’Arbizzoni40, dorénavant incontournable, en ce qui concerne le domaine des manuscrits apographes en revanche, le matériel réuni par Locatelli et actualisé par des références modernes reste à ce jour le plus complet qui soit. Les manuscrits autographes sont signalés par des caractères gras. Faute de précisions, il est convenu que les références listées ne concernent que le Tasse senior.

Amadigi

  • Pesaro, Biblioteca Oliveriana, ms. 1339, ff. 108r-115v ; papier, XVIe.

Floridante

  • Modène, Biblioteca Estense, It. 379a, ff. 145v-151r ; papier, XVIe [autographe de Torquato Tasso].
  • Modène, Biblioteca Estense, It. 761, ff. 98r-106v ; papier, XVIIe.
  • Rome, Biblioteca Vaticana, Vat. lat. 10977, f. 63 r ; papier, XVIIe.
  • Rome, Biblioteca Vaticana, Vat. lat. 10978, ff. 29v-30r ; papier, XVIIe.
  • Venise, Biblioteca Marciana, It. cl. IX, 189 = 6287, ff. 1-22v e 68v ; papier, XVIe [partiellement autographe].

Rime

  • Bologne, Biblioteca Universitaria, ms. 2055 (ex 4186), ff. 35-43 ; papier, XVIIIe.
  • Bologne, Biblioteca e Museo Carducciano, 86, ff. 74r-91v ; papier, XVIIIe.
  • Bologne, Biblioteca comunale dell’Archiginnasio, A, 2429, ff. 148-151 ; papier, XIXe.
  • Bologne, Biblioteca comunale dell’Archiginnasio, A, 1966, f. 57 ; papier, XVIIIe.
  • Fano, Biblioteca Comunale Federiciana, ms. 9, papier, XIXe.
  • Florence, Biblioteca Nazionale Centrale, Magl. VII, 629, f. 23 ; papier, XVIIIe.
  • Florence, Biblioteca Nazionale Centrale, Magl. VII, 1177, ff. 13r-15r ; papier, XVIe.
  • Florence, Biblioteca Nazionale Centrale, ms. II. IX. 45 ; papier, XVIe.
  • Florence, Biblioteca Nazionale Centrale, Magl. VII. 1206, ff. 93-94 ; papier, XVIe-XVIIe.
  • Florence, Biblioteca Nazionale Centrale, Gonnelli, 41, 223.
  • Florence, Biblioteca Riccardiana, ms. 2835, ff. 61-73, 80v, 81r, 135 ; papier, XVIe.
  • Foligno, Biblioteca Jacobilli, ms. 93, A.IV.12, f. 18 ; papier, XVIe-XVIIe.
  • Foligno, Biblioteca Jacobilli, ms. 298, B.VII.10, ff. 80-81 ; papier, XVIe-XVIIe.
  • Milan, Biblioteca Trivulziana, ms. 941, f. 164 ; papier, XVIe.
  • Modène, Biblioteca Estense, Campori, busta 56, n. 22.
  • Naples, Biblioteca Nazionale, XIII. D. 43, ff. 44r-84v ; papier, XVIe.
  • Padoue, Biblioteca del Seminario, ms. 855.6, f. 27 ; papier, sec XVI.
  • Parme, Archivio di Stato, Epistolario Scelto, 15.
  • Parme, Biblioteca Palatina, ms. 829.
  • Pesaro, Biblioteca Oliveriana, 1399, ff. 1r-94r.
  • Pesaro, Biblioteca Oliveriana, 736 (ms. Giordani), f. 91 ; papier, XVIIe.
  • Rome, Biblioteca Vaticana, Barb. lat. 3997, ff. 23r-49r ; papier, XVIe.
  • Rome, Biblioteca Vaticana, Vat. lat. 10286, ff. 83r-85r ; papier, XVIe-XVIIe.
  • Rome, Biblioteca Vaticana, Vat. lat. 9948, f. 36v ; papier, XVIe.
  • Rome, Biblioteca Vaticana, Vat. lat. 8451, f. 260 ; papier, XVIIe-XVIIIe.
  • Rome, Biblioteca Nazionale Centrale, ms. Sessoriano 333, f. 150 ; papier, XVIe.
  • Rome, Biblioteca Nazionale Centrale, ms. Gesuitico 19, f. 42v-69r, papier, XVIIIe.
  • Rome, Biblioteca Angelica, ms. 1680, f. 82-84 ; papier, XVIe.
  • Venise, Biblioteca Nazionale Marciana, ms. Ital. Class. IX, n. 144, ff. 20r-21v ; papier, XVIe.
  • Venise, Biblioteca Nazionale Marciana, ms. Ital. Class. IX, n. 300, ff. 1r-1v ; papier, XVIe.
  • Venise, Biblioteca Nazionale Marciana, ms. Ital. Class. IX, n. 272, f. 93r ; papier, XVIe.
  • Venise, Biblioteca Nazionale Marciana, ms. Ital. Class. IX, n. 82, f. 660 ; papier, XVIe.
  • Vienne, Bibliotheca Palatina, ms. 1216 (ex 10264), f. 25, papier, XVIe.

Lettere

  • Bergame, Biblioteca Civica Angelo Mai, Tassiana, D. 5. 30 (6) n.n., papier, sec. XIX.
  • Bergame, Biblioteca Civica Angelo Mai, Tassiana, D. 7.10, ff. 73r-78r ; papier, XVIIe.
  • Bergame, Biblioteca Civica Angelo Mai, Tassiana, N.6.5 (ex Tassiana, vitrine IIa 18), ff. 75, 77, 89r, 183.
  • Bergame, Biblioteca Civica Angelo Mai, Tassiana, R. 68, 1.2, ff. 22-23 ; papier, XVIIIe.
  • Bergame, Biblioteca Civica Angelo Mai, Tassiana, R. 68, 1.4, ff. 6-33 ; papier, XVIIIe.
  • Bergame, Biblioteca Civica Angelo Mai, Tassiana, R. 67. 7. 11, n.n ; papier, XVIIIe.
  • Bergame, Biblioteca Civica Angelo Mai, Tassiana, R. 67.7. 12, ff. 1-5 ; n.n. XVIIIe.
  • Bergame, Biblioteca Civica Angelo Mai, Tassiana, R. 67.7.15, n.n ; papier, XVIIIe.
  • Fano, Biblioteca Comunale Federiciana, ms. 39 ; papier.
  • Florence, Biblioteca Nazionale Centrale, Varchi, II, 112-115.
  • Florence, Biblioteca Nazionale Centrale, II. VII. 129, ff. 57-58 ; papier, XVIIe.
  • Florence, Archivio di Stato, G. CCXVIII, f. 469r.
  • Florence, Biblioteca Nazionale Centrale, magl. VIII. 1339, f. 342.
  • Florence, Archivio di Stato, Carte Strozziane, ff. 16-20 ; papier, XVIIe.
  • Lucques, Archivio di Stato, Copiario delle lettere degli anziani, n. 57 ; XVIIe.
  • Mantoue, Archivio di Stato, Archivio Gonzaga, E XXV 3 900, ff. 1569-157741.
  • Mantoue, Archivio di Stato, Archivio Gonzaga, E XLV 3 1460, ff. 438-441.
  • Mantoue, Archivio di Stato, Archivio Gonzaga, F II 8 2577, f. 844.
  • Mantoue, Archivio di Stato, Archivio Gonzaga, F II 8 2579.
  • Mantoue, Archivio di Stato, Autografi, 8.
  • Milano, Biblioteca Ambrosiana, S P 31.
  • Modène, Biblioteca Estense, Campori, Bernardo Tasso = cahier 56.
  • Paris, Bibliothèque nationale, ms. Ital 1111.
  • Parme, Archivio di Stato, Epistolario scelto 15.
  • Rome, Biblioteca Angelica, ms. 1972, f. 18 ; papier, XVIIIe.
  • Rome, Biblioteca Angelica, ms. 2093, f. 10 ; papier, XVIIIe.
  • Rome, Biblioteca Vaticana, Vat. Lat. 9064, ff. 317-320 ; papier, XVIe-XVIIe.
  • Rome, Biblioteca Vaticana, Vat. Lat. 10979, ff. 52r-54r ; papier, XVIe-XVIIe.
  • Urbin, ex-Biblioteca del Palazzo Albani, Credenza 43, I, 1442.

Les apostilles

  • Londra, British Museum, 11426, a.a. 46. [Vers de T. sont à la fin de : id, Rime divise in cinque libri, Venezia, Giolito, 1560] ; XVIIIe.
  • Rome, Biblioteca Vaticana, Credenza Tassiana 46 ; Plato, Omnia […] opera traslatione Marsili Ficini, Basel, Froben, 1539.
  • Rome, Biblioteca Vaticana, Credenza Tassiana 49 ; Cicero, Opere, Parigi, Robertus Stephanus, 1539.
  • Rome, Biblioteca Vaticana, Credenza tassiana 48 ; Cicero, Orationes, Parigi, Robertus Stephanus, 1539.
  • Providence (USA), Brown University, John Hay Library, 1482 H 78 ; Quintus Horatius Flaccus, Opera Omnia, Venezia, Giovanni da Forlì, 1482.
  • Providence (USA), Brown University, John Hay Library, 1483 H 78 ; Quintus Horatius Flaccus, Opera Omnia, Venezia, Giovanni da Forlì, 1483.

Les Rimes43

  • Libro primo de gli Amori di Bernardo Tasso. [Colophon /; in Venegia per Giovan Antonio & Fratelli da Sabbio, MDXXXI].
  • De gli Amori di Bernardo Tasso. [Colophon /; in Vinegia, per Ioan. Ant. da Sabio, del XXXIV i.e. 1534 del mese di settembre]44.
  • « Hinni et ode di Bernardo Tasso », dans De gli Amori di Bernardo Tasso. [Colophon /; in Vinegia, per Ioan. Ant. da Sabio, del XXXIV [i.e. 1534 del mese di settembre].
  • Libro terzo de gli Amori di Bernardo Tasso. [Colophon /; in Vinegia per Bernardino Stagnino l’anno di nostra salute, MDXXXVII].
  • I tre libri degli Amori di M. Bernardo Tasso e nuovamente dal proprio Autore si è aggiunto il Quarto Libro, per addietro non più stampato, in Vinegia, appresso Gabriel Giolito de’ Ferrari, MDLV.
  • Rime di Messer Bernardo Tasso divise in cinque Libri nuovamente stampate. Con la sua Tavola per ordine di Alfabetto. Con privilegio, in Vinegia, appresso Gabriel Giolito de’ Ferrari, MDLX.
  • Rime di m. Bernardo Tasso, tomo primo. Edizione la più copiosa finora uscita. Colla vita nuovamente descritta dal sig. Abate Pierantonio Serassi, in Bergamo, appresso Pietro Lancellotti, 1749, 2 vol.45.
  • Rime di m. Bernardo Tasso. Colla vita dell’autore e varie illustrazioni dell’opera, Bergamo, Lancellotti, 1755.
  • Ode inedita di Bernardo Tasso, Pesaro, Tip. di A. Nobili, 1858.
  • Sonetti inediti di Bernardo Tasso pubblicati per le faustissime nozze del signor cavaliere Enrico Badia da Teramo con la signora contessa Giuseppina Belluzzi pesarese, Pesaro, Tip. A. Nobili, 1858.
  • Ode inedita di Bernardo Tasso pubblicata da Alessandro Carletti, Siena, Tip. Sordo-muti, 1867.
  • Bernardo Tasso, Rime, vol. I, I tre libri degli Amori, a cura di Domenico Chiodo, vol. II, Libri Quarto e Quinto, Salmi e Odi, a cura di Vercingetorige Martignone, Torino, Res, 1995.

Les poésies éditées dans des anthologies

  • Lodovico Domenichi, Rime diverse di molti eccellentiss. Auttori nuovamente raccolte, libro primo, Venezia, Giolito, 1545.
  • Lodovico Domenichi, Rime diverse di molti eccellentiss. Auttori nuovamente raccolte, Libro primo con nuova additione ristampato (Libro secondo), Venezia, Giolito, 1549.
  • Andrea Arrivabene, Delle Rime di diversi nobilissimi et eccellentissimi Autori nuovamente raccolte, Venezia, Cesano, 1550.
  • Girolamo Ruscelli, Del Tempio a Giovanna d’Aragona fabbricato da tutti i più gentili Spiriti e in tutte le lingue principali del mondo, Venezia, Pietrasanta, 155446.
  • Girolamo Ruscelli, Del Tempio a Giovanna d’Aragona fabbricato da tutti i più gentili Spiriti e in tutte le lingue principali del mondo, Venezia, Pietrasanta, 1555.
  • Libro quinto delle Rime di diuersi illustri signori napoletani, e d’altri nobilissimi ingegni. Nuouamente raccolte, e con noua additione ristampate. Allo Illus. S. Ferrante Carrafa, in Vinegia, appresso Gabriel Giolito de Ferrari et fratelli, 1555.
  • Lodovico Dolce, Stanze di diversi illustri Poeti nuovamente raccolte a commodo et utile de gli studiosi della Lingua Thoscana, Venezia, Giolito, 1556.
  • Girolamo Ruscelli, I Fiori delle Rime de’ Poeti Illustri nuovamente raccolti et ordinati, Venetia, Sessa, 155847.
  • Rime scelte da diversi autori di nuovo corrette, et ristampate, Venezia, Giolito, 1563, 2 vol.48.
  • Lodovico Dolce, Prima (e Seconda) Parte delle Stanze nuovamente ristampate et con diligentia riviste et corrette, Venezia, Giolito, 156449.
  • Girolamo Ruscelli, Del Tempio a Giovanna d’Aragona fabbricato da tutti i più gentili Spiriti e in tutte le lingue principali del mondo, Venezia, Rocca, 1565.
  • Girolamo Ruscelli, I Fiori delle Rime de’ Poeti Illustri nuovamente raccolti et ordinati, Venetia, Sessa, 1569.
  • Lodovico Dolce, Prima parte delle Stanze di diuersi illustri poeti, a commodita, & utile de gli studiosi della lingua thoscana, nuovamente ristampate et con diligentia reviste et corrette, in Vinegia, appresso Gabriel Giolito de’ Ferrari, 1570.
  • Girolamo Ruscelli, I Fiori delle Rime de’ Poeti Illustri nuovamente raccolti et ordinati, Venetia, Sessa (Deuchio), 1579.
  • Lodovico Dolce, Prima (e Seconda) Parte delle Stanze nuovamente ristampate et con diligentia riviste et corrette, Venezia, Giolito, 1580.
  • Lodovico Dolce, Prima (e Seconda) Parte delle Stanze nuovamente ristampate et con diligentia riviste et corrette, Venezia, Giolito, 1581.
  • Girolamo Ruscelli, I Fiori delle Rime de’ Poeti Illustri nuovamente raccolti et ordinati, Venetia, Sessa (Polo), 1586.
  • Lodovico Dolce, Prima (e Seconda) Parte delle Stanze nuovamente ristampate et con diligentia riviste et corrette, Venezia, Giolito, 1590.
  • Rime scelte da diversi autori di nuovo corrette, et ristampate, Venezia, Giolito, 1590, 2. vol.
  • Girolamo Ruscelli, I Fiori delle Rime de’ Poeti Illustri nuovamente raccolti et ordinati. Con alcune annotazioni del medesimo sopra i luoghi, Lucca, terza impressione, per Salvatore e Gian Domen. Marescandoli, 1729.
  • «Poemetti del secolo XV, XVI», in Parnaso italiano, ovvero Raccolta de’ poeti classici italiani d’ogni genere e d’ogni età d’ogni metro e del più scelto tra gli ottimi, vol. 10, Venezia, presso Antonio Zatta e figli, 1785.
  • Andrea Rubbi, «Costanzo, Torquato, Bernardo Tasso e poetesse del secolo 16», in Parnaso italiano ovvero Raccolta de’ poeti classici italiani d’ogni genere d’ogni età d’ogni metro e del più scelto tra gli ottimi, 30, Venezia, presso Antonio Zatta e figli, 1787.
  • Andrea Rubbi, Costanzo, Torquato, Bernardo Tasso e poetesse del secolo 16, in Venezia, coi tipi di Pietro Bernardi, 1816.
  • Terenzio Mamiani, Poeti italiani dell’età media ossia scelta e saggi di poesia dai tempi del Boccaccio al cadere del secolo XVIII, Parigi, Baudry, 1848.
  • La Patria, ossia Liriche italiane di patrio argomento; tratte dai migliori poeti d’ogni secolo e offerte esempi di poesia civile stimolo di virtù cittadine alla studiosa gioventù d’Italia, Torino, S. Franco e figli, 1855.
  • Giuseppe Lipparini, Le pagine della letteratura italiana. Antologia dei passi migliori e più espressivi dei grandi secoli e buoni scrittori, vol. 8, I Cinquecentisti minori, Milano, Signorelli, 1925.

Les éditions des lettres

  • Li due libri delle lettere di M. Bernardo Tasso intitolati a Monsig. D’Aras. Con gratia e privilegio del Sommo Pontefice Paolo III e dell’IIlustriss. Senato Vinitìano per anni dieci, in Vinegia, nella bottega d’Erasmo di Vincenzo Valgrisi, MDXLIX.
  • Le lettere di M. Bernardo Tasso intitolate a Monsi.or d’Aras, in Vinegia, appresso Vincenzo Valgrisi, 1551.
  • Le lettere di M. Bernardo Tasso intitolate a Monsig. d’Aras, in Vinegia, appresso Vincenzo Valgrisi, 1553.
  • Li due libri delle lettere di M. Bernardo Tasso. Alli quali nuovamente s’è aggiunto il terzo libro, in Venetia, appresso Vincenzo Valgrisi & Baldessar Costantini, 1557.
  • Li tre libri delle lettere di M. Bernardo Tasso. Alli quali nuovamente s’è aggiunto il quarto libro, in Venetia, appresso P. Gironimo Giglio, e compagni, 1559.
  • Delle Lettere di M. Bernardo Tasso, secondo volume, nuovamente posto in luce, con gli argomenti per ciascuna lettera e con la tavola. Con privilegio del Sommo Pontefice Pio III, & dell’Illustrissimo Senato veneto, & d’altri Principi, in Vinegia, appresso Gabriel Giolito de’ Ferrari, MDLX.
  • I tre libri delle lettere di M. Bernardo Tasso. Alli quali nuovamente s’è aggiunto il quarto libro, in Vinegia, appresso Francesco Lorenzini da Turino, 1561.
  • I tre libri delle lettere di M. Bernardo Tasso. Alli quali nuovamente s’è aggiunto il quarto, in Vinegia, appresso Pietro Bosello, 1561.
  • Prima parte delle lettere di M. Bernardo Tasso, alle quali nuovamente si sono aggiunti gli argomenti per ciascuna lettera, di nuovo ristampata. Con la tavola nel fine, in Vinegia, Gabriel Giolito de’ Ferrari, 1562.
  • I tre libri delle lettere di M. Bernardo Tasso, alli quali nuovamente s’è aggiunto il quarto libro, in Vinegia, appresso Francesco Lorenzini, 1564.
  • Le lettere di Bernardo Tasso, utili non solamente alle persone private, ma anco a’ secretarj de’ principi, per le materie che vi si trattano, e per la maniera dello scrivere. Le quali per giudicio degli intendenti sono le più belle e correnti delle altre, in Venetia, per Iacopo Sansovino Veneto, 1570.
  • Le lettere di Bernardo Tasso, utili non solamente alle persone private, ma anco a’ secretarj de’ principi, per le materie che vi si trattano, e per la maniera dello scrivere. Le quali per giudicio degli intendenti sono le più belle e correnti delle altre. Di nuouo ristampate, riuedute & corrette con molta diligenza, in Venetia, appresso Gio. Antonio Bertano, 1574.
  • Il secondo volume delle lettere di m. Bernardo Tasso. Nuovamente posto in luce con gli argomenti per ciascuna lettera et con la tavola de i nomi delle persone a chi le sono indirizzate, in Vinegia, appresso Gabriel Giolito De’ Ferrari, 1574.
  • Il secondo volume delle lettere di M. Bernardo Tasso. Nuouamente posto in luce, con gli argomenti per ciascuna lettera, et con la tauola de i nomi delle persone, a chi le sono indirizzate, in Vinegia, appresso Gabriel Giolito de’ Ferrari, 1575.
  • Le lettere di M. Bernardo Tasso vtili non solamente alle persone priuate, ma anco a’ secretarij de’ prencipi, per le materie che vi si trattano, & per la maniera dello scriuere. Di nuouo ristampate, riuedute & corrette con molta diligenza, in Venetia, appresso Giouanni de’ Picchi & fratelli, 1578.
  • Le lettere di m. Bernardo Tasso. Utili non solamente alle persone private, ma anco a’ secretarii de’ prencipi. Di nuovo ristampate, rivedute e corrette con molta diligenza, in Venetia, appresso Domenico Cavalcalupo, 1580.
  • Le lettere di m. Bernardo Tasso, utili non solamente alle persone private, ma anco a’ secretarii de’ principi, per le materie che vi si trattano, e per la maniera dello scrivere. Le quali per giudicio de gli intendenti sono le più belle, e correnti dell’altre, in Venetia, appresso Fabio & Agostino Zoppini fratelli, 1582.
  • Le lettere di Bernardo Tasso, in Vinegia, G.G. de Ferreri, 1582.
  • Le lettere di m. Bernardo Tasso. Vtili non solamente alle persone priuate, ma anco a’ secretarij de prencipi, per le materie che vi si trattano, & per la maniera dello scriuere. Le quali per giudicio de gli intendenti sono le piu belle, & correnti dell’altri. Di nuovo ristampate, rivedute et corrette con molta diligenza, in Venetia, apresso Giacomo Cornetti, 1585.
  • Le lettere di m. Bernardo Tasso, utili non solamente alle persone private, ma anco a’ secretarii de’ principi, per le materie che vi si trattano, e per la maniera dello scrivere. Le quali per giudicio de gli intendenti sono le più belle, e correnti dell’altre. Di nuouo ristampate, riuedute et corrette con molta diligenza, in Venetia, appresso Matthio Valentini, 1588.
  • Lettere di m. Bernardo Tasso. Parte I e II. Salerno ; s.n., 1591 ?50
  • Le lettere di m. Bernardo Tasso, utili non solamente alle persone private, ma anco a’ secretarii de’ principi, per le materie che vi si trattano, e per la maniera dello scrivere. Le quali per giudicio de gli intendenti sono le più belle, e correnti dell’altre. Di nuouo ristampate, riuedute et corrette con molta diligenza, in Venetia, appresso Ioan. Griffio, 1591.
  • Le lettere di m. Bernardo Tasso. Utili non solamente alle persone private, ma anco a’ secretarii de’ Principi per le materie che vi si trattano, & per la maniera dello scrivere. Le quali per giudicio de gli intendenti sono le più belle, & correnti dell’altre. Di nuovo ristampate, rivedute & corrette con molta diligenza, in Venetia, appresso il Griffio, 1597.
  • Le lettere di m. Bernardo Tasso vtili non solamente alle persone priuate, ma anco a’ secretarii de’ Prencipi, per le materie che vi si trattano, & per la maniera dello scriuere, le quali per giudicio de gli intendenti sono le piu belle, & correnti dell’altri. Di nuouo ristampate, riuedute, et corrette con molta diligenza, in Venetia, appresso Lucio Spineda, 1603.
  • Le lettere di M. Bernardo Tasso utili non solamente alle persone private ma anco a’ secretari de’ Prencipi, per le materie che vi si trattano et per la maniera dello scrivere. Le quali per giudicio de gli intendenti sono le più belle, et correnti dell’altri. Di nuovo ristampate et con somma diligenza ricorrette, Venezia, appresso Lucio Spineda, 1612.
  • Delle lettere di M. Bernardo Tasso, corrette, e illustrate. Volume primo, Con la vita dell’Autore scritta dal Sig. Anton-Federigo Seghezzi, e con la giunta de’ Testimoni più notabili, e degl’Indici copiosissimi, in Padova, presso Giuseppe Comino, 1733. Con licenza de’ Superiori e privilegio dell’Eccellentissimo senato veneto per anni X51.
  • Delle lettere di M. Bernardo Tasso, secondo volume, molto corretto e accresciuto. Si è aggiunto anche in fine Il Ragionamento della poesia dello stesso autore, in Padova, 1733, presso Giuseppe Comino, con licenza de’ superiori e privilegio52.
  • Delle lettere di m. Bernardo Tasso accresciute, corrette e illustrate volume primo [- terzo], in Padova, presso Giuseppe Comino, 1733-1751.
  • Delle Lettere di M. Bernardo Tasso, Accresciute, corrette, e illustrate. Volume terzo contenente le Famigliari, per la maggior parte ora la prima volta stampate, e alcune di Torquato suo figliuolo pur esse finora inedite. Si premette il Parere dell’Abate Pierantonio Serassi intorno alla Patria de’ suddetti, in Padova, appresso Giuseppe Comino, MDCCLI. Con licenza de’ superiori53.
  • Lettere inedite di Bernardo Tasso precedute dalle notizie intorno la vita del medesimo, per cura di Giuseppe Campori, Bologna, Gaetano Romagnoli, 1869. À présent réimprimé in Scelta di curiosità letterarie inedite o rare dal secolo XIII al XIX, ristampa anastatica, XXII, dispensa CIII, Bologna, Forni, 1968.
  • Lettere inedite di Bernardo Tasso a Ferrante Sanseverino, principe di Salerno, a cura di Augusto Panizza, Trento, G. B. Monauni, 1869.
  • Lettere inedite di Bernardo Tasso a cura di Attilio Portioli, Mantova, Tip. Eredi Segna, 187154.
  • Lettere inedite di Bernardo Tasso a Marcantonio Tasca, per nozze Solerti-Saggini,a cura di Giuseppe Ravelli, Bergamo, Fr. Cattaneo Succ. Gaffuri e Gatti, 1889.
  • Giuseppe Bianchini, Lettere inedite di Bernardo Tasso, Verona, Fratelli Drucker, Padova, Librai Editori, MDCCCXCV55.
  • Giuseppe Ravelli, Lettere inedite di Bernardo e Torquato Tasso e saggio di una bibliografia delle lettere a stampa di Bernardo Tasso, Bergamo, Fratelli Bolis, 189556.
  • Maria Platter Zappala, « Otto lettere inedite di Bernardo Tasso », Bergomum, 1942, XX, 4, p. 1-657.
  • Bernardo Tasso, Li tre libri delle lettere, alli quali nuovamente s’è aggiunto il quarto libro, ristampa anastatica dell’edizione Giglio, 1559, a cura di Donatella Rasi, Sala Bolognese, Arnaldo Forni, 2002.
  • Bernardo Tasso, Lettere, secondo volume, ristampa anastatica dell’edizione Giolito 1560, a cura di Adriana Chemello, Sala Bolognese, Arnaldo Forni, 2002.
  • Giovanni Lovito, « Bernardo Tasso: lettere scelte », in Letteratura e storia del Rinascimento italiano, Pozzuoli, Ferraro, 2010.

Les lettres contenues dans des anthologies

  • Novo libro di lettere scritte da i più rari auttori et profesori della lingua volgare italiana. Con grazia et privilegio, in Venetia, per Paulo Gerardo, MDXLIIII58.
  • Lettere di diversi eccellentiss. huomini raccolte da diversi libri, tra le quali se ne leggono molte non più stampate. Con gli argomenti per ciascuna delle materie di che elle trattano e nel fine annotatione e tavole delle cose più notabili, a utile degli studiosi, in Vinegia, appresso Gabriel Giolito De’ Ferrari et Fratelli, MDLIIII59.
  • Dionigi Atanigi, De le lettere di tredici huomini lllustri Libri Tredici; Gli autori; Il Vesc. Di Bàius. Il Sanga. Il Guidiccione. Il Vescovo di Verona. M. Francesco de la Torre. Il Sadoleto. L’ Ardinghello. M. Marcant. Flaminio. Il Giovio. Il Tasso. M. Annibàl Caro. M. Claudio Tolomei. M. Paolo Sadoleto, Vesc. di Carpentras, in Venetia, l’anno MDLIIII60.
  • De le lettere di tredici huomini illustri libri tredici. Gli autori. Il Vesc. di Baius. Il Sanga. Il Guidiccione… Stampati in Roma per Valerio Dorico et Luigi fratelli, nel mese di marzo 1554.
  • Lettere di diversi autori eccellenti. Libro primo, nel quale sono tredici autori illustri & il fiore di quante altre belle lettere si sono vedute fin qui. Con molte lettere del Bembo, del Navagero, del Fracastoro, & d’altri famosi Autori non più date in luce. Con privilegio, in Venetia, appresso Giordano Ziletti, all’insegna della Stella, M. D. L.VI61.
  • Lettere di XIII huomini illustri, nelle quali sono due libri di diuersi altri auttori et il fiore di quante belle lettere, che fin’hora si sono uedute; con molte del Bembo, del Nauagero, del Fracastoro, del Manutio, & di altri famosi auttori non piu date in luce, in Venetia, per Francesco Lorenzini da Turino, 1560.
  • Lettere di XIII huomini illustri. Nellequali sono due libri di diuersi altri auttori, et il fiore di quante belle lettere, che fin’hora si sono vedute; con molte del Bembo, del Nauagero, del Fracastoro, del Manutio, & di altri famosi autori non piu date in luce, in Venetia, per Comin da Trino di Monferrato, 1561.
  • Lettere di 13 huomini illustri, nellequali sono due libri di diuersi altri auttori, con l’aggionta d’alcune altre uenute in luce. Et il fiore di quante belle lettere, che fin’hora si sono vedute, in Venetia, per Comin da Trino di Monferrato, 1564.
  • Lettere di XIII huomini illustri, alle quali oltra tutte l’altre fin qui stampate, di nuovo ne sono state aggiunte molte da Thomaso Porcacchi, in Vinetia, presso Giorgio de’ Cavalli, MDLXV62.
  • Lettere di XIII huomini illustri; allequali oltra tutte l’altre sin qui stampate, di nuouo ne sono state aggiunte molte da Tomaso Porcacchi, in Venetia, appresso gli heredi di Giouan Maria Bonelli, 1571.
  • Della nuova scielta di lettere di diversi nobilissimi huomini et eccell. ingegni. Scritte in diverse materie. Fatta da tutti i libri fin’hora stampati. Libro primo. Con un Discorso Della Commodità dello scrivere, di M. Bernardino Pino [Marca tipografica di Andrea Muschio], in Venetia, MDLXXIIII63.
  • Lettere di XIII huomini illustri, alle quali oltra tutte l’altre fin qui stampate, di nuouo ne sono state aggiunte molte da Tomaso Porcacchi, in Venetia, appresso Iacomo Vidali, 1576.
  • Lettere di XIII huomini illustri, alle quali oltra tutte l’altre fin qua stampate, di nuouo ne sono state aggiunte molte. Da Tomaso Porcacchi, in Venetia, appresso Camillo de’ Franceschini, 1582.
  • Lettere di XIII huomini illustri, allequali oltra tutte l’altre fin qua stampate, di nuouo ne sono state aggiunte molte da Tomaso Porcacchi, in Venetia, appresso Fabio & Augustin Zoppini fratelli, 1584.
  • Scelta di lettere di diversi Eccellenti Scrittori, disposta da Bartolomeo Zucchi, Da Monza; parte prima [-terza]. Ne la quale sono le più belle Lettere che insin qui si siano vedute, con moltissime non ancora uscite in luce, in Venetia, appresso la Compagnia Minima, MDXCV64.
  • L’idea del segretario dal Signore Bartolomeo Zucchi, gentil homo da Monza, Città Imperiale, nell’Accademia de gli Insensati di Perugia, rappresentata in un trattato dell’Imitatione, E nelle lettere di Principi, e d’altri Signori, Parte Prima. Dal medesimo Sig. Zucchi in questa Quarta edizione notabilmente accresciuta, abbellita, e illustrata […], in Venetia, appresso Pietro Dusinelli, MDCXIV. Con licentia de’ Superiori, e con Privilegio65.
  • Scelta di lettere familiari degli autori più celebri con note ed accenti che indicano la pronunzia ad uso dei Licei del Regno, Milano, dalla Stamperia Reale, MDCCCX66.
  • Lettere familiari di celebri italiani antichi e moderni corredate di grammaticali e tipografiche annotazioni e di copiosi paralleli per la retta pronuncia di moltissime voci, ad esercizio della studiosa gioventù da Francesco Antolini di Macerata, Milano, per Luigi Cairo colla stereofeidotipia di Gaetano, 182567.
  • Lettere familiari di celebri italiani antichi e moderni corredate di grammaticali e tipografiche annotazioni e di copiosi paralleli per la retta pronuncia di moltissime voci, ad esercizio della studiosa gioventù da Francesco Antolini di Macerata, socio dell’Accademia de’ catenati di questa città. Seconda edizione corretta e notabilmente accresciuta, Milano, presso Luigi di Giacomo Pirola, 183268.
  • Scelta di lettere famigliari degli autori più celebri proposte alla studiosa gioventù della lingua italiana da Cesare Servadio, con note ed una raccolta di voci equivoche per conoscere la differenza della pronuncia e del significato. Volume unico, Firenze, Tipografia della speranza, 183669.
  • Lettere di vari illustri italiani del secolo XVIII e XIX a’ loro amici, e de’ massimi scienziati e letterati nazionali e stranieri al celebre abate Lazzaro Spallanzani e molte sue risposte ai medesimi, ora per la prima volta pubblicate. Tomo quarto, Reggio, coi Tipi Torreggiani e Compagno, 184170.
  • Archivio storico italiano, Firenze, 1845, tomo II, Appendice II, p. 322-32371.
  • Giovanni Battista Nicolini, Filippo Strozzi. Tragedia […] corredata d’una vita di Filippo e di documenti inediti, Firenze, Le Monnier, 184772.
  • Lettere di F. Rangone, edite per cura del Dott. Luigi Maini, Modena, Tipografia di Andrea Rossi, MDCCCLIII73.
  • Amadio Ronchini, Lettere d’uomini illustri conservate in Parma nel R. Archivio di Stato, volume primo, Parma, dalla Reale Tipografia, MDCCCLIII74.
  • Zanobi Bicchierai, Lettere d’illustri italiani non mai stampate; Bernardo Tasso – Tiziano Vecellio – Isabella Orsini – Trajano Boccalini – Francesco Redi, Firenze, coi tipi di Felice Le Monnier, 185475.
  • Willelmo Braghirolli, Lettere inedite di alcuni illustri italiani, per nozze Cavriani-Lucchesi, Milano, Palli, 1856.
  • Carlo Fabriani, Sonetto e lettera inedita, per le nozze Paolucci-Trolani, Modena, Eredi Solani, 1856.
  • Aristide Sala, « Lettera di Bernardo Tasso a Giovambattista Castaldo », Archivio Storico Italiano, 1860, XII, p. II, p. 171-17376.
  • Raccolta di scritture varie pubblicata nell’occasione delle nozze Riccomanni-Fineschi, per cura di Cesare Riccomanni, Capitano d’artiglieria e Bibliotecario onorario della Comunale di Siena, Torino, Tip. V. Vercellino, 186377.
  • Lettere inedite di dotti italiani del secolo XVI tratte dagli autografi della Biblioteca Ambrosiana, da Antonio Ceruti, custode dei cataloghi della medesima, Milano, Tipografia e Libreria Arcivescovile, Ditta Boniardi-Pogliani di Ermenegildo Besozzi, MDCCCLXVII78.
  • « Lettere di illustri italiani » edite da Vincenzo Promis, Assistente alla Biblioteca di S.M., Miscellanea di Storia Italiana edita per cura della Regia Deputazione di Storia patria, Torino, Fratelli Bocca, 1870, t. IX, p. 345-51179.
  • « Scritti inediti di Torquato Tasso », a cura di Attilio Portioli, La Rivista Europea, 1870, I, vol. III, fasc. 2, luglio 1870, t. IX, p. 345-51180.
  • Ai coniugi Conte Pellegrino Canestri Trotti e Contessa Orobola Pasolini nel dì lietissimo che il figlio loro, Giuseppe, sposa la nobile donzella, Cecilia De Stasi, Luigi Buscaroli, in segno di congratulazione affettuosa, quanto esser può da antica amicizia, offre questa lettera di Bernardo Tasso, la cui ristampa verrà pure gradita agli sposi, bella siccome è per dettato, per conjugale affetto e per consigli sulla domestica educazione della infanzia, Forlì, Tipi Borlandini, MDCCCLXXVI81.
  • Pietro Bigazzi, « Documenti inediti spettanti alla vita politica e letteraria di Filippo Strozzi » [contiene sette lettere di Bernardo Tasso], pubblicato in appendice al volume di Niccolini Giovanni Battista, Tragedie varie, vol. II, Milano, Guigoni, 1880, p. 459-577.
  • Lettera inedita di Bernardo Tasso a Porzia sua, per nozze Dolfin-Rocchetti, Bassano, S. Porsato, 188082.
  • Lettere inedite d’illustri scrittori del secolo XVI annotate da Gennaro Angelini, Roma, Tipografia della pace, 188283.
  • Giuseppe Campori, « Torquato Tasso e gli Estensi », in Atti e mem. delle RR deput. di storia patria per le prov. Modenesi e Parmensi, 1885, ser. III, I, pt. I, p. 195 e 210.
  • Cesare Cimegotto, « Laura Battiferra e due lettere inedite di Bernardo Tasso » Giornale Storico della Letteratura Italiana (dorénavant abrégé en GSLI), 1894, XXIV, p. 388-39684.
  • Angelo Solerti, Vita di Torquato Tasso, Torino-Roma, Loescher, 1895, vol. II85.
  • Bernardo Tasso; lettura; il Parini e l’ode Educazione; Saggio di lezione, a cura di Enrico Fabiani, Livorno, R. Giusti, 1895.
  • Pier Desiderio Pasolini, I genitori di Torquato Tasso. Note storiche raccolte da P.D.P., Roma, Loescher, 189586.
  • « Nel Quarto centenario della morte di Bernardo Tasso », Studi Tassiani, 1971, XXI, p. 113-12587.
  • Sergio Sersale, Tasso, Telesio e i Sersale. Una famiglia nel Rinascimento, Roma, Tip. Roma, 193588.

Les lettres contenues dans les ouvrages d’autres auteurs

  • Luigi Locatelli, « Il codice Falconieri. Le lettere che vi sono raccolte », Bergomum,XXXII, 4, p. 187-19589.
  • Gian Battista Giraldi Cinzio, « Lettera a Bernardo Tasso sulla poesia epica », Trattati di poetica e retorica del Cinquecento, a cura di Bernardo Weinberg, Roma-Bari, Laterza, 1970-1974, vol. II, p. 453-477.
  • Sperone Speroni, « Lettera a Bernardo Tasso », Trattatisti del ‘500, a cura di Mario Pozzi, [ristampa anastatica dell’ed. Venezia, Occhi, 1740] Milano-Napoli, Ricciardi, 1978, I, p. 46-48.
  • Gian Battista Giraldi Cinzio, Carteggio, a cura di Susanna Villari, Messina, Sicania, 1996.
  • Vanni Bramanti (a cura di), Lettere a Benedetto Varchi (1530-1563), Manziana, Vecchiarelli, 2012.

Les traductions90

En français

  • Bernardo Tasso, Les Lettres […] traduites d’Italien par un gentilhomme normand de la maison et famille de Saint Luc, Paris, 155491.
  • Antoine Du Verdier, La bibliothèque d’Antoine du Verdier, seigneur de Vauprivas ; contenant le catalogue de tous ceux qui ont escrit, ou traduict en françois, & autres dialectes de ce royaume […] ; avec un discours sur les bonnes lettres, servant de preface ; et à la fin un supplement de l’epitome de la bibliotheque de Gesner, par Barthelemy Honorat, Lyon, 1585, p. 121.
  • Alphonse De Lamartine, Vie du Tasse, Paris, Michel Lévy, 1866, p. 31-3492.
  • Alphonse De Lamartine, Trois poètes italiens. Dante, Pétrarque, le Tasse, Paris, Alphonse Lemerre, 1893, p. 229-230.

En anglais

  • The Gentleman’s magazine and historical chronicle, London, David Henry, vol. 61, n. 1, 1791, p. 309 ; vol. 61, n. 2, p. 125 ff.
  • John Black, Life of Torquato Tasso […], Edinburgh, London, Murray, Ballantyne, 1810, vol. I.
  • Henry Stebbing, Lives of the Italians Poets […], London, Edward Bull, 1831 (1832), p. 24093.
  • The christian remembrance; a Monthly Magazine and Review, London, James Burns, New Series, V, June 1843, p. 786-789 ; VI, October 1843, p. 432-444 ; VII, February 1844, p. 219-236 ; VIII, August 1844, p. 185-20794.
  • Henry Stebbing, Lives of the Italians Poets […], London, Richard Bentley, 1860, p. 23095.
  • Christine F. Andrade, The Letters of Bernardo Tasso (1549) with an Annotated Translation, Ph.D. in the Department of Italian Studies, May 2011, relatore prof.ssa Caroline Castiglione, Brown University (Providence, Rhode Island-USA).

En allemand

  • Torquato Tasso, Das Befreyte Jerusalem, Zurich, Orell, Gessner, Füssli und C., 1782, v. I, p. XI-XV96.
  • Adolf Wolff, Die Italienische National-Literatur in ihrer geschichtlichen Entwicklung vom 13ten bis zum 19ten Jahrhundert […], p. 39497.

Notes

* Pour les volumes anciens ont été référencées aussi bien l’editio princeps que leurs différentes rééditions passées et présentes. Les conventions bibliographiques utilisées sont celles en vigueur dans les publications françaises, sauf pour les ouvrages publiés entre le XVIe et le XIXe siècle où la présentation d’origine a été respectée. Au sein de chaque catégorie, les titres sont classés par ordre chronologique ou par ordre alphabétique selon qu’il s’agit de textes anciens ou d’éditions et d’essais modernes, voire contemporains.

  1. La Raccolta tassiana della biblioteca civica «A. Mai» di Bergamo, a cura di Luigi Chiodi, Anna Maria Lastrucci Bernardini e Severino Maggi, prefazione di Aldo Agazzi, Bergamo, Tip. T.O.M, 1960, liste les études sur Bernardo Tasso jusqu’en 1960.
  2. Notre travail a été partiellement facilité par les deux récentes publications des lettres du volume de 1559 (premier volume édition Giglio) et de 1560 par Donatella Rasi (Lettere, I) et Adriana Chemello (Lettere, II). Richement dotées en index, répertoires et tableaux récapitulatifs, elles sont aujourd’hui indispensables à la compréhension des ouvrages épistolaires du poète-courtisan.
  3. Il s’agit d’un ensemble manuscrit de quatre-vingt-huit-pièces conservé à la Bibliothèque Angelo Mai de Bergame à laquelle il avait été légué à la mort de l’avocat Locatelli, qui avait consacré vingt ans de sa vie à rechercher les ouvrages existant sur les Tasse père et fils et à collectionner les éditions anciennes de leurs œuvres. Le matériel relatif à Bernard est conservé dans deux tiroirs (n° 81 et 82) qui sont organisés comme suit : n° 1 : Bibliografia per Bernardo Tasso-Amadigi-Floridante-Rime-Lettere-Ragionamento della Poesia-Commedia-Vita di Carlo V- Studi su B. Tasso-Iconografia ; n° 2 : Schedario speciale delle «Rime» di B. Tasso, où les fiches sont classées par ordre alphabétique (une pour chaque poésie avec l’indication des éditions dans lesquelles elle est reproduite) et Schedario speciale delle «Lettere» di B. Tasso où celles-ci sont classées par catégorie : manuscrits, autographes, copies, apostilles et ainsi de suite. Voir La raccolta tassiana…, p. 409.
  4. Parmi lesquels on peut citer au moins les noms de Cimegotto, Foffano, Locatelli, Pasolini ou Solerti.
  5. Cf. Anton-Federico Seghezzi,« Lettera a’ lettori», Lett. Com. 1, p. 3, n.n. En note, il précise que : « Sette sono le lettere aggiunte. La prima è scritta ad Aurelia Sanseverina […]. La seconda, la terza, la quarta e la quinta sono dirette a Pietro Aretino e si ritrovano ne’ due libri delle Lettere di diversi all’Aretino, impressi dal Marcolini nel 1552 in ottavo. La sesta, a Cesare Pavesi, fu estratta dal Terzo libro della Nuova Scelta di Lettere di diversi stampata in Venezia nel 1574 in ottavo. La settima, a Giuseppe Pallavicini, si legge fra le Lettere d’esso Pallavicini, pubblicate in Venezia in ottavo dal Rampazetto nel 1566 ». Ces lettres furent effectivement publiées à la fin du deuxième volume (p. 497-506).
  6. Campori observait que sur les cent vingt-quatre lettres que comportait le manuscrit de Modène et qui y étaient considérées comme inédites, seules trente-sept l’étaient effectivement à la mort de leur auteur. Il ajoutait à ce corpus quatre autres lettres, effectivement publiées, mais présentes dans ce même manuscrit dans des formes très variables ainsi que six autres : « parimenti tratte dalla Biblioteca e dall’Archivio Governativo di Modena, dall’Archivio di Mantova e dalla Biblioteca Nazionale di Firenze ». Cf. Lett. Camp., p. 47-48.
  7. Portioli affirmait : « Dopo il Seghezzi e il Serassi non credo che siasi fatta alcun’altra rilevante pubblicazione di Bernardo Tasso. Ora io ho raccolto questo invito e mi sono determinato quindi a pubblicare quelle lettere del medesimo Tasso, non poche certamente, perché sono oltre duecento che furono da me ripescate nei carteggi dell’Archivio di Mantova », mais il ne soufflait mot de son prédécesseur immédiat, Campori, qui avait mis à jour quarante-sept lettres « per la maggior parte estratte da un manoscritto che porta la data dell’anno 1600, esistente nell’Archivio del Collegio di San Carlo di Modena ». Cf. Lett. Port., p. XI.
  8. Il s’agit des différentes publications dirigées par Braghirolli, Panizza, Ravelli, Bianchini, Bigazzi, Nicolini, Ronchini, Maini, Bicchierai et Fabriani.
  9. Cf. Maria Platter Zappala, « Otto lettere inedite di Bernardo Tasso », Bergomum, 1942, XX, n. 4, p. 1-6.
  10. Un répertoire des seuls manuscrits autographes de Bernardo Tasso a récemment vu le jour, cf : « Autografi di letterati italiani » dir. da Matteo Motolese e Emilio Russo, Il Cinquecento, t. II, a cura di Matteo Motolese, Paolo Procaccioli e Emilio Russo, con la consulenza paleografica di Antonio Ciaralli, Roma, Salerno Ed., 2013. p. 345-358.
  11. Edward Williamson, Bernardo Tasso…, p. 28.
  12. Delle lettere di Luca Contile, primo volume, diviso in due libri, nella inclita città di Pavia, appresso Girolamo Bartoli, 1564, ad istantia di Gio. Battista Turlini Libraio. Lettera dedicatoria a Gianbattista Spinola, c. IIIr : « Molti altri poi nella nostra lingua materna non hanno con artificioso stile a più e più amici et gran Signori scritto, come il Bembo ornato, il Guidoccione sonoro, il Caro giocondo, il Ruscelli sensato, il Domenichi puro, il Dolce accorto, il Tasso leggiadro et il Tolomei facondo et dotto, leggendosi nelle sue epistole quasi in ogni suggetto, o ver particolare avvertimento di tutte le scientie? ».
  13. Ibid., III, p. 294r. : « Voilà quarante ans que, grâce aux témoignages de tous ceux qui le connaissent, j’ai considéré et estimé et aimé et respecté M. Bernardo Tasso ; je l’ai considéré comme savant, estimé pour sa noblesse, aimé pour sa bonté et respecté pour son honneur. Quel besoin avais-je donc de le fréquenter pendant des années, si le témoignage du Monde entier me rendait pleinement compte de lui ? ».
  14. Cf. Lettere, I, dédicace Al reverendiss. et illust. Mons Daras, p. 5 : « Né però voglio inferire che queste mie lettere sì incolte siano, sì prive d’eleganza e di candore che del tutto di dispregio e di scherno degne siano giudicate » ; Ibid., dédicace Al Sig. principe di Salerno, p. 10-11 : « Io non voglio negare che del tutto di queste calunnie [le lettere] indegne siano ; ne meno affermare che non meritino qualche loda, ché né l’un posso, né l’altro debbo fare, anzi mi rendo certo che le persone di dottrina e di giudizio lo conosceranno » ; Lettere, secondo volume…, CXXVI, p. 579 : « Se piacerà alla Maestà di Dio di darmi vita, avendo già preparata la materia, ho deliberato scrivere un’istoria, incominciando da l’Imperio de la felice memoria di Carlo V, perché eziandio che ‘l Giovio l’abbia scritta, essendo le principali parti de l’istorico […] la prudenza e la verità, de l’una de le quali in molte parti essa manca, sarà la mia cara e già desiderata dal mondo ».
  15. Lettere, II, LXV, p. 179.
  16. Lettere, II,XCV, p. 285-290 : « En espérant, s’il en est ainsi que vous me l’écrivez, que la faveur et la grande autorité de vos écrits me placeront dans une estime et dans une bonne opinion du monde que mes œuvres ne méritent peut-être pas, mais certes, parmi tous mes malheurs, je crois avoir beaucoup gagné en disposant du témoignage d’un homme savant et judicieux (comme vous l’êtes) qui approuve mes compositions ».
  17. Lettere, II, XVI, p. 55-57 ; II, CLXXII, p. 540-547.
  18. Amadigi, Ai Lettori, p. 1.
  19. Lettere, II, CXL, p. 451-455 : « À présent, sachant que Votre Seigneurie est sur le point de publier son Amadis tant attendu et désiré de chacun, je n’ai pas voulu omettre de vous rappeler et d’insister sur l’opportunité de cette nouvelle Académie pour l’impression de votre livre ».
  20. Lettere, II, LXXVI, p. 229-241 : « Je ne pense pas être celui qui puisse vous dire quoi que ce soit que vous n’ayez déjà vu bien avant moi, car vous avez faite vôtre cette agréable discipline ; comme celui qui dès ses plus tendres années se consacra à elle et en a tiré le profit par lequel vous êtes sur toutes les bouches avec une si honorable réputation, que je ne vois guère qui pourrait vous égaler ».
  21. « Je vois Fracastoro, Bevazzano, Trifon Gabriel et le plus âgé des Tasse ».
  22. D’autres contemporains du Tasse sont cités dans les pages consacrées par Donatella Rasi à la « Tradizione a stampa ». Cf. Lettere, I, p. XIV, et dans l’introduction au deuxième volume de Adriana Chemello, Cf. Lettere, II, p. XII.
  23. Une marge d’imprécision inévitable est due à l’impossibilité de retrouver certaines éditions.
  24. D’après Adriana Chemello (Lettere, II, p. XXI, n. 49), selon qui seule la réédition de 1574 est effective, tandis que les exemplaires mentionnant sur leur frontispice l’année 1575 font en réalité partie de cette même impression qui : « per motivi strettamente commerciali, venne immessa sul mercato, scaglionata nel tempo ».
  25. À l’exclusion de la dédicace à Monseigneur d’Arras, de celle à Sanseverino et de la lettre à Annibal Caro.
  26. Idem. Là aussi le total n’inclut pas l’épître dédicatoire à Giulia della Rovere.
  27. Lett. a F.S.
  28. Lett. B&T.
  29. Maria Platter Zappala, « Otto lettere inedite… », p. 1-6.
  30. Un calcul plus précis exigerait une recherche conséquente et somme toute peut-être inutile. En effet, certaines éditions comprennent les deux premiers livres du premier recueil, d’autres les trois, d’autres les quatre. Qui plus est, quelques lettres sont reprises dans des florilèges ou connaissent même une vie éditoriale autonome. La situation est encore compliquée par les rééditions effectuées au XIXe siècle dans lesquelles les lettres déjà publiées et les inédites coexistent.
  31. Lett. Com. 1 ; Lett. Com. 2.
  32. Lett. Com. 3.
  33. Parere di Pierantonio Serassi intorno alla patria di Bernardo Tasso, e Torquato suo figliuolo, Bergamo, Santini, 1742.
  34. Rime di m. Bernardo Tasso. Colla vita dell’autore e varie illustrazioni dell’opera, Bergamo, Lancellotti, 1755.
  35. L’Amadigi di m. Bernardo Tasso colla vita dell’autore e varie illustrazioni dell’opera. Tomo 1. [-4.]. – In Bergamo; appresso Pietro Lancellotti, 1755. – 4 v. ; 12o. (Il nome del curatore, Piero Antonio Serassi, si ricava dalla dedica del vol. 1).
  36. On se souvient que son fils, Torquato, avait tissé son éloge dans son traité sur l’art du secrétaire (Il Secretario, Ferrara, Baldini, 1587).
  37. Autant d’éléments qui étaient réunis dans les recueils épistolaires et/ou dans les lettres inédites.
  38. Giosuè Carducci, Dello svolgimento dell’ode in Italia, Roma, Direzione della Nuova Antologia, 1902.
  39. Cf. Lettere, I, p. XIV-XIX.
  40. Le chapitre sur Bernardo Tasso est rédigé par Guido Arbizzoni : « Autografi di letterati italiani »…, p. 345-358.
  41. Je suis redevable à Anderson Magalhães de la mise à jour et de la vérification des références mantouanes. Dans son fichier manuscrit (Biblioteca Civica A. Mai, réf. : 87-88), Locatelli se limitait à signaler la présence d’autographes de lettres du Tasse auprès des Archives de Mantoue.
  42. Il semblerait que quelques autographes du Tasse soient aussi conservés aux Archives de Venise, mais il n’a pas été possible d’y avoir accès.
  43. La recherche concernant les Rimes et leurs différentes éditions est liée à un travail effectué en collaboration avec Massimo Castellozzi et Anderson Magalhães.
  44. Le recueil comprend le premier et le deuxième livre des Amours.
  45. Cette édition inclut également le Raisonnement sur la poésie.
  46. Les éditions suivantes Pietrasanta,1555 et Rocca, 1565 ont toutes deux été imprimées à Venise.
  47. Le recueil est réédité à Venise par le typographe Sessa en 1569 ; puis en 1579, en 1586, et enfin à Lucques chez les Marescandoli en 1729.
  48. L’œuvre est réimprimée en 1590 chez Giolito.
  49. Les éditions suivantes sont toutes réalisées par Giolito en 1570, 1580, 1581, 1590.
  50. La Biblioteca Civica Angelo Mai fait savoir que le volume est dépourvu de frontispice, d’où l’incertitude du catalogue sur la date d’impression.
  51. Lettere, II, La tradizione a stampa sette-ottocentesca, p. 87 : « Ė la ristampa dell’edizione Giolito 1562 del Primo volume delle Lettere di Bernardo Tasso ».
  52. Ibid., p. 87 : « È una ristampa dell’edizione Giolito 1560, con l’aggiunta, dopo la lettera dedicatoria a Giulia Estense Dalla Rovere, della Lettera di M. Girolamo Muzio Giùstinopolitano alla Duchessa di Urbino, datata a’ 10. di Dicembre del 1558 e firmata “in persona del Verno” ».
  53. Ibid., p. 87 : « Il volume contiene 52 lettere di Bernardo ai parenti bergamaschi e a Sperone Speroni, con una risposta di quest’ultimo; seguono poi dodici « Lettere di diversi illustri scrittori a M. Bernardo Tasso ».
  54. Ibid., p. 90 : « Contiene il carteggio di Bernardo Tasso col duca Guglielmo Gonzaga e con ministri del duca, al tempo in cui era prima Segretario del medesimo duca, poi Podestà di Ostiglia. Sono tutte lettere “di servizio” ».
  55. Lettere, II, La tradizione a stampa sette-ottocentesca, p. 91 : « Ripubblica le quattro lettere già pubblicate in Panizza, 1869 ».
  56. Ibid., p. 91 : « Contiene quattro lettere di Bernardo, di cui una già edita e una indirizzata al figlio Torquato ».
  57. Ibid., p. 92 : « Sono lettere dirette al canonico Giovanni Giacomo Tasso, suo parente ».
  58. Lettere, II, La tradizione a stampa cinque-secentesca, p. 85 : « Contiene una sola lettera tassiana a Fortunio Spira ».
  59. Ibid., p. 85 : « Comprende tre lettere di Bernardo Tasso Al Principe di Salerno, A M. Vincenzo Martelli, A Bernardo Rota. La Raccolta di lettere volgari curata da Lodovico Dolce viene ristampata nel 1559 e nel 1603 ma la scelta delle lettere tassiane rimane invariata ».
  60. Lettere, II, La tradizione a stampa sette-ottocentesca, p. 85 : « In questo volume troviamo undici lettere di Bernardo Tasso raccolte nel Libro decimo. Le lettere, poi riproposte nel terzo e nel quarto libro dell’edizione Giglio 1559, sono indirizzate ai seguenti destinatari; al Principe di Salerno, a M. Vincenzo Martelli, al S. Bernardino Rota, a M. Gio. Angelo Papio, al S. Fernardo (sic) Torres, a L’ Abbbate Riario per lo Principe di Salerno, al Sig. don Ferrante Gonzaga per lo Principe di Salerno, a M. Petronio Barbato, al S. Gio. Antonio Serone, a la Signora Donna Vittoria Colonna, al S. Bernardino Lungo ».
  61. Ibid., p. 85 : « Le lettere di Bernardo Tasso, in numero di sette, sono raccolte nel Libro decimo. LeLettere andranno poi a formare il Terzo Libro dell’edizione Giglio 1559. Sono indirizzate nell’ordine; al Principe di Salerno, a M. Vincenzo Martelli, al S. Fernando Torres, al signor Don Ferrante Gonzaga per conto del Principe di Salerno, a M. Petronio Barbato, alla Signora Donna Vittoria Colonna, al S. Bernardin Lungo. Le ristampe successive della Raccolta Ruscelli ripropongono le stesse lettere ».
  62. Ibid., p. 86 : « Le lettere di Bernardo Tasso sono quindici; le prime sette sono riprese dal Terzo Libro dell’ edizione Giglio ‘59, e sono indirizzate; al Principe di Salerno, a M. Vincenzo Martelli, al signor Fernando Torres, al signor Ferrante Gonzaga per il Principe di Salerno, a Messer Petronio Barbato, alla Signora Donna Vittoria Colonna, al signor Bernardino Lungo ».
  63. Lettere, II, La tradizione a stampa sette-ottocentesca, p. 86 : « II volume è diviso in quattro libri. Il Libro Primo non contiene lettere di Bernardo Tasso. il Libro Secondo comprende due lettere di Bernardo, indirizzate rispettivamente: a M. Fortunio Spira, al S. Bernardino Rota. Il Libro Terzo comprende le seguenti lettere: al Principe di Salerno, a M. Vincenzo Martelli, al signor Francesco Torres, al signor Don Ferrante Gonzaga per il Principe di Salerno, a M. Petronio Barbato, alla Signora Donna Vittoria Colonna, al signor Bernardino Lungo, al S. Gio. Battista Galeotta, al S. Cesare Pavesi, a M. Benedetto Varchi, a M. Girolamo Ruscelli, al S. Rui Gomez, Principe di Eboli, al S. Marchese di Pescara, al S. Antonio Gallo. Il Libro Quarto non contiene lettere di Tasso ».
  64. Ibid., p. 86 : « Il volume si presenta diviso in tre Parti ; nella Parte Prima compaiono ventisei lettere tassiane; nella Parte Seconda ventuno lettere; nella Parte Terza quattordici lettere, tutte tratte dal primo volume delle Lettere di Tasso ».
  65. Ibid., p. 86 : « Nella Parte Prima compaiono diciannove lettere di Bernardo Tasso, e sono suddivise in: lettere di “negotii”, lettere di “complimenti misti”, lettere di “congratulatione”, lettere di “consolatione”, lettere di “preghiere”, lettere di “raccomandatione”. Sono tutte riprese dal Primo volume delle Lettere. Nella Parte Seconda vengono riproposte altre venti lettere di Bernardo, nella tipologia: lettere di “ragguagli” e lettere di “complimenti misti” ».
  66. Lettere, II, La tradizione a stampa sette-ottocentesca, p. 87 : « Contiene tra le lettere “istruttive” una lettera di Bernardo Tasso a Porzia sua moglie alle p. 387-401 ».
  67. Ibid., p. 88 : « Contiene due lettere di Bernardo Tasso, riprese dal Secondo volume delle Lettere, Giolito 1560, alle p. 354-370 ».
  68. Lettere, II, La tradizione a stampa sette-ottocentesca, p. 88 : « É una ristampa dell’ed. 1825. Le due lettere di Bernardo Tasso, contrassegnate dallo stesso numero progressivo e corredate dalle stesse note, si leggono alle p. 324-340 ».
  69. Ibid., p. 88 : « Contiene sei lettere di Bernardo Tasso, già pubblicate nel Primo Volume ».
  70. Ibid., p. 88 :« Contiene una lettera di Bernardo Tasso al Conte Claudio Rangoni, da “Spilimberto il giorno terzo d’aprile MDXXVI”, che si legge a p. 290. La lettera viene ristampata in Campori, 1869 ».
  71. Ibid., p. 88 : « Contiene una lettera di Bernardo Tasso a Isabella Gonzaga, datata 5 dicembre 1531, poi ristampata come inedita in Portioli, 1871 ».
  72. Ibid., p. 88 : « La sezione terza, “Documenti inediti” a cura di Pietro Bigazzi, comprende tra l’altro sette lettere di Bernardo Tasso. Le prime sei sono indirizzate a Giulio e Lorenzo Strozzi e cadono nei mesi tra ottobre e dicembre 1537; l’ultima al Card. Salviati è del gennaio 1538 ».
  73. Ibid., p. 89 : « Contiene quattro lettere del Conte Fulvio Rangone a Bernardo Tasso. La prima è priva di data; le altre sono datate marzo 1562 ».
  74. Lettere, II, La tradizione a stampa sette-ottocentesca, p. 89 : « Contiene una lettera di Bernardo Tasso al duca di Parma, datata da Ferrara 2 ottobre 1562, dove parla del suo poema, Amadigi, p. 607-609 ».
  75. Ibid., p. 89 : « Contiene due lettere di Bernardo Tasso […] entrambe indirizzate al duca d’Urbino, ma appartenenti a periodi diversi. La prima è datata da Venezia, 7 aprile 1559; la seconda da Mantova, del 19 ottobre 1564 ».
  76. Lettere, II, La tradizione a stampa sette-ottocentesca, p. 89 : « Contiene una lettera di Bernardo Tasso a Giovambattista Castaldo, datata da “Vinegia il XXVIII di giugno LIX”, poi ristampata in Ceruti, 1867. Edward Williamson, Bernardo Tasso, p. 141 : « Questa lettera è stata pubblicata in Lettere inedite di dotti italiani del secolo XIV tratte dagli autografi della biblioteca ambrosiana, Milano, tip. libr. arciv., 1867 ».
  77. Ibid., p. 89 : « La sezione dedicata alle “Lettere di illustri italiani” comprende dieci lettere, tra cui quella di Bernardo Tasso agli Anziani di Lucca, datata “di Firenze, il 25 di Gennaro del 1567” ».
  78. Ibid., p. 89 : « Contiene numerose lettere di insigni letterati del secolo XVI, tra cui una di Bernardo Tasso a Gio. Battista Castaldo, alle p. 3-4 ».
  79. Ibid., p. 90 : « A p. 389 troviamo una lettera di Bernardo Tasso ad Emanuele Filiberto duca di Savoia, datata “di Venezia, 23 settembre 1560” ».
  80. Lettere, II, La tradizione a stampa sette-ottocentesca, p. 90 : « Contiene a p. 195, lo stralcio di una lettera di Bernardo Tasso al Conte Carlo Maffei datata “di Mantova 3 Marzo 1567” ».
  81. Ibid., p. 91 : « Contiene la lettera di Bernardo Tasso a Porzia sua, p. 8 ».
  82. Ibid., p. 91 : « Viene ristampata la lettera di Bernardo Tasso a Porzia sua, p. 5-12 ».
  83. Lettere, II, La tradizione a stampa sette-ottocentesca, p. 91 : « Contiene una lettera di Bernardo Tasso al Molza, datata di “Napoli l’ottavo di maggio 1535” a p. 25 ».
  84. Ibid., p. 91 : « Contiene due lettere inedite di Bernardo Tasso a Laura Battiferri, datate rispettivamente da Mantova “il penult.o di gennaro del LXVI” e sempre da Mantova “il dì XIII di marzo 1566” ».
  85. Ibid., p. 91 : « Nel volume secondo, parte seconda, Lettere di diversi a documento e illustrazione della vita e delle opere di Torquato Tasso, p. 71-96, troviamo trentotto lettere di Bernardo, in parte riprese dall’edizione cominiana […] in parte da precedenti pubblicazioni ottocentesche ».
  86. Lettere, II,p. 92 : « In appendice al volume troviamo alcune “Lettere scelte di Bernardo Tasso”. Sono in tutto otto lettere, tratte, con i rispettivi argomenti, dalle edizioni Giolito del 1560 e del 1562. Viene ristampata anche la lettera a Porzia, alle p. 244-252 ».
  87. Ibid.,p. 92 : « Comprende sedici lettere di Bernardo Tasso del periodo in cui era Governatore di Ostiglia, tratte dal volume di Portioli, 1871 ».
  88. Ibid., p. 92 : « Contiene due lettere di Bernardo Tasso a Bernardino Sersale, già pubblicate nel Primo Volume delle lettere; ancora una lettera di Bernardo al Conte Francesco Landriano, da Pesaro, 3 luglio 1558; una alla Duchessa d’Urbino dell’11 luglio 1558; una al genero Marzio Sersale, del 17 settembre 1559 e una all’Abate delle Fosse, suo cognato, del 9 febbraio 1560. Tutte queste ultime quattro lettere sono già comprese nel Secondo Volume, Giolito 1560 ».
  89. Contiene solo un riferimento a Bernardo Tasso a p. 188.
  90. Ce paragraphe a été réalisé avec l’aide de Anderson Magalhães et de Massimo Castellozzi que je remercie ici.
  91. Cet ouvrage est aujourd’hui perdu. Dans son fichier (Civica Biblioteca A. Mai di Bergamo, Tassiana L 4) , Attilio Morati en rendait compte de la sorte : « Nell’anno 1544 uscì in luce in Parigi in 8 la traduzione in Franzese delle Lettres di B. Tasso fatte da un gentiluomo Normando della casa et famiglia di San Luca. Il traduttore vi segnala quella diretta a Porzia sulla educazione dei figli. Questa traduzione abbraccia le lettere della impressione Valgrisi. La notizia ci è confermata dal Du Verdier a p. 121 della sua Bibliothèque [La bibliotheque d’Antoine du Verdier, Barthelemy Honorat, Lyon, 1585] che registra ; Tasso Bernardo, Les lettres de M. Bernardo Tasso secrétaire du Prince de Salerne traduit d’italien par un gentilhomme normand de la maison et de la famille de saint Luc, imprimé à Paris, 8°, l’an 1554. Il Du Verdier anzi, vi trasceglie la lettera che Bernardo scrisse alla moglie Porzia de’ Rossi per l’educazione de’ figli e la pubblica integralmente nella versione francese offerta dalla stampa del 1554, a pagine 121-124 ». Ce volume de 1554 est également mentionné dans Natale Addamiano, Delle opere poetiche francesi di Joachim du Bellay e delle sue imitazioni italiane ; studio di letteratura comparata, Genève, Slatkine, 1982, p. 76.
  92. Lettere, II, p. 159 : « La fortuna non contenta delle mie infelicità ». Il s’agit de la célèbre lettre que Bernardo envoya à Americo Sanseverino, lors du décès de Porzia.
  93. Contient à la page 215 une traduction anglaise d’une lettre de Bernardo Tasso, qui correspond à la numéro 234 du fichier Locatelli. Il s’agit de celle qui avait été envoyée à Cesare Pavesi : « Io son certo, gentilissimo il mio signor Cesare, amando voi il mio figliuolo » : « I am certain my most gentle Signor that loving my son as you do ». Elle est suivie par la traduction de la lettre qui se trouve dans Lettere, II, p. 140-142 : « Io gentilissimo messer Lodovico mio, ho tanto tardato a mandarvi questo quarto libro » / « I have delayed, my most gentle Lodovico to send you this fourth book ».
  94. À la page 789 figure la traduction de la célèbre lettre à Porzia de’ Rossi sur l’éducation des enfants. Lettere, I, p. 352-359.
  95. Il s’agit d’une édition considérablement réduite par rapport à la précédente, qui contient, aux pages 219-220, la traduction de la lettre : « Io gentilissimo messer Lodovico mio, ho tanto tardato a mandarvi questo quarto libro » / « I have delayed, my most gentle Lodovico to send you this fourth book ».
  96. « Ich möchte geliebteste Seele mich mit den Liebe ». C’est toujours la lettre à Porzia qui commence par : « Io vorrei, anima mia dolcissima, poter trasformarmi ». Lettere, I, CXCIX, p. 352-359.
  97. « Am Marmor, der den grossen Carl einschliesset », traduction du sonnet : « Già intorno il marmo, che ‘l gran Carlo asconde », (V, 95), ora in Bernardo Tasso, Rime …, vol. II, p. 122. « Herab stieg aus des Himmels holder Bläuer », traduction de : « Ecco scesa dal Ciel lieta e gioconda », (V, 118), ora in Bernardo Tasso, Rime …, vol. II, p. 135.
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Pessac
Livre
EAN html : 9791030008227
ISBN html : 979-10-300-0822-7
ISBN pdf : 979-10-300-0810-4
ISSN : 2743-7639
18 p.
Code CLIL : 3387; 4024 ; 3345
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Comment citer

Fratani, Dominique, « Recensement bibliographique », in : Fratani, Dominique, Virtù et Servitù : Bernardo Tasso ou les tribulations d’un humaniste du XVIe siècle, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, collection S@voirs humanistes 3, 2023, 275-292 [en ligne] https://una-editions.fr/recensement-bibliographique/ [consulté le 07/12/2023].
10.46608/savoirshumanistes3.9791030008227.12
Illustration de couverture • Portrait d'un gentilhomme à la lettre, Moretto da Brescia, Pinacothèque Tosio Martinengo – Brescia.
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