Cet ouvrage est issu d’une thèse de doctorat soutenue en septembre 2019 à l’Université Toulouse Jean Jaurès. Il n’aurait pas pu voir jour sans l’aide et les encouragements de mon entourage et des nombreuses personnes que j’ai eu la chance de rencontrer au cours de ces dernières années.
Je souhaite remercier en premier lieu mes deux directeurs de recherche pour leurs précieux conseils et pour m’avoir aiguillé durant toutes ces années. Tout d’abord Pierre-Yves Milcent qui a accepté d’encadrer et ce travail doctoral et n’a depuis cessé de me prodiguer ses conseils et remarques. Un grand nombre d’éléments de mon inventaire a pu être intégré grâce à sa veille constante. Ensuite Alexis Gorgues, sans qui je me serais éloigné de la voie de l’archéologie il y a maintenant bien longtemps. Nos longues et prolifiques discussions ont eu un poids considérable sur mon travail qui porte bien plus sa patte que ne le suggèrent les références bibliographiques.
J’adresse également mes remerciements aux membres du jury qui ont accepté d’accorder du temps pour évaluer et juger cette thèse de doctorat : Luis Berrocal-Rangel, Sylvie Boulud-Gazo, Mireille David-Elbiali, Pierre Moret et Raquel Vilaça.
Je remercie également l’université Toulouse Jean Jaurès, le laboratoire TRACES et l’équipe de recherche RHAdAMANTE qui ont hébergé ce doctorat et le laboratoire Ausonius pour avoir permis de le réaliser sous une codirection. Ce travail n’aurait également pas pu être mené au bout sans le soutien de la Casa de Velázquez dont je remercie le directeur Michel Bertrand et l’ancien directeur des études Laurent Callegarin. La bourse d’étude puis la place de membre qui m’ont été accordées ont rendu possible un grand nombre de projets.
La publication de cet ouvrage n’a été possible que grâce au concours de plusieurs personnes que je remercie : Sophie Krausz, directrice des publications Ausonius lors du dépôt de ce projet ; l’UMR 5608 TRACES et l’équipe RHAdAMANTE, et leurs directeurs respectifs Nicolas Valdeyron, Philippe Gardes et Pierre-Yves Milcent, qui ont accepté de la financer ; l’équipe de la plateforme UN@ pour son travail d’édition et la diffusion en libre accès de cette publication. Je remercie également François Daniel et Sarah Tournon de la Plateforme Archéovision pour leur aide dans l’archivage de mes données au sein du Convervatoire National des Données 3D. Je remercie enfin chaleureusement Jean Cadilhon pour sa superbe évocation de peseur qui figure en couverture de ce livre.
Bon nombre d’aspects de ce travail seraient restés à l’état d’idées sans le concours de nombreux chercheurs et institutions m’ayant permis d’accéder et d’étudier du matériel dans plusieurs pays d’Europe. Dans le désordre, je remercie donc chaleureusement Virginia Page del Pozo et Juan García Sandoval du Museo de Arte Ibérico El Cigarralejo (Mula) ; Paloma Otero Morán, Paula Grañeda Miñón et Alicia Rodero Riaza du Museo Arqueolólogico Nacional (Madrid) ; Beatriz de Griñó Frontera, Andres F. Silva Cordero et Guillermo S. Kurtz du Museo Arqueolólico Provincial de Badajoz ; Josep Maria Segura Martí du Museo Camil Visedo Moltó (Alcoi) ; Consuelo Roca de Togores Muñoz du Museo Arqueológico Provincial de Alicante ; Anna María Ronda i Femenia du Museo de La Alcudia (Elx) ; Miguel Contreras Martínez du Museo Arqueológico Regional de Madrid (Alcalá de Henares) ; Soledad Pérez Mateo, Luis Ángel Torres et Abraham Ramírez Pernía du Museo Nacional de Arqueología Subacuática ARQUA (Cartagena) ; Mercedes Jover Hernando du Museo de Navarra (Pamplona) ; Jaione Agirre García du Arabako Arkeologia Museoa (Vitoria-Gasteiz) ; Antonio Poveda du Museo Arqueológico Municipal de Elda ; Sonia San José pour l’Oiasso Museoa à Irun ; Catherine Louboutin et Rolande Simon-Millot du Musée des Antiquités Nationales (Saint-Germain-en-Laye) ; Julia Farley du British Museum (London), David Allen du Hampshire Cultural Trust (Winchester) ; Samuel Van Willigen du Musée National Suisse (Zürich). J’adresse un remerciement tout particulier à Jaime Vives-Ferrándiz Sánchez du Museu de Prehistòria de València qui m’a donné accès à un grand nombre d’artefacts lors de deux déplacements. Les échanges que nous avons pu avoir alors et depuis ont grandement contribué à mes recherches.
Mon parcours m’a amené à croiser de nombreux chercheurs qui m’ont apporté leur aide, d’une manière ou d’une autre. Je tiens ici à remercier Céline Choquenet, Matthieu Demierre, Émilie Dubreucq, Benoit Filipiak, María Paz Garcia-Bellido, José Gomez de Soto, Ignasi Grau, Thierry Klag, Samuel Longepierre, Claude Mordant, Rebecca Peake, Fabrice Muller, Mafalda Roscio et Raquel Vilaça pour les informations et données qu’ils ont accepté de me communiquer. Je remercie également Barry Cunliffe pour m’avoir facilité l’accès aux données du site de Danebury et pour des échanges très enrichissants ; Lorenz Rahmstorf, notamment pour m’avoir fourni une première version d’un logiciel d’analyse quantale ; Nicola Ialongo dont l’aide a été précieuse afin de mieux comprendre les rouages de l’analyse quantale me permettant ainsi de créer mon propre support d’analyse métrologique (MetroTB) ; Charles Doyen pour m’avoir invité à un workshop de métrologie pondérale qui m’a permis de découvrir un pan inconnu de la recherche sur le sujet. Enfin, j’adresse mes remerciements à Lysiane Delanaye dont le travail doctoral en cours de réalisation viendra suivre chronologiquement le mien pour la péninsule Ibérique en éclairant les siècles précédant et succédant au changement d’ère. Son étude, qui recoupe partiellement la mienne, lui a permis de récupérer des données, notamment photographiques, qu’elle a eu la gentillesse de me transmettre suite à la perte de certaines des miennes.
Un grand merci à tous mes amis archéologues et historiens sans qui ces années n’auraient pas été les mêmes : Alexandre Bertaud, Maëva Caubraque, Florian Couderc, Pierre Dejarnac, Antoine Dumas, Sandra Eymard, Carole Gomez, Eneko Hiriart, Marianne Lecat, Cécile Moulin, Marilou Nordez, Kévin Parachaud, Pierre Péfau, Aurélien Pierrot, Martin Pilard, Grégory Reimond, Alice Royer, Coline Ruiz-Darasse, Guillaume Saint-Sever et Romain Valette. Des remerciements tout particuliers à Florent Comte qui été mon guide durant toutes ces années dans la jungle que représente l’acquisition et la modélisation 3D ainsi qu’à Stéphanie Adroit dont les précieux conseils m’ont suivi depuis les premiers moments de cette thèse jusqu’à son achèvement.
Je remercie également tous mes amis et ma famille qui m’ont apporté un soutien infaillible bien que l’archéologie ne soit pour eux qu’un concept flou : Benoit, Nathan, Arnaud, Carissa, Marika, Loïc, Lila, Isabelle, Damien, Carine et Arnaud. Je remercie mes parents qui m’ont toujours soutenu, même lorsque mes choix ne paraissaient pas les plus évidents. Enfin, un grand merci à Cécile qui m’a supporté, porté et apporté durant ces dernières années et qui m’a aidé à rester sur le bon chemin.
Ces quelques lignes ne sauraient rendre justice à l’aide et au soutien qui m’ont été apportés tout au long de ce voyage et qui font du livre qui suit un véritable travail collectif.