À propos de :
Marquette, J. B. et Poumarède, J. (1978a) : “Coutumes du Brassenx. Les coutumes du Brassenx. Étude critique des coutumes du Brassenx et description des lieux évoqués dans ces coutumes”, Bulletin de la société de Borda, 371, 329-352.
Marquette, J. B. et Poumarède, J. (1978b) : “Coutumes du Brassenx. Les coutumes du Brassenx. Étude critique des coutumes du Brassenx et description des lieux évoqués dans ces coutumes”, Bulletin de la société de Borda, 372, 451-464.
Marquette, J. B. et Poumarède, J. (1979) : “Les coutumes du Brassenx d’après le manuscrit du château du Castillon à Arengosse. Texte et traduction”, Bulletin de la société de Borda, 373, 33-65.
Marquette, J. M. (1990) : “Un castelnau en terre de franchise au XIIIe siècle : Labouheyre”, Annales du Midi, 102, 85-96.
Marquette, J. B. (2006) : “Les coutumes de Labouheyre (Herbafauere)”, in : Un pays dans sa langue. Le gascon dans l’ensemble d’oc, Actes du colloque de Sabres, sous la présidence de Pierre Bec, 9, 10 octobre 2004, Travaux et colloques scientifiques, 5, Parc naturel régional des Landes de Gascogne, 107-140.
L’intérêt des historiens pour les textes coutumiers n’a, semble-t-il, jamais véritablement faibli. En 1978, lorsque Jean Bernard Marquette décide d’éditer les coutumes du pays de Brassenx, il en maîtrise d’évidence pleinement l’univers documentaire, univers qu’il avait patiemment mis au jour autour de son berceau des Albret. Afin d’assurer une bonne réception de l’histoire du droit, Il s‘adjoint alors Jacques Poumarède qui, de son côté, avait aussi engagé un travail de fond sur les coutumes aturines. Les deux spécialistes associaient ici toutes les compétences scientifiques requises et n’agissaient pas sans références régionales. Depuis 1935, Marcel Gouron avait en effet édité un très précieux recueil qui était venu compléter les grandes entreprises érudites1. Cet inventaire décisif traçait une nouvelle voie, au-delà des éditions régionales du siècle précédent, certes toujours utiles, mais qui avaient excessivement ciblé les corps de villes2. Jean Bernard Marquette et Jacques Poumarède désiraient vivement entrer dans les communautés rurales et leurs territoires oubliés, mais savaient-ils alors que leurs travaux conforteraient une nette phase de regain d‘intérêt régional pour ces textes ? Deux années auparavant, Paul Ourliac et Monique Gilles avaient en effet réalisé une percée sur l’Agenais3. Les historiens du droit rassemblaient alors les textes en espaces par groupes de coutumes, tandis que l’époque était aux recensements et aux projections géographiques en pays et traces d’identités coutumières4. Nos deux historiens rassemblés autour du Brassenx participaient donc à cet effort régional, avant de poursuivre séparément les années qui suivirent. Jacques Poumarède aboutissait sur Saint-Sever en 1987, en ouvrant son questionnement sur le suivi de la modification des coutumes aturines5. Peu de temps après, Paul Ourliac et Monique Gilles livraient, en 1990, un monument d’édition critique remarquable, particulièrement essentiel pour la juste compréhension du piémont pyrénéen6. De son côté, Jean Bernard Marquette n’avait jamais oublié sa Lande et, en 2006, il complétait son approche initiale au nord d’Arjuzanx, en livrant une édition techniquement difficile des coutumes des pays sis autour de Labouheyre. Au cœur de sa réflexion, se trouvait encore et toujours la stratigraphie temporelle coutumière, la même matière qui l’avait initialement animé, comme elle l’avait fait avec Jacques Poumarède autour de Saint-Sever, mais que Jean Bernard Marquette persistait à arpenter avec les outils les plus fins de l’historien des archives, plutôt que ceux de l’anthropologie juridique alors en plein essor. Était-ce contracyclique ? Les constats qu’il parvint à établir sur la Lande à l’aide de tels instruments démontrent aujourd’hui leur grande pertinence.
D’emblée, l’observation des coutumes rurales exercée par Jean Bernard Marquette se place dans une approche éminemment technique que peu d’érudits peuvent alors mettre en œuvre avec autant de justesse. Si la présentation précise du pays précède ses deux articles, conformément aux traditions de l’histoire de l’occupation des sols, la spécificité de sa démarche se lit avant tout dans l’appréhension de ses archives. En pays de Brassenx, il déploie tous ses savoirs de paléographe, concentrés sur un manuscrit dit “de Castillon” qui constitue à lui seul un défi technique sur lequel beaucoup d’érudits avaient buté, avant de renoncer. Espiègle à chaque fois qu’il rencontre un obstacle, Jean Bernard Marquette en livre une reproduction visuelle qui aurait pu être éditée en forme de colophon : la satisfaction d’avoir triomphé du manuscrit, satisfaction qui se passe de commentaires et fait sourire tant l’auteur que ceux qui l’ont vu travailler. Rappel utile, car la graphie – très déliée – est des plus difficiles, se trouve mal conservée et s’exprime dans un registre de langue hybride qui n’aide guère à anticiper les mots. Livrer un tel texte que peu parviennent à lire n’est pourtant pas ici la seule percée scientifique accomplie. Jean Bernard Marquette concentre en effet tous ses efforts autour des formes matérielles. Tandis que sa coutume est d’abord un écrit et non un folklore, ses faits sont donc archivistiques et non ethnographiques7. Pour autant, ils dégagent avec force des constats remarquables et des hypothèses multiples sur la nature propre, très discursive – ou diplomatique – de la matière coutumière. Il récidive en 2006, en s’emparant cette fois des multiples réécritures de la coutume de Labouheyre8. Même méthode : après une présentation de géographie historique de la Lande, il introduit la matérialité de l’archive, cette fois en suivi très précis des modifications au cours des siècles. Il en résulte un tableau de filiation lumineux, mais également une structure de la tradition qu’il publie cette fois en fin d’article et qui laisse le lecteur médusé. Tout mot faisant l’objet d’une variation orthographique, toute modification de formule, tout ajout de contenu y est recensé par lettres et chiffres, à la manière d’un codage complexe que l’auteur, on le sait, avait expérimenté dès sa thèse sur les Albret. Usage maîtrisé d’une informatique avant l’ère numérique, parfaitement manuscrite : l’on se met alors à imaginer l’amplitude de la structure de feuilles et de papiers insérés que le chercheur déployait sur son lieu de travail. Il en résultait ici un véritable corpus parfaitement maitrisé et posé, puisque Jean Bernard Marquette n’engageait sa recherche que sur des socles incontestables que bien peu de chercheurs prennent aujourd’hui le temps le temps de produire. De ce codage précis, devaient surgir, sans faille connue de nous, toutes les informations historiques sur lesquelles l’auteur allait étayer scientifiquement ses découvertes.
La maitrise technique – paléographique, diplomatique, codicologique et archivistique – de Jean Bernard Marquette sut faire parler ses archives landaises. Il en résulte une évolution datable, mais la méthode fait également émerger le caractère discursif de l’archive. Ce dernier ne doit jamais être négligé car, dans l’œil de l’historien, le manuscrit a toujours ses raisons d’être dans son contexte de production et de conservation. Tant en Brassenx qu’à Labouheyre, le chercheur identifie ici un socle landais de quatre articles anciens qui précède leurs réécritures et toutes les adjonctions que les époques suivantes insèrent sans s’en expliquer : la queste, le droit de perprise, l’exemption de lods et ventes, les padouens. Ce marqueur historique identifie donc un groupe coutumier et une identité coutumière landaise. Jean Bernard Marquette demeure cependant prudent avec les mots dont la sémantique régionale peut varier. Ainsi la queste, terme lié à la capitation signalant habituellement la servitude, doit-elle ici être analysée comme une franchise résultant du geste fiscal, et non l’inverse. Ce point de départ du XIIIe siècle sépare ensuite les textes, selon qu’ils modifient l’amplitude des droits en les restreignant, ou qu’ils en ajoutent. Arrivés là, nous ne pouvons que constater une pluie d’apports décisifs à la compréhension des normes des communautés landaises. En voici quelques exemples. En Brassenx, Jacques Poumarède confirme la présence de la procédure romano-canonique, sous sa pleine forme ex officio, qui jouxte les usages accusatoires et les traditions du plaid carolingien. Toutefois, les deux historiens d’en conclure qu’une telle hybridation ne peut être enchâssée facilement dans une stratigraphie temporelle, invalidant ici un fait très discuté de l’historiographie du droit : la succession chronologique des deux procédures, si imbriquées sur le terrain landais qu’elles ne sauraient à elles seules être le signe des changements juridiques de la fin du Moyen Âge. De même constate-t-on l’importance du monde des besins, ou voisins, peut être des caps d’oustaus, mais assurément une catégorie franche de la population juridique, constituée en droit de la communauté, parfois représentée par ses élites ou boni homines, des prud’hommes, sans cesse évoqués comme escortant la validité des choses9. Les voisins s’affranchissaient des rigueurs des procédures par d’antiques usages évalués en sous morlans, sans que l’on sache véritablement si la mesure emportait une unité de compte ou une monnaie réelle, sans doute entre les deux. Et la valeur juridique de ces textes issus des communautés rurales de prendre toute son ampleur dans ses nuances régionales : présence de la tarification de la marque de plague leyau également constatée dans les fors de Béarn10, dons rituels gascons de l’arbalète, vol assimilé partiellement à l’homicide, peine de la course, rachat des peines par amende majeure autorisée aux hommes libres et solvables, etc. En toutes choses les besins discriminaient entre ce qui est commis contre eux, selon que cela fut lisible de la vie sociopolitique rurale, ou caché de leurs organisations et donc aggravant. Là, à la vérité du terrain landais, les grandes catégories dégagées par l’histoire du droit se font moins caricaturales et s’utilisent habilement dans un contexte élargi de pays, et non de ville. En cela, ces coutumes se font l’écho des normes des vallées pastorales, raison qui explique que Jean Bernard Marquette s’attarde sur les pratiques carnalères et la pignoracion, ou saisie de bétail, dans le contexte qu’il connaît des mobilités hivernales de troupeaux pyrénéens vers la Lande11. L’on ne saurait ici illustrer tous les apports remarquables ouverts par la lecture critique et technique des textes. En 1978, comme en 2006, ces données étaient d’évidence en avance sur l’historiographie générale.
Jean Bernard Marquette note, au détour de son écriture, l’importance de l’absence de la mémoire du contraire des choses : la formule selon laquelle il n’y aurait pas memorye deu contrarie qui vient justifier discursivement les modifications successives de l’écriture des coutumes. Or, c’est bien avec les outils humanistes de la codicologie et de l’archivistique qu’il est parvenu à ce constat décisif : la coutume n’est pas l’écriture d’un folklore local, mais une rédaction d’un discours savant sur les sources du droit, parfois très savant quand bien même serait-il rural. Il convient donc de bien distinguer les privilèges statutaires de ces rédactions coutumières, ces dernières constituant parfois des faux au sens diplomatique. Partant, le fait majeur de l’observation réside dans l’évolution des liens sociopolitiques qui unissent les habitants avec leurs encadrements et qui expliquent ces évolutions manuscrites. Les multiples tentatives de restriction des prescriptions acquisitives de la propriété, par exemple les droits de perprise et des padouens, s’en font l’écho, de même que les adjonctions pénales successives. Le terrain politique landais change sensiblement et se durcit entre les XVe et XVIe siècles, de même que les discours coutumiers rédigés et produits, soit pour y faire face en protégeant les besins de telles évolutions, soit pour conforter les pouvoirs qui les veulent voir réduits, parfois les deux à la fois, dans toutes les nuances du rapport de force faisant interagir la communauté et ses encadrements. L’absence de mémoire du contraire alléguée devient alors le signe de son inverse, ce que dénote malicieusement l’historien qui a su faire tradition et filiation de ses documents pour mieux appréhender de tels changements. Si l’ethnographie n‘est pas absente du propos et de la méthode, c’est bien l’histoire sociale, économique ou politique que Jean Bernard Marquette étaye à l’aide des faits scientifiques produits par son édition savante. Le document n’est jamais ni vrai, ni faux : il surgit dans un contexte qui le nécessite et qui en est la cause première. Ce ne sont donc pas les lois de la Lande que l’on observe dans les écritures coutumières, mais leur élaboration complexe et savante.
Dans les quinze années qui suivirent l’édition des coutumes de Labouheyre, l’historiographie des coutumes connut à nouveau un essor remarquable12, car de grands débats agitèrent la communauté scientifique nationale sur la nature même de la coutume. À Flaran en 2001, Robert Jacob avait plaidé pour une nouvelle évaluation de ces textes13, rompant ici les liens trop directs que l’on établit souvent entre l’écrit, la norme et l’anthropologie du droit. Si le manuscrit matérialisait des interactions sociopolitiques dans l’instant d’une production, il était loin de pouvoir seul venir à bout de son histoire. Partant, la chronologie des réécritures devait entrer dans le champ de la réflexion, avant de trouver, en 2015, une première synthèse d’ampleur14. Sur notre terrain régional, les travaux prospérèrent sur les hypothèses lâchées par Jean Bernard Marquette15, travaux qui confirmèrent la densité des interactions politiques qui nouaient les communautés avec leurs encadrements. Les deux éditions des coutumes du Brassenx et de Labouheyre, parce qu’elles étaient très solides techniquement, se sont finalement installées dans le paysage scientifique comme des références éprouvées. Le bilan laisse songeur car, après des décennies de réflexions historiques sur la coutume, la première des conclusions scientifiques était la nécessité qu’il y avait à en établir la matérialité et la filiation avant d’aller plus avant dans le commentaire. Coup double donc de notre historien puisqu’en deux papiers il l’avait établi et fait entrer la Lande dans cette conclusion qui lui était évidente : toujours exploiter les techniques de l’archivistique, afin de dégager des faits utiles à la recherche et parfaitement neutres du point de vue axiologique. Chemin faisant, il avait découvert dès 1978 ce qui semble aujourd’hui novateur : les coutumes s’observent aussi sur les territoires des baronnies et leurs rédactions déploient des chronologies politiques éminentes. Bien que confidentielles par leur issue éditoriale, les études de Jean Bernard Marquette ne sacrifiaient rien aux modes et survivent donc aujourd’hui à toutes les analyses. Il me l’avait répété si souvent, à maintes reprises, alors qu’il encadrait avec bienveillance mes premières recherches, qu’il jugeait inspirées maladroitement par une trop jeune réception des modes anthropologiques d’alors : ne jamais négliger les outils classiques de l’analyse des formes manuscrites. Il avait raison. Tel est le témoignage érudit des coutumes landaises éditées par Jean Bernard Marquette, convaincu qu’il ne fallait rien céder sur le plan technique et que de cela, il n’avait jamais observé la mémoire du contraire.
Bibliographie
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- Arnaudin, F. (2004) : Œuvres complètes, t. VIII, Journal et choses de l’ancienne lande, éd. Guy Latry, Jean-Bernard Marquette, Jean-Yves Boutet.
- Boutoulle, F. (2014) : “Les prud’hommes des campagnes. Fonctions et représentations des élites paysannes en Gascogne occidentale au XIIIe siècle”, in : Coste, L., Minvielle, S. et Mougel, F.-C., dir., Le concept d’élites en Europe de l’Antiquité à nos jours, Pessac.
- Boutoulle, F. (2020) : “Statuts communaux et dialogue avec le roi-duc dans l’Aquitaine anglo-gasconne aux XIIIe-XIVe siècles”, in : Lett, D., dir., Les statuts communaux vus de l’extérieur dans les sociétés méditerranéennes de l’occident (XIIIe-XVe siècle), Paris.
- Carbasse, J.-M. (1979) : “Bibliographie des coutumes méridionales (Catalogue des textes édités)”, in : Recueil des mémoires et des travaux publiés par la société d’histoire du droit et des institutions des anciens pays de droit écrit, Montpellier.
- Desplat, C. (1993) : La guerre oubliée. Guerres paysannes dans les Pyrénées (XIIe-XIXe siècles), Pau.
- Gouron, M. 51935) : Catalogue des chartes de franchise de la France, vol. II, Les chartes de franchises de Guienne et Gascogne, Paris.
- Grinberg, M. (2015) : Écrire les coutumes, Paris, coll. Le nœud gordien.
- Jacob, R. (2001) : “Les coutumiers du XIIIe siècle ont-ils connu la coutume”, in : Mousnier, M. et Poumarède, J., dir., La coutume au village dans l’Europe médiévale et moderne, Toulouse, coll. Flaran | XX, [URL] https://books.openedition.org/pumi/24272
- Krynen, J. (2017) : “Dix ans de travaux français d’histoire du droit intéressant la coutume, bref commentaire en quatre points”, in : Cazals, G. et Garnier, F., dir., Les décisionnaires et la coutume : contribution à la fabrique de la norme, Toulouse.
- Ourliac, P. et Gilles, M. (1976) : Les coutumes de l’Agenais, I, Les coutumes du groupe de Marmande, Montpellier.
- Ourliac, P. et Gilles, M. (1990) : Les fors anciens de Béarn, Paris.
- Maréchal, M. et Poumarède, J. (1987) : La coutume de Saint-Sever (1380-1480), Paris.
- Poumarède, J. (1978) : “Les communautés de vallées dans les Pyrénées françaises du Moyen Âge au XIXe siècle”, Pyrénées, 114 et 115, [URL] https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9643216v et https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9643027z
- Prétou, P. (2012) : “La tarification de l’homicide en Gascogne à la fin du Moyen Âge”, Histoire & mesure, 27-1, [URL] https://journals.openedition.org/histoiremesure/4368
- Tucoo-Chala, P. (1970) : “Cartulaires de la vallée d’Ossau”, Fuentes para la historia del Pireneo, VII, Saragosse.
Notes
- Gouron 1935.
- Abbadie 1902.
- Ourliac & Gilles 1976
- Carbasse 1979, 7-89.
- Maréchal & Poumarède 1987.
- Ourliac & Gilles 1990.
- Arnaudin 2004, t. VIII, 593-596.
- Ce même espace retenait toute son attention depuis des années, voir ici : Marquette 1990, 85-96.
- Voir ici des prolongements de cette recherche dans Boutoulle 2014, 47-63.
- Nous signalons ici notre étude pour compléments : Prétou 2012, 7-28.
- Jacques Poumarède avait, l’année même de l’édition des coutumes du Brassenx, livré son lumineux “Les communautés de vallées dans les Pyrénées françaises du Moyen Âge au XIXe siècle” (Poumarède 1978). Quelques années avant notons l’édition de Tucoo-Chala 1970. Une fixation forte venait ensuite quinze ans plus tard dans Desplat 1993.
- Voir ici Krynen 2017, 19-43.
- Jacob 2001, 103-119.
- Grinberg 2015.
- Voir par exemple, Boutoulle 2020, 165-186.