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Lieu d'édition : Pessac

La configuration glossonymique actuelle de l’occitan en Italie présente une remarquable complexité. Les facteurs qui la déterminent sont à rechercher essentiellement :
Dans l’histoire de la langue d’oc, l’usage d’« occitan » pour désigner l’ensemble des variétés de cette langue est relativement récent et doit son succès au mouvement occitaniste qui a largement diffusé et popularisé cette dénomination au cours du XXe siècle tout en promouvant un système graphique unitaire et englobant qui permet à la fois d’intégrer et de réduire à l’écrit une partie de la variation dialectale orale.
En 2005, le département des Pyrénées-Atlantiques lançait le schéma Iniciativa, ou Iniciative d’aménagement linguistique en faveur de l’occitan pour la période 2005-2017.
La question de l’identification du gascon renvoie à celle de la catégorie linguistique et sociolinguistique à laquelle on l’assigne. En tant que variante de l’occitan, son identité linguistique est sous-entendue en se rapportant classiquement à son statut dialectal répertorié comme tel dans la classification des langues romanes.
Cette première partie de l’ouvrage est introduite par une carte qui est censée reprendre un certain nombre d’indications de base concernant les deux langues abordées, l’occitan et le basque.
Le présent ouvrage, Les noms des variantes de langue minoritaire. Études de cas en France et en Russie, comprend douze chapitres dans lesquels est abordée, de nos jours, la question des noms donnés aux variantes, ou variétés, de langue minoritaire en rapport avec le nom même des langues dont elles sont constitutives, …
Nos remerciements vont, au départ, au Centre d’études franco-russe de Moscou (USR 3060 CNRS, UMIFRE 15 du MEAE) qui a validé et accompagné pour 2019-2020 le projet de recherche dont l’essentiel des résultats apparaît dans le présent ouvrage.
La réélection du président bélarusse Alexandre Loukachenko pour un sixième mandat en août 2020 a provoqué une profonde crise politique dans le pays et une forte mobilisation post-électorale pendant plusieurs mois.
Un mercredi soir, fin septembre, des habitants du quartier de Novaïa Borovaïa, à la périphérie de Minsk, installent deux grandes tables et y déposent des friandises et des tartes cuisinées.
Les violations des droits de l’homme sont devenues monnaie courante au Bélarus depuis la première élection d’Alexandre Loukachenko à la présidence en 1994.
« Les révolutions et la valse des constitutions ». Ce titre que l’on emprunte à Maurice Duverger pourrait résumer à lui seul une grande partie de l’histoire constitutionnelle française.
La crise politique qui a éclaté en Bélarus au lendemain de l’élection présidentielle du 9 août 2020 a surpris par la force et la durée de la mobilisation contestataire. Elle a fait vaciller le régime politique autoritaire du Président Alexandre Loukachenko qui semblait bien consolidé depuis plus d’un quart de siècle. Fragilisé par une contestation populaire sans précédent dans l’histoire du Bélarus indépendant, A. Loukachenko a néanmoins réussi à se maintenir au pouvoir et à s’adapter au contexte géopolitique régional qui n’a cessé d’évoluer au cours des années suivantes.
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