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Lieu d'édition : Pessac
par Michel Reddé
Nec terra, nec Romanus mari bellator erat : pas plus que les Grecs sur terre le Romain n’était un combattant sur mer. Cette affirmation de Tite-Live (7.26.13) a été largement partagée tant par les Anciens que par les Modernes. Aux Hellènes, peuple de marins, il est banal d’opposer les Latins, voués depuis l’origine, pour des raisons presque génétiques, aux travaux de la terre : Ille rudis, ille pastorius populus vereque terrester disait déjà Florus (1.18.4)
par Michel Reddé
Dans une réponse aux critiques suscitées par leur ouvrage, P. Horden et N. Purcell regrettaient d’avoir donné aux archéologues l’impression qu’ils considéraient leur discipline comme “ancillaire” ou, comme on le dirait plus volontiers en français, comme une “science auxiliaire de l’histoire”
par Michel Reddé
Commentant le legs de l’Empereur Auguste qui vient de mourir, Tacite décrit l’état du monde romain et l’œuvre immense accomplie par le prince défunt : mari Oceano aut amnibus longinquis saeptum imperium ; legiones, provincias, classes, cuncta inter se conexa ; “la mer océane ou des fleuves lointains servaient de barrières à l’Empire ; légions, provinces, flottes, tout était lié” (Ann., 1.9.5).
L’originalité du troisième long-métrage de Lucía Puenzo, Wakolda. El médico alemán, sorti en 2013 et adapté de son roman publié en 2011, repose sur son incursion historique et le traitement d’un sujet peu abordé par la littérature et le cinéma
Un vaste corpus a été consacré à la réflexion sur la représentation cinématographique des liens familiaux, parmi lesquels je retiens l’ouvrage collectif consacré à la littérature, au cinéma et à la photographie, Lazos de familia
Parce qu’elles sont les filles de pères célèbres, la naissance en tant que cinéastes d’Albertina Carri et de Lucía Puenzo est systématiquement envisagée à partir de cette identité que certain·es prescripteur·rices du champ culturel considérèrent longtemps comme un augure.
En este libro presentamos el análisis de uno de los conjuntos hallado en la Taberna 7 de la Domus I (Insula I) del yacimiento romano de Bilbilis (Calatayud, Zaragoza, España) adscrito cronológicamente al 35-45 d.C. La importancia de este conjunto, conocido coloquialmente como “el conjunto de las musas” por la presencia de estas figuras en sus paneles medios, radica en el hecho de suponer uno de los de mayor calidad de Hispania.
Podemos concluir que en este libro se han abordado dos grandes cuestiones. La primera responde a la necesidad de crear un manual para el profesional de la Arqueología que sirva como base para la excavación, extracción, documentación y estudio de la pintura mural romana, sea cual sea su contexto de hallazgo.
Varios son los análisis que se han efectuado para este conjunto. Han sido llevados a cabo por la Escuela Taller de Restauración de Aragón II, trabajo dirigido por R. Alloza y M. P. Marzo, y el laboratorio de Biogeoquímica de metales pesados de la Escuela de Ingeniería Minera e Industrial de Almadén (Universidad de Castilla-La Mancha).
A continuación, presentamos el análisis del conjunto pictórico de las musas siguiendo la metodología planteada en el capítulo precedente, siempre adaptándola a las características de estos fragmentos pictóricos (…)
La decoración parietal fue algo consustancial a la arquitectura romana. Por ello, resulta un elemento óptimo para conocer tanto la historia de un edificio como de sus habitantes, (…).