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Jean Bernard Marquette, éditeur de textes

À propos de :
Marquette, J. B. (1967) : Les archives de la Maison d’Albret. – Vol. 1 : [Introduction], Fonds de Podensac, Fonds Calhau ;
– Vol. 2 : Fonds d’Escossan. – Vol. 3 : Fonds des Albret de Langoiran, Bordeaux III, Thèse de IIIe cycle, dir. Charles Higounet.
Marquette, J. B. (1973) : Le trésor des chartes d’Albret. t. I, Les archives de Vayres, 1 : Le fonds de Langoiran, Documents inédits sur l’histoire de France, série in-4°, 1 vol., Paris, Signalé par erreur comme de 1979 dans RI OPAC.
Marquette, J. B. (1977) : “Le pays de Born à la fin du XIIIe siècle”, Bulletin de la Société de Borda, vol. 102, 55-105.
Marquette, J. B. (1990) : “Un castelnau en terre de franchise au XIIIe siècle : Labouheyre”, Annales du Midi, numéro thématique : Cadre de vie et société dans le Midi médiéval : hommage à Charles Higounet, 85-96.
Marquette, J. B. (2006) : “Les coutumes de Labouheyre (Herbafauere)”, Un pays dans sa langue. Le gascon dans l’ensemble d’oc, Actes du colloque de Sabres, sous la présidence de Pierre Bec, 9, 10 octobre 2004, Belin-Beliet, Parc naturel régional des Landes de Gascogne, Travaux et colloques scientifiques 5, 107-140.
Marquette, J. B. (2007) : “Testaments de l’Agenais d’Outre-Garonne (1311-1319)”, Revue de l’Agenais, 119-135 et 781-785. 
Marquette, J. B. (2010) : Les Albret. L’ascension d’un lignage gascon (XIe siècle -1360), Ausonius Scripta Mediœvalia 18, Bordeaux.
Marquette, J. B. (2013) : “Aux origines de Casteljaloux”, Revue de l’Agenais, 297-328.
Marquette, J. B. (2018) : “Pour l’histoire de Meilhan : quelques matériaux”, Revue de l’Agenais, 27-50. 
Marquette, J. B. (2019) : “1306 : Du château de Meilhan à celui de Villandraut”, Revue de l’Agenais, 45-67.
Marquette, J. B. (2021) : “Le terrier de la seigneurie de Labrit de 1582”, in : Laborie Y. et J. B. Marquette dir. Labrit, castrum de la Grande Lande. Aux origines de la famille d’Albret, Aquitania Suppl. 42, Bordeaux, 373-408.
Marquette, J. B. et Poumarède, J. (1978) : “Les coutumes du Brassenx”, Bulletin de la Société de Borda, vol. 103, 329-352, 451-464.

Les travaux de ce type dans l’abondante œuvre de J. B. Marquette ne correspondent en apparence qu’à un petit nombre des titres répertoriés dans sa bibliographie publiée dans les Annales du Midi en 2020 et se présentent comme des jalons isolés : – d’abord en 1973 les 799 pages du Trésor des chartes d’Albret, t. I, Les archives de Vayres, 1: Le fonds de Langoiran, qui correspond à l’édition de sa thèse de IIIe cycle soutenue en 1967 sous la direction de Charles Higounet ; – puis viennent les éditions traduites et commentées de textes coutumiers : en 1978, les coutumes de Brassenx en collaboration avec Jacques Poumarède, longtemps après, celles de Labouheyre en 2006, et enfin, à titre posthume le terrier d’Albret en 2021. Toutefois, l’importance de la pagination et la cohérence d’ensemble de ces seules trois contributions en ferait déjà tout sauf un aspect secondaire de son œuvre d’historien. 

D’autre part, J. B. Marquette a publié un grand nombre d’articles s’appuyant sur une édition de textes. Si on prend l’exemple de ses quatre publications dans la Revue de l’Agenaisentre 2007 et 2019, trois sont vraiment centrées sur l’étude approfondie d’un ou de quelques textes (deux testaments, un dossier de quatre documents sur la coutume de Meilhan, deux originaux de 1306 permettant de relier la donation de Meilhan aux Albret à l’octroi de la concession de la justice de Villandraud aux Got avec la reproduction, l’édition et la traduction de la donation royale), la quatrième, celle sur les origines de Casteljaloux, repose en partie sur l’étude d’une donation de l’église Saint-Raphaël à l’abbaye de Tourtoirac dans le diocèse de Périgueux. Il avait un respect scrupuleux de la littéralité.

L’édition des Archives de Vayres commence par une forte introduction ; elle esquisse une description d’ensemble du fonds d’Albret sur la base de l’Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790, de Basses-Pyrénées, série E, publié en 1867 par Paul Raymond, en prenant aussi en considération les copies des fonds Doat (BnF) et Bouillon (AN). Au fil des mariages et des héritages, se sont agrégées aux archives de la branche aînée celles principalement de quatre branches latérales, dont celle de Vayres ; J. B. Marquette donne ensuite le tableau détaillé de cette dernière qui constitue elle-même un assemblage complexe agglomérant les titres des Podensac, Calhau, Escossan au fonds des Albret de Langoiran. L’analyse de cette collection de poupées russes est indissociable de la thèse d’État de J. B. Marquette sur le lignage d’Albret, soutenue en 1972. L’auteur a judicieusement eu soin de décrire les cinq inventaires du fonds d’Albret composés entre 1460 et la fin du XVIe siècle et de suivre “le destin du fonds de Langoiran” au-delà de cette période. Il réservé un sort particulier au rôle de procès E 152, en y débusquant les anomalies chronologiques, il s’agit là d’un remarquable exemple de détection et de rectification des erreurs liées au processus de copie. Ce très vaste ensemble comporte des actes de types très variés et éclaire tant le lignage que son emprise seigneuriale.

Il envisageait de continuer. Le catalogue du SUDOC porte pour sa thèse de IIIe cycle la mention suivante : 

Note de l’auteur sur la page de titre : “Ce mémoire constitue le premier tome de l’édition intégrale des archives de la maison d’Albret, en cours de publication. Les documents du fonds de Langoiran formant d’autre part, une partie des pièces justificatives de notre ouvrage sur la Maison d’Albret, l’introduction que nous présentons n’aborde donc que l’aspect diplomatique des documents étudiés”.

À l’aube de la trentaine, J. B. Marquette envisageait de s’engager dans une édition de textes monumentale et, au bout de quelques années, il a pu déjà la publier en partie dans une collection prestigieuse, mais l’entreprise a tourné court, dans un contexte alors peu favorable. De ce fait, l’index habituel dans la collection des Documents inédits sur l’histoire de France, manque hélas à ce beau volume. Dans la même collection, l’édition in extenso des Rôles gascons était au point mort depuis 1962. Elle avait été par séquences l’œuvre presque solitaire de Francisque-Michel, de Charles Bémont et enfin d’Yves Renouard († 1965) ; dans le recueil des Historiens de la France, les efforts conjugués de Michel François et de Charles-Edmond Perrin avaient permis la parution des Pouillés de provinces d’Auch, Narbonne et Toulouse en 1972, tandis que celle des Pouillés de la Province de Bordeaux épuisa plusieurs personnes successivement avant d’aboutir au bout de quarante ans1. Dans le domaine des Lettres et Sciences humaines, l’habitude n’était pas alors de réunir des équipes susceptibles de réaliser un programme d’envergure dans un délai relativement court. Les contraintes financières ont aussi leur poids et, au moins pour les grandes séries documentaires homogènes, le format d’édition de simples analyses pouvait avoir la préférence, comme dans le cas des registres du Trésor des Chartes pour la Gascogne avec Charles Samaran et le Languedoc avec Yves Dossat. Les réalisations de grande ampleur poursuivies dans la durée s’avèrent finalement assez rares, une des plus remarquables étant celle des registres pontificaux portée par l’École française de Rome. L’édition sous forme d’analyses d’un fonds aussi standardisé que celui des Lettres communes d’Urbain V, a pris trente-cinq ans (1954-1989) ; la réussite tient dans ce cas à une succession de petites équipes, à partir des années 1960, autour d’un noyau très durable avec Michel Hayez rejoint bientôt par Anne-Marie Hayez. Le fonds d’Albret n’a pas bénéficié de cette heureuse conjonction mais J. B. Marquette a vite eu l’occasion d’exprimer ses qualités d’animateur scientifique dans un autre cadre, celui de l’Atlas historique des villes de France. 

J. B. Marquette, poursuit parallèlement ses recherches personnelles dont il a déjà infléchi le cours. Lorsque paraît la coutume de Brassenx en 1978 dans le Bulletin de la Société de Borda, il a déjà publié en 1977 un article de 50 pages sur le pays de Born ; sans abandonner son intérêt pour le lignage d’Albret, J. B. Marquette s’oriente alors de plus en plus vers l’histoire des sociétés rurales landaises et de l’occupation du sol. Chaque publication s’accompagne de précisions historiques, de cartes et de photographies livrant au lecteur le moins averti de l’histoire du Sud-Ouest tous les repères nécessaires. Ils se situent toujours au plus près des sources. Un article intitulé sur le castelnau de Labouheyre a précédé de seize ans l’édition des coutumes de ce lieu : ici l’exercice techniquement délicat de publier un texte transmis d’aussi pauvre façon est l’aboutissement d’une réflexion et d’une longue expérience.

Le Catalogue des chartes de franchises de la France. II, Les Chartes de franchises de Guienne et Gascogne publié par Marcel Gouron en 1935 mentionnait déjà les coutumes de Brassenx et de Labouheyre ; Félix Arnaudin (1844-1921) les avaient transcrites auparavant, mais il s’agissait de sources peu engageantes de par leur tradition manuscrite très indirecte. Enfin, les coutumes de Brassenx et le terrier d’Albret présentent la difficulté presque rédhibitoire d’être écrites dans des cursives modernes que seul un paléographe très expérimenté peut déchiffrer correctement.

Les deux baronnies voisines de Brassenx et de Labouheyre sont échues à la branche aînée des Albret en 13382, et les documents mis en œuvre par J. B. Marquette remontent à leur prise de possession par un seigneur d’Albret, respectivement en 1359 et 1427, les actes analogues antérieurs ayant disparu. Les franchises concédées par Henri III en 1241 constituent le noyau initial de ces textes. Les coutumes plus développées confirmées par les Albret sont censées l’avoir été déjà par un roi-duc, mais les lettres sans date d’un “roi Édouard” présentées à Arnaud Amanieu en 1359 sont un faux tandis que celles confirmées par Charles II d’Albret comme émanant aussi d’un “roi Édouard” et sans date seraient authentiques, mais on ne trouve trace ni des unes ni des autres dans les rôles gascons. Ces étapes de 1359 et de 1427 ne nous sont en fait pas connues directement mais au filtre de copies notariées ou informes s’échelonnant de la fin du XVIe siècle à 1757 ; elles proviennent les unes des archives du château de Castillon (Arengosse), les autres du fonds communal d’Escource, de collections privées (fonds Castagnède) ou des Archives de France (fonds Bouillon). J. B. Marquette a su dans sa collecte documentaire mettre à profit et l’érudition des premiers historiens de la Grande Lande, toujours scrupuleusement mis en valeur, et le succès de son ancrage personnel dans ce secteur.

Pour Labouheyre, la tradition qu’établit J. B. Marquette s’avère à la fois particulièrement indirecte et très touffue ; elle découle de décennies de démarches des hommes de Labouheyre (1536-1583) pour obtenir de Jeanne d’Albret puis de son fils la confirmation de leurs coutumes de 1427 : ils les ont fait vidimer en 1538 et doivent attendre 1583 pour leur enregistrement au siège du sénéchal à Tartas, d’où procède un nouveau vidimus en 1608. Ces textes perdus sont transmis par deux voies : 1. ― une copie notariée de 1608 qui a fait l’objet de diverses autres (directes ou indirectes) entre 1643 et 1670 ; 2. ― d’autres procédant d’une collation opérée en 1675. Les copistes successifs, certains totalement étrangers aux usages ruraux landais, ont estropié le gascon médiéval au point de rendre quelques passages totalement incompréhensibles et de décourager la sagacité de Félix Arnaudin puis celle de J. B. Marquette, ou de donner des lectures absurdes comme celle transformant “advis” en “abus” (une des versions de l’article 3 des coutumes de Labouheyre).

L’auteur s’est basé sur le manuscrit des archives communales d’Escource et sa transcription annotée par Félix Arnaudin, publiée par Élie Menaut en 1926, tout en tenant compte des six autres copies, d’où un hérissement de variantes très souvent malheureuses. J. B. Marquette s’est efforcé d’alléger un apparat critique bien plus long que le texte en rétablissant la forme correcte de certains mots entre parenthèses, mais concurremment sa fidélité aux manuscrits l’amène à indiquer de la même façon le développement d’abréviations fréquentes ou les restitutions de ses devanciers. Du coup, le texte ressort mal d’un double registre de notes (explications de Félix Arnaudin et variantes). Ce déploiement critique exceptionnel pour un texte de la fin du Moyen Âge s’avérait ici nécessaire mais a rendu impossible la mise en regard du texte original et de sa traduction. On n’en apprécie que plus la qualité de cette dernière et l’exposé scrupuleux des points incertains dans le commentaire venant à sa suite.

Le terrier d’Albret offrait moins de difficulté car sa tradition est directe. Sa présentation a toutefois compliqué sa lecture car ce document, écrit sur un cadre préparé à l’avance en français, pour enregistrer rapidement les déclarations verbales de chacun des possesseurs, ne laissait parfois pas assez de place, d’où l’utilisation des marges par la cursive filiforme d’un notaire peinant à transcrire en français ce qu’on lui expose en gascon ou altérant les mots vernaculaires qu’il a renoncé à traduire. L’édition a été heureusement allégée en résumant les éléments répétitifs et ne retenant dans la description des divers fonds déclarés que les points significatifs : nature, superficie, lieu-dit (indiqué en capitales), confronts. Les termes gascons sont en italique. Le texte ressort ainsi sans complication de façon très lisible.

Alors que le terrier d’Albret montre une société rurale soumise à la seigneurie foncière et banale du seigneur d’Albret, les coutumes de Labouheyre et de Brassenx, font découvrir une paysannerie s’acquittant seulement d’une queste (= taille) collective fixe. Dans ces deux cas, J. B. Marquette s’est attaché à déterminer les états successifs de ces textes, de la concession des franchises de 1241 concernant les seules bourgades d’Arjuzanx et de Labouheyre, aux compilations coutumières menées par des jurats apparus sans doute dans la courant du XIIIe siècle et valables pour toute la baronnie. L’édition des coutumes de Labouheyre dégage particulièrement bien les addenda successifs ; elles agrègent au texte initial des règlements de police municipale, des articles de droit familial et pénal, le tout étendu à l’ensemble de la “baronnie”. La participation de Jacques Poumarède à l’édition concernant le Brassenx livre des analyses très fines des procédures mettant en lumière une influence nette du droit savant. 

Mais le plus saillant dans ces éditions faisant sortir des textes coutumiers d’un maniement difficile du cercle restreint de l’érudition régionale est de mettre au premier plan un usage très original : la perprise, attestée dès les franchises de 1241 :

“Le bourgeois ou voisin, manant ou habitant susdit, de sa seule autorité et sans demande au seigneur ni à autre personne, peut prendre et perprendre des terres, landes, bois, pierres, eaux, rivières, vacants et padouens dans la seigneurie d’Herbefaveyre (= Labouheyre), autant qu’il en aura besoin, afin d’accroître son héritage ou en faire de nouveaux, bâtir des maisons, habitations, meules, moulins, emplacements de moulins, viviers, garennes, prairies, foins, herbes et autres services à condition de ne pas porter préjudice de manière manifeste et évidente au bien et fait de la chose publique et de ne pas clore le bien d’autrui, sans payer fief ni rente au seigneur sinon la queste accoutumée payée par toute la communauté de ladite baronnie et vendre et acheter sans payer des droite de vente ni d’arrière vente” (Labouheyre, article 2).

Un addendum postérieur à 1340 précise qu’en cas de contestation, le représentant du seigneur a connaissance du litige avec les jurats et que l’auteur de la perprise, s’il peut conserver le bien, doit alors payer une taxe au seigneur. Un ajout à l’article 3 (d’une rédaction peu claire) accentue le contrôle seigneurial sur le processus.

La perprise telle qu’on l’aperçoit au milieu du XIIIe siècle porte non tant sur des terres propres à des cultures (sans doute n’y en avait-il déjà plus guère de disponibles) que sur l’aménagement de prairies closes ou la mise en valeur des eaux, sans contrainte collective ni seigneuriale, J. B. Marquette emploie l’heureuse formule “d’individualisme agraire”. Les limites mises ensuite, au moins à Labouheyre, ne tiennent pas à la pression démographique mais à l’affermissement de l’emprise seigneuriale. 

J. B. Marquette a été un homme des textes de façon continue depuis le début de son activité d’historien. Particulièrement familier du gascon médiéval, sachant naviguer dans les fonds d’archives complexes, habile à débrouiller les traditions manuscrites, il ne reculait ni devant la masse des documents à transcrire ni devant les cursives les plus décourageantes ; il a transmis à son tour ce savoir à de nombreux chercheurs. Pour autant, comme son maître Charles-Marie Higounet, il ne s’est jamais enfermé dans les sources écrites, en ayant toujours soin de les confronter entre autres aux ressources archéologiques dans ses propres travaux, mais surtout il a déployé des efforts constants et couronnés de succès pour développer l’archéologie médiévale à Bordeaux. Et comme toute œuvre appelle une suite, il reste à espérer que le fonds d’Albret et, d’abord peut-être ses inventaires, suscitent un nouvel intérêt dans un format d’édition approprié.

Bibliographie

  • Dossat, Y. (1983) : Le Languedoc et le Rouergue dans le Trésor des Chartes, Documents inédits sur l’histoire de France. Série in 8, Paris.
  • Font-Réaulx, J. de, Legras, A.-M., Le Maresquier-Kesteloot., Y.-H., Lemaitre, J.-L. et Billy, P.-H. (2020) : “Pouillés de la province de Bordeaux”, in : François, M., Perrin, C.-E., Favier, J. et Verger, J., dir., Recueil des historiens de la France, Paris, 2 vol.
  • Perrin, C.-E., de Font-Réaulx, J. et de Lingua de Saint-Blanquat, O. (1972) : “Pouillés des Provinces d’Auch, de Narbonne et de Toulouse”, in : François, M., Perrin, C.-E., Favier, J. et Verger, J., dir., Recueil des historiens de la France, Paris, 2 vol.
  • Samaran, C. (1966) : La Gascogne dans le Trésor des Chartes, Documents inédits sur l’histoire de France. Série in 8, Paris.
  • Laurent, M.-H., Hayez, M., Hayez, A.-M., Mathieu, J. et Yvan, M.-F. (1954-1958 à 1986) : Urbain V : 1362 -1370. Lettres communes. Analysées d’après les registres dits d’Avignon et du Vatican, Bibliothèque des Écoles Françaises d’Athènes et de Rome 3, Paris, 12 vol.

Notes


  1. Paru finalement en 2020, voir préface de Jacques Verger, vol. 1, VII-X.

  2. D’abord à Mathe d’Albret en 1338, et bientôt après à son frère aîné et héritier Bernard Ez, Marquette 2010, 260.
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Pessac
Chapitre de livre
EAN html : 9782356136541
ISBN html : 978-2-35613-654-1
ISBN pdf : 978-2-35613-655-8
Volume : 4
ISSN : 2827-1912
Posté le 15/11/2025
6 p.
Code CLIL : 3385
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Licence ouverte Etalab

Comment citer

Lainé, Françoise, Simon, Pierre, “Jean Bernard Marquette, éditeur de textes », in : Boutoulle, F., éd., Jean Bernard Marquette, historien de la Haute Lande, Pessac, Ausonius éditions, collection B@sic 4, vol. 3, 2025, [en ligne] https://una-editions.fr/marquette-editeur-de-textes [consulté le 15/11/2025].
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