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Collection : S@voirs humanistes_1

Les articles réunis dans ce volume sont le produit d’un séminaire et de journées d’étude organisés durant deux ans à l’Université Toulouse Jean Jaurès . Inscrit dans l’axe « France-Italie XVIe-XVIIe siècle » de l’équipe d’accueil Il Laboratorio, cet ensemble de travaux s’est spécifiquement consacré aux « modalités littéraires de la circulation des textes de savoir » durant cette période entre les deux pays.
Les articles réunis dans ce volume sont le produit d’un séminaire et de journées d’étude organisés durant deux ans à l’Université Toulouse Jean Jaurès . Inscrit dans l’axe « France-Italie XVIe-XVIIe siècle » de l’équipe d’accueil Il Laboratorio, cet ensemble de travaux s’est spécifiquement consacré aux « modalités littéraires de la circulation des textes de savoir » durant cette période entre les deux pays.
Les articles réunis dans ce volume sont le produit d’un séminaire et de journées d’étude organisés durant deux ans à l’Université Toulouse Jean Jaurès . Inscrit dans l’axe « France-Italie XVIe-XVIIe siècle » de l’équipe d’accueil Il Laboratorio, cet ensemble de travaux s’est spécifiquement consacré aux « modalités littéraires de la circulation des textes de savoir » durant cette période entre les deux pays.
À lire son titre, le Medicinale bellum inter Galenum et Aristotelem gestum (Guerre médicale entre Galien et Aristote) du médecin Symphorien Champier (1470-1539) se présente comme un face-à-face entre deux autorités grecques. Terminé et peut-être publié en 1516, ce texte, paru à Lyon chez Simon Vincent, prolonge en effet un exercice traditionnel des universités médiévales, qui consiste à examiner les différences opposant la physiologie d’Aristote et la médecine de Galien, sur le modèle, notamment, du Conciliator de Pietro d’Abano (1247-1315), rédigé au tout début du XIVe siècle.
Gabriel Chappuys est de loin le traducteur le plus prolifique de la Renaissance française, avec plus de soixante-dix traductions en à peine quarante années d’activité, à quoi s’ajoutent une douzaine d’œuvres de compilation. Cependant, cette œuvre colossale, qui conduit Chappuys, pour ses années les plus fécondes, à publier jusqu’à huit ou neuf traductions la même année, est systématiquement décriée dès le XVIIe siècle : de l’avis général, cette production impressionnante est également hâtive, mal préparée, souvent peu élégante, parfois franchement fautive.
Les articles réunis dans ce volume sont le produit d’un séminaire et de journées d’étude organisés durant deux ans à l’Université Toulouse Jean Jaurès . Inscrit dans l’axe « France-Italie XVIe-XVIIe siècle » de l’équipe d’accueil Il Laboratorio, cet ensemble de travaux s’est spécifiquement consacré aux « modalités littéraires de la circulation des textes de savoir » durant cette période entre les deux pays.
Les articles réunis dans ce volume sont le produit d’un séminaire et de journées d’étude organisés durant deux ans à l’Université Toulouse Jean Jaurès . Inscrit dans l’axe « France-Italie XVIe-XVIIe siècle » de l’équipe d’accueil Il Laboratorio, cet ensemble de travaux s’est spécifiquement consacré aux « modalités littéraires de la circulation des textes de savoir » durant cette période entre les deux pays.
L’apophtegme est une forme brève, dit notable qui oscille entre gravité et facétie, fort prisée à la Renaissance. C’est Plutarque qui fournit les premiers recueils d’apophtegmes ; c’est chez cet auteur, auctoritas morale, que les humanistes puisent principalement les apophtegmes qu’ils recueillent, voire qu’ils forgent.
Le mouvement de circulation des textes de savoir de l’Italie vers la France est également soumis à l’adaptation de formes particulières que les translateurs vont privilégier. Que les articles de cette partie abordent les ouvrages de vulgarisation « scientifique ou technique » (Violaine Giacomotto), les recueils d’apophtegmes (Bérengère Basset) ou de nouvelles (Enrica Zanin), tous mettent en lumière le souci commun de la pédagogie dans ces traductions du XVIe ou du XVIIe siècle. Les trois articles suivent une progre
Dans la continuité d’un séminaire examinant les diverses rencontres des Lettres et des textes de savoirs1, la présente étude envisage la façon dont la figure du monarque mélancolique met en évidence les apories de la monarchie absolue du XVIIe siècle français, au sein de tragédies qui empruntent des idées aux traités médicaux et politiques. De fait, à l’Âge Classique, le pouvoir absolutiste se révèle machiavélien dans sa pratique, dissociant efficacité politique et morale ; simultanément, il est très soucieux de mettre en avant une image valorisante, celle d’une gloire qu’exprime l’image du roi-soleil. C’est la dualité de ce pouvoir qu’éclaire le motif théâtral
La Pastorale du berger Célidor et de Florimonde sa bergère appartient au vaste corpus communément nommé « Théâtre de Béziers » ou « Théâtre de Caritats », parce que les pièces étaient représentées au cours des fêtes des Caritats données à Béziers pendant l’Ascension, et plus précisément le jeudi de l’Ascension.
C’est sur la pointe des pieds que nous aborderons des rivages scientifiques passablement étrangers, en nous penchant ici sur le phénomène physique et astronomique des taches solaires, que nous avons étonnement croisé dans un traité de poétique de Guillaume Colletet. Les taches solaires désignent à l’heure actuelle des zones sombres apparaissant par intermittence à la surface du Soleil, rendues visibles par une température inférieure à celle des régions voisines.
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