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Lieu d'édition : Pessac

Le temps des fêtes est aussi celui des calendriers qu’on vient vendre à notre porte. Il y a des chances pour que la Poste ou les Pompiers vous en proposent qui seront ornés de chiens, ou mieux, de chiots. Peut-être opterez-vous pour des chatons, encore plus populaires.
Victoire ! Sans doute ce cri, poussé en grec, a dû retentir longtemps à Athènes un jour de 425, à l’annonce du succès que les Athéniens venaient de remporter contre leurs ennemis lacédémoniens à Pylos.
Les cadeaux que nous avons coutume d’offrir et d’échanger lors de circonstances dont certaines sont ponctuelles et d’autres régulières, constituent une pratique si familière que nous n’avons que rarement l’occasion de songer à leur raison d’être. Nous avons pourtant bien conscience que cette pratique est liée au passage du temps, qu’il soit personnel : succès, mariage, invitations, anniversaires, ou collectif : les présents de fin d’année.
Dans les sociétés gréco-romaines, la naissance des enfants est célébrée par des rites se déroulant quelques jours après l’accouchement, un délai s’expliquant selon Aristote par la forte mortalité infantile.
« Prononçons des paroles de bon augure ; voici que vient vers l’autel le dieu du jour anniversaire ; vous tous qui êtes là, hommes et femmes, que votre langue soit propice. Qu’on brûle un religieux encens dans le foyer, qu’on brûle les parfums que l’Arabe délicat envoie de sa terre opulente.
L’Antiquité est une fête est une série de textes proposés par des spécialistes des sciences de l’Antiquité pour mettre en valeur le temps et les pratiques de la fête dans les mondes anciens. Fêtes privées ou fêtes publiques, comment les Anciens se divertissaient-ils ? Selon quelle temporalité, avec qui, par quelles consommations ? Ce recueil est une invitation a (re)découvrir les multiples facettes des plaisirs collectifs antiques : jeux du cirque, banquets grecs, jeux d’enfants, préparatifs du repas, le vin, la musique, les cadeaux…
Les modalités d’usage d’instruments de pesée et le maniement de concepts de numération et de métrologie par les sociétés protohistoriques ont fait l’objet de peu d’études systématiques en archéologie. Cet ouvrage, issu d’une thèse doctorale, offre une analyse diachronique des poids et des éléments de balance découverts en Europe occidentale et datés entre les XIVe et IIIe s. av. n.è. L’un des objectifs de ce travail est de requestionner la place occupée par la pratique de la pesée dans les sociétés protohistoriques sur une large échelle, dans la diachronie, au moyen d’un protocole constant et en intégrant les données contextuelles apportées par l’archéologie.
Les modalités d’usage d’instruments de pesée et le maniement de concepts de numération et de métrologie par les sociétés protohistoriques ont fait l’objet de peu d’études systématiques en archéologie. Cet ouvrage, issu d’une thèse doctorale, offre une analyse diachronique des poids et des éléments de balance découverts en Europe occidentale et datés entre les XIVe et IIIe s. av. n.è. L’un des objectifs de ce travail est de requestionner la place occupée par la pratique de la pesée dans les sociétés protohistoriques sur une large échelle, dans la diachronie, au moyen d’un protocole constant et en intégrant les données contextuelles apportées par l’archéologie.
Au sens commun, l’atlas est un recueil qui combine productions cartographiques et commentaires textuels dans une perspective universelle. C’est ici sur la longue durée, des productions humanistes aux humanités digitales, et dans une acception polysémique du terme que les auteurs ont interrogé les ambitions et les pratiques de ce mode singulier de représentation, à travers le prisme de la ville.
Au sens commun, l’atlas est un recueil qui combine productions cartographiques et commentaires textuels dans une perspective universelle. C’est ici sur la longue durée, des productions humanistes aux humanités digitales, et dans une acception polysémique du terme que les auteurs ont interrogé les ambitions et les pratiques de ce mode singulier de représentation, à travers le prisme de la ville.
Au sens commun, l’atlas est un recueil qui combine productions cartographiques et commentaires textuels dans une perspective universelle. C’est ici sur la longue durée, des productions humanistes aux humanités digitales, et dans une acception polysémique du terme que les auteurs ont interrogé les ambitions et les pratiques de ce mode singulier de représentation, à travers le prisme de la ville.
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