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Type de document : Livre

Accès au livre Exploitation et commercialisation de la pourpre dans l'Empire romain
Dans les chapitres précédents, nous avons pu constater qu’en cas de pénurie, les coquillages pouvaient être conservés dans des viviers pendant une durée approximative de 50 jours.
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La pourpre d’origine marine a engendré la curiosité des scientifiques dès le XVIIe siècle, mais c’est véritablement à partir du XIXe siècle que le mystère de la pourpre des anciens a commencé à intriguer les chercheurs et les érudits. Grâce aux recherches de De Lacaze-Duthiers et de Dedekind, les coquillages contenant le fameux suc tinctorial ont fait l’objet d’études poussées qui ont été largement diffusées.
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Après avoir décrit les trois coquillages à pourpre exploités dans l’Antiquité, nous allons maintenant détailler les principales techniques de pêche. Nous essaierons ensuite de comprendre ce qu’il advenait de ces mollusques qui étaient débarqués par milliers sur les littoraux et nous évoquerons, à cette occasion, les différentes techniques destinées à maintenir les coquillages vivants.
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S’il est une teinture qui mérite une étude historique approfondie, c’est bien la pourpre d’origine animale, et c’est elle qui sera l’objet quasi exclusif de ce présent travail, extraite des coquillages nommés Hexaplex trunculus, Bolinus brandaris et Stramonita haemastoma.
Quelles techniques de fabrication se cachent derrière la plus précieuse des teintures marines ? Pour quelles raisons la teinture pourpre a-t-elle suscité autant d’engouement au sein de la société romaine, jusqu’à devenir un symbole du pouvoir impérial ? Que dire des nombreux artisans et commerçants spécialisés recensés dans l’empire romain ? Voilà autant d’interrogations auxquelles cet ouvrage tente de répondre.
La trajectoire de la géographie littéraire accompagne celle des multiples branches et courants de la géographie humaine. Longtemps marginal, le recours à la littérature est désormais une pratique courante en géographie.
Pourquoi les géographes devraient-ils s’intéresser à la littérature de fiction ? Ne devraient-ils pas plutôt se contenter d’étudier la multitude des lieux réels que le monde met à leur disposition ?
Je tiens à remercier chaleureusement Vincent Berdoulay et Jean-Baptiste Maudet pour avoir accueilli ce livre dans la collection « Sp@tialités » qu’ils dirigent et pour les nombreux commentaires judicieux apportés à la première version du manuscrit.
Albertina Carri et Lucía Puenzo font partie de la même génération, celle de l’après-dictature qui est aussi celle du Nouveau Cinéma Argentin.
De Pénélope attendant Ulysse durant vingt années, à Marthe, femme de soldat qui succombe à l’infidélité dans le Diable au Corps de Raymond Radiguet, les femmes confrontées à l’absence de leur conjoint constituent une figure littéraire récurrente. Entre l’épouse vertueuse érigée en modèle et la femme adultère source de scandale, il existe bien des nuances qui incitent à dépasser cette approche réductrice.
Comme l’a bien souligné Sophie Cassagnes-Brouquet dans l’introduction de son livre Chevaleresses. Une chevalerie au féminin, les mots « chevaleresse » ou « chevalière » « existent au Moyen Âge, en latin comme dans les langues d’oïl et d’oc, non seulement pour désigner la femme d’un chevalier…
« Nous sommes à plaindre d’être venus au monde pendant ce choc […] quand nous serons ensemble, prépare-toi à être adorée continuellement » écrit Joseph Pierre de Gouvello à Émilie Picot de Dampierre en février 1793.
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