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Type de document : Livre

Je voudrais dans cette analyse reprendre un très vieux problème qui connaît depuis quelques années un regain d’actualité, à savoir les rapports d’Aristote et d’Alexandre.
Malgré la clarté de son style et la limpidité de sa narration linéaire, la Cyropédie est une œuvre énigmatique. La principale difficulté vient de l’incertitude sur les intentions de Xénophon.
Cléomène Ier, on l’a souvent noté, est le premier personnage véritablement historique de Sparte, non pas certes le premier dont l’existence soit attestée de façon sûre (tel est déjà le cas, par exemple, du roi Théopompe, ou, au VIe siècle, de Chilon, d’Ariston et d’Anaxandridas), mais le premier dont l’activité nous soit relativement bien connue, grâce à Hérodote principalement.
Il est des jours dont nous gardons un souvenir âpre et ému, tel ce jour de juillet 2011, il y a un peu plus de dix ans maintenant, quand Pierre nous quittait, dans la force de l’âge et la plénitude de ses moyens intellectuels malgré le mal qui devait finalement l’emporter. Nous ne pouvions pas alors ne pas rendre hommage à celui qui avait été notre maître et notre ami.
Tirant parti de l’analyse des positions de Carl Ritter et contemporaine de l’évolutionnisme, la géographie humaine accorde, sous sa forme classique, une large place à la longue durée et à la manière dont les genres de vie permettent aux hommes de tirer leur subsistance du milieu.
L’imagination et la construction mentale sont des processus attachés à l’élaboration du discours scientifique et à la recherche en sciences archéologiques. Les groupes humains passés ont bâti des pensées symboliques, modelé et exploité leurs environnements, et ces concepts leur ont permis de concevoir de nouveaux objets à partir de matériaux bruts. Plus encore, c’est par elles qu’ils ont fondé leurs discours parvenus aujourd’hui sous forme écrite et matérielle.
L’Antiquité est une fête est une série de textes proposés par des spécialistes des sciences de l’Antiquité pour mettre en valeur le temps et les pratiques de la fête dans les mondes anciens. Fêtes privées ou fêtes publiques, comment les Anciens se divertissaient-ils ? Selon quelle temporalité, avec qui, par quelles consommations ? Ce recueil est une invitation a (re)découvrir les multiples facettes des plaisirs collectifs antiques : jeux du cirque, banquets grecs, jeux d’enfants, préparatifs du repas, le vin, la musique, les cadeaux…
Les modalités d’usage d’instruments de pesée et le maniement de concepts de numération et de métrologie par les sociétés protohistoriques ont fait l’objet de peu d’études systématiques en archéologie. Cet ouvrage, issu d’une thèse doctorale, offre une analyse diachronique des poids et des éléments de balance découverts en Europe occidentale et datés entre les XIVe et IIIe s. av. n.è. L’un des objectifs de ce travail est de requestionner la place occupée par la pratique de la pesée dans les sociétés protohistoriques sur une large échelle, dans la diachronie, au moyen d’un protocole constant et en intégrant les données contextuelles apportées par l’archéologie.
Au sens commun, l’atlas est un recueil qui combine productions cartographiques et commentaires textuels dans une perspective universelle. C’est ici sur la longue durée, des productions humanistes aux humanités digitales, et dans une acception polysémique du terme que les auteurs ont interrogé les ambitions et les pratiques de ce mode singulier de représentation, à travers le prisme de la ville.
Au sens commun, l’atlas est un recueil qui combine productions cartographiques et commentaires textuels dans une perspective universelle. C’est ici sur la longue durée, des productions humanistes aux humanités digitales, et dans une acception polysémique du terme que les auteurs ont interrogé les ambitions et les pratiques de ce mode singulier de représentation, à travers le prisme de la ville.
Au sens commun, l’atlas est un recueil qui combine productions cartographiques et commentaires textuels dans une perspective universelle. C’est ici sur la longue durée, des productions humanistes aux humanités digitales, et dans une acception polysémique du terme que les auteurs ont interrogé les ambitions et les pratiques de ce mode singulier de représentation, à travers le prisme de la ville.
Au sens commun, l’atlas est un recueil qui combine productions cartographiques et commentaires textuels dans une perspective universelle. C’est ici sur la longue durée, des productions humanistes aux humanités digitales, et dans une acception polysémique du terme que les auteurs ont interrogé les ambitions et les pratiques de ce mode singulier de représentation, à travers le prisme de la ville.
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